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 |  Sujet: down we fall (babi) Sam 15 Sep - 9:51 | |
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babi suarez
up and down my spin,
i dare you not to miss me
© crédits/may0osh.tumblr
never trust or love a wild thing. âge ~ 33 années, une course folle, le temps qu'elle n'a vu passer et ces rides qu'elles masque à présent au coin de ses yeux. Une vie passée à profiter jusqu'à perdre haleine, à profiter de chaque instant en gâchant celui des autres. Un train quotidien qu'elle quitte à chaque gare pour changer d'horizon et ne pas s'engouffrer dans la monotonie d'un avenir tout tracé. date et lieu de naissance ~ Manhattan, New York. La ville de ses premiers cris, premiers pas, premiers émois, premiers amours et premiers espoirs. Une partie de la ville qui l'a vue grandir et évoluer. Des quartiers huppés qu'elle ne quittera jamais. Tout a commencé un vingt juin, et l'histoire se finira Dieu sait quand. nationalité ~ Américaine puisqu'elle est née sur ces terres, il n'empêche que c'est le sang de l'Argentine qui coule dans es veines, colore ses joues et explique ses états d'âme. métier ~ Babi n'est pas de ces femmes qui acceptent de se faire gérer ou d'être sous la coupe de quelqu'un. Ayant étudié dans le domaine du marketing et de l’entreprenariat, il n'est pas étonnant de la voir devenir son propre boss. Travaillant à la base dans le domaine de la mode, ce sont les marques qui viennent à elle pour se trouver dans les étalages des petites boutiques huppées du pays, les jeunes stylistes qui se battent à coups de mails et elle seule qui décide de qui sera mis à l'honneur et qui aura peut-être la chance de devenir le prochain Yves Saint-Laurent. Mais c'est une occupation qui finit par l'ennuyer et avoir raison d'elle. Il y a trois ans, elle décide de s'appliquer dans cet art qui a toujours fait partie d'elle : la photographie. Spécialisée dans les portraits, elle photographie actuellement les plus célèbres dans un style épuré qui lui est propre et gère les plus grands shootings en tant que directrice photographique artistique. Elle est sur la voie de prendre la relève de Annie Leibovitz, Nigel Parry ou encore Lorenzo Agius. statut civil ~ Nombreux sont ceux qui ont parié sur le temps que Mason et Babi parviendraient à restés séparés. Aucun d'entre eux ne pensait qu'une décennie s'écoulerait cependant avant que leur histoire ne reprenne de plus belle. Elle l'a toujours eu dans la peau. C'est son Mason. Leurs cœurs convergeront toujours indéniablement l'un vers l'autre. statut monétaire ~ Il y a des maux dont on ne souffre pas. Le manque d'argent ? Jamais connu. Moins d'un million sur son compte ? Jamais. Et on parle bien évidemment du compte courrant, pas de ceux en Suisse. Un héritage familial, mais aussi un empire bien à elle qu'elle a monté de toutes pièces. groupe ~ bonfire of the vanity
- Spoiler:
all night long slow down the song (suarez) La famille. Une institution, une fierté, un empire, des valeurs, un héritage. Si on ne vit pas pour sa famille, on ne vit pour rien. Une puissance dans le domaine de l'immobilier, des milliers de bureaux détenus à travers les gratte-ciels des plus grandes villes du pays et à l'international. Des comptes en banque qui dépassent les millions. Un avenir certain, de quoi pouvoir se reposer sur ses lauriers. L'Argentine qui se dresse sous leur peau et le sang qui s'échauffe. Il ne se passe jamais rien chez les Suarez sans qu'il ne s'agisse d'une affaire d'état familiale dont tout le monde doit se mêler. Les mots volent les uns plus haut que les autres. On se dispute, se tire dans les pattes, se dit les quatre vérités, l'anglais se mêle à l'espagnol, on se bat pour sa pensée ou celle des autres, mais on s'aime aussi, on se prend dans les bras, on pleure à chaudes larmes, on soutien les autres envers et contre tout, on se montre présent et disponible. On est uni, tout simplement. (évidence) Le premier amour. Celui qui reste, emprunte marquée au fer rouge dans la moelle de vos os. Celui qui soulève votre coeur, vous retourne l'estomac et vous serre la gorge. Celui qui vous donne les mains moites, la tête qui tourne et le sourire béat. Celui qui chamboule, vous fait croire que tout est possible, que l'avenir vous appartient, que demain n'existera pas si l'autre n'est plus là. Celui auquel on croit, on s'accroche, pour lequel on se bat. Et puis un jour, on le laisse aller. Parce qu'on a l'esprit trop libre, parce que les attentes de la