Ace • in the heat of the moment

painful goodbyes, painful separation, painful loss

« Ambulance 81 » Voilà le signal que tu attendais depuis un moment à la caserne. Tu étais de garde pour la journée et jusqu’à maintenant elle avait été étrangement tranquille. Toi qui avait changer d’emploi pour vivre dans l’action, aujourd’hui avait été plutôt tranquille. Tu avais tenté de faire pas le temps en lisant un livre ou en regardant la télévision ou même jouer aux cartes avec tes collègues, mais c’était d’un ennui mortel. Alors, lorsque l’appel retenti, tu allas au pas de course vers l’ambulance et pris place à côté de ton partenaire qui pris le volant volontiers. Même si tu avais le permis pour ça, tu préférais lui laisser la place. L’appel que vous aviez reçu concernait des victimes d’une fusillade entre gang de rue. Arrivée sur es lieu, tu fus rapidement réticente, car c’était dans une situation semblable que tu avais perdu ton fiancé. Tu restas sur place quelque secondes, lorsque ton partenaire ta ramena rapidement à la réalité. Tu te promenas parmi les victimes pour les catégorisée puis tu remarquas au loin ton nouveau colocataire… D’un moins, la personne chez qui tu vivais depuis un certain temps maintenant. Tu lui tournas rapidement le dos pour t’occuper d’une victime, lorsque tu entendis ton nom « Zara ! » Tu savais qu’il allait encore te reprocher d’être présente sur des lieux dangereux, mais c’était ton boulot. Tu n’y pouvais rien….

@Ace Kovacs

painful goodbyes, painful separation, painful loss

« Kovacs! fusillade, quartier de Mannathan. Bouges. » Tu laisses ton café sur le comptoir, tu abandonnes ta brioche pour frotter tes mains contre ton jean. C'est parti pour un tour. Ton arme, ta plaque puis ta veste et c'est parti. Tu es seul, t'as refusé un partenaire depuis la mort de Enzo. T'en as déjà assez à gérer. De toute façon, c'est pas comme si un partenaire t'était vraiment nécessaire. T'as prit ta voiture et t'allais partir quand un coup de fil t'empêche de partir. C'est un mec d'Atlanta qui n'arrivait pas à se passer de toi. Tu l'as écouter parler de l'affaire qu'il avait sur le dos et étrangement, de ce que tu savais déjà de la fusillade, c'était un peu trop similaire pour ne pas être lié. Tu as vu la scène de crime se dessiner au loin. La police locale y était déjà et tu garas ta voiture dès qu'ils l'ont laissé passé à travers les cordons de sécurité. Tu t'arrêtes, tu prends le temps de clore la conversation en lui disant que tu le tiendrais au courant. Tu sors de la voiture et pousse un soupire. Mais qu'est-ce qu'il leur passe par la tête. Tu fermes les yeux et glisses tes mains contre ton visage. Tu circules à travers les victimes et suit quelques traces de sang. Tu allais te retrouver un avec un sale rapport. Tu reconnais les sirènes de l'ambulance au loin. Il faut avouer, qu'il te faudrait plus un coroner qu'une ambulance. Tu les entends marcher au loin et discuter. Tu arques un sourcil. Ça te dit quelque chose. Tu tournes la tête faisant signe au policier d'attendre. Elle est de dos, une brunette à la silhouette particulière. Elle s'accroupi et tu la fixes un moment avant que son partenaire te rejoigne. Tes yeux se posent sur ta veste. Et merde. Tu grognes et t'enlignes vers elle. « Zara ! » Tu la rejoins et l'agrippe par le bras pour la lever. « Mais qu'est-ce que tu fais ici ? » Tu la regardes de la tête aux pieds, puis tu observes la scène autour de toi. « Tu devrais pas. Pas maintenant. » Tu le sais bien, t'as soudainement un frisson qui te parcours l'échine. Enzo.

@Zara Ackermann

in the heat of the moment

Tu connaissais les risques de sortir avec un jeune policier, mais ça ne vous avait pas arrêter, car votre amour était bien réel et surtout plus fort que tout à cette époque. Aujourd’hui, tu aurais sans doute changé les choses en lui exposant tes craintes, mais tu n’aurais jamais accepté de le freiner dans ses rêves. Enzo avait toujours voulu devenir policier du criminel. Toujours dans l’action, casse-cou, courageux, voilà les mots qui le décrivait bien. Au début de votre relation, tout allait bien, mais plus les jours avançaient et plus tu réalisais qu’un jour, il ne passerait plus jamais la porte de votre appartement et ce jour arriva il y a quelques semaines déjà. Tu avais fait ton deuil partiellement. Depuis sa mort, tu avais changé, comme attirée par le côté obscur, si tu voulais citer ton feu copain. Tu avais démissionné de l’hôpital ou tu étais infirmière pour devenir ambulancière. Tu avais dû suivre une formation de plusieurs semaines pour le devenir, mais celle-ci avait été accéléré grâce à tes cours d’infirmière. C’est pour cette raison que tu te trouvais sur cette événement aujourd’hui. Sur le résultat d’un échange de coup de feu entre gang de rue. Il y avait certes des morts, mais ta priorité restait les vivants. Pour te sentir vivante, tu avais besoin de te trouver en danger. On t’avait conseillé de voir un psychologue, mais tu n’en voyais pas l’utilité. T’assoir sr un sofa et raconter ta vie, ce n’était pas pour toi. Au moment où tu t’occupas d’une victime, tu remarquas qu’Ace se trouvait également sur les lieux. Déjà que tu vivais avec lui, tu n’avais pas envie de le voir sur le lieu de travail surtout si c’était pour te reprocher d’être inconsciente. Il avait prononcé ton nom, mais tu n’avais pas réagi. Tu espérais qu’il soit interrompu par un de ses collègues, mais pas de chance, il t’agrippa le bras pour te relever. « Mais qu’est-ce que tu fais ici ? » et voilà… Tu baissas le regard vers sa main qui tenais toujours ton bras et tu l’as repoussé de ta main valide. « Lâche moi ! » Tu regardas ton coéquipier toujours penché au-dessus de la victime et te retourna vers Ace. « Je bosse, comme toi, alors laisse-moi. » Tu allais te retourner pour continuer ce que tu faisais, mais il continua : « Tu devrais pas. Pas maintenant. » Là par contre, c’était trop. Tu te retournas brusquement vers lui et le regarda droit dans les yeux. « Tu n’as pas à me dire quoi faire ou encore ce qui est bon pour moi, alors laisse moi ! »

@Ace Kovacs