famille ne sont pas les vôtres, parce qu'on a besoin d'autres choses, de vivre d'autres expériences. Parce que peut-être qu'un jour, vous reviendrez l'un vers l'autre. Parce qu'en amour, on se permet de croire. Mason est celui qui détient son cœur et dont elle ne se défera jamais, celui qu'elle aime d'un amour si intense et si pur que ça la dévore parfois. Celui qui connait ses secrets les plus profond et ses peines les plus lourde, celui qui l'a relevée, protégée et qui a cru en elle. Mason et Babi, c'est écrit dans les étoiles. Une évidence, une convergence de deux corps, de deux êtres que rien ne sépara jamais vraiment. C'est une histoire belle et envoûtante, à faire pâlir les auteurs des plus beaux romans. (perdition) Elle est le rayon de soleil qui éclaire ses jours, son oxygène, sa moitié, son double, son âme sœur, son talon d’Achille, une dose de drogue qu'elle a besoin au quotidien. Babi sans Cami, elle meurt à petit feux. Façonnées dans un même moule, ces deux-là bougent d'une harmonie déconcertante. C'est se comprendre sans se parler, se réconforter souvent, se porter, s'élever, se faire confiance aveuglément, savoir que l'autre sera toujours là. Toujours. Des éclats de rire, des dépenses affolantes, des souvenirs illimités, vivre à l'excès. Des corps enlacés, une symbiose détonante, un dynamisme à couper le souffle. Des expériences passées, présentes et à venir. Ce sont des erreurs qu'on pardonne, une dépendance plus que certaine, le début de la fin. Elles se déchirent, se font du mal, se séduisent, s'adorent, s'admirent. C'est à croire qu'elles ne savent pas comment s'aimer, se retenir, se le dire. (luxure) Dépenser sans compter. Une manière de vivre, un mantra. Quand on peut, pourquoi se priver ? Babi aime les belles choses et ne se prive jamais. Vivre dans l'excès, encore et toujours. Cela n'en fait pas pour autant une matérialiste. C'est un passe temps, un plaisir. Toujours tirée à quatre épingle, hissée sur ses escarpins, les gens se retournent partout où elle passe. Même quand elle sort d'une séance de sport elle sue avec classe. Pas étonnant qu'elle ait choisi le plus beau penthouse sur le marché. Un palais de glace qui s'étend à 360° en plein coeur de Manhattan. Un décor intérieur pensé et travaillé avec goût. S'entourer de professionnels pour ne pas faire de faux pas. Jamais. La touche personnelle, ses propres clichés, ces instants volés, figés, d'une valeur inestimable à ses yeux. De la grandeur, du luxe, de la chaleur, un foyer. (créativité) Petite, Babi était capable de s'imaginer un monde de lumière et d'aventures. Gribouiller sur une feuille, dessiner dans son carnet, capturer l'instant présent, se décaler d'un mètre sur la droite pour un meilleur cadrage, attendre des heures la meilleure luminosité du jour, s'émerveiller face aux couleurs de la nature, aux rides sur des visages, aux expressions faciales, à une posture, un soupçon de personnalité, et l'enregistrer dans une boite. La photographia a toujours fait partie d'elle mais Babi était loin de penser qu'un jour elle vivrait de ces portraits. Un rêve qu'elle vit éveillée, une dextérité surprenante, une vision unique. Une partie d'elle qu'elle insère dans chacun de ses clichés.
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| | Sujet: Re: down we fall (babi) Sam 15 Sep - 9:53 | |
| Argie — La petite dernière Camila — La meilleure amie, le talon d'Achille Cece — La soeur qu'on choisit Lula — La soeur du petit-ami, l'indifférence Mason — Le premier amour, le petit-ami |
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| | Sujet: Re: down we fall (babi) Dim 16 Sep - 13:54 | |
| Je passe par là  Je voulais savoir, Babi, elle fait de la photographie depuis quand, approximativement, puis que tu dis que cela a toujours fait partie d'elle ?  Je me disais que Connor aurait pu faire appel à elle il y a de cela hui années, pour ses photos de mariage  Après on peut partir soit sur du négatif, soit du positif, soit un entre deux. Histoire de pimenter le truc, et surtout si ça colle hein, je me dis que Connor aurait pu finalement refuser qu'elle fasse les photos parce que pas assez expérimentée, ou elles n'étaient pas d'accord sur certains points  |
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| | Sujet: Re: down we fall (babi) Dim 16 Sep - 14:50 | |
| j'ai vu t'étais photographe, y'a ptet moyen de se goupiller un truc en partant de ça  eathe est loin d'être moche, ça peut aider  |
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