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 je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)

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MessageSujet: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptyMar 25 Sep - 18:55


@Clara MacPherson

Encore au bureau, les équipes se relaient, un coup d'oeil sur l'heure, il est temps pour toi de rentrer. Une main qui survole ton visage avant de la poser sur ton verre de whisky presque vide. Service fini de puis presque une bonne heure maintenant, tu te permets ce petit plaisir, tu réfléchis, pense à elle, à ta femme, car oui, elle l'est encore. Tu avales le reste du contenu d'une traite prêt à te lever pour retrouver la seule personne qui t'attend à l'appartement, ton chat. Tu te lèves, prends ta veste et vois l'écran de ton téléphone posé sur le bureau s'allumer. Le nom de Clara apparaît, tu ne mets pas longtemps avant de le prendre en main pour voir son message. Ton visage change de seconde en seconde exprimant à la fois de la surprise, de la joie, mais également de la tristesse en échangeant avec celle que tu aimes encore, mais qui te fais bien comprendre qu'elle ne veut plus de toi. Tu vas être père. Besoin de quelques secondes, ton coeur se met à battre étrangement, vite, besoin de t’asseoir, tu te laisses tomber sur le bord de ton bureau. L'envie de le crier au monde entier, d'aller voir Mason, encore présent et de l'informer, mais tu ne peux pas. Tu dois garder ça pour toi, car personne n'est au courant, vous avez gardé cette relation secrète, car son père est le gouverneur et vous ne vouliez pas d'histoires. Tu as juste envoyé un message à ton frère, car tu ne sais pas quoi faire, tu es sous le choc. Pourquoi lui, aucune idée, surtout que les échanges sont assez rares entre vous. Un autre message, le dernier, il fait mal, terriblement mal et te brise un peu plus le coeur. Les yeux levés vers le plafond, tu reprends ta respiration te demandant pourquoi tu ne peux juste pas être heureux, pourquoi ne pas avoir pensé à lui dire la vérité pour ne pas en arriver là. Oui, tu lui avais dit que tu resterais loin d'elle si elle le souhaitait, mais là, tu ne peux pas. Une force te pousse à aller la voir, la retrouver, tu ne peux finir cette conversation comme ça, par ces mots violents qui te touchent.

Poing fermé, tu cognes contre la porte de son appartement, nerveux, en colère, triste, différentes émotions qui te traversent en quelques instants. Serte, elle ne veut pas te voir, mais tu pensais qu'elle agirait comme cette adulte forte qu'elle est, qu'elle ne se cacherait pas derrière un écran. Tu te dois de lui faire face, préparant tes joues à de nouveaux chocs, à cette brûlure qui te rappelle tes actes.


Dernière édition par Jules Bennet le Mar 25 Sep - 19:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptyMar 25 Sep - 19:17


≈ ≈ ≈
{ "je suis peut-etre un connard, mais je reste le père" }
crédit/ tumblr ✰ w/ @jules bennet

Tu le lui as dis. il fallait bien que tu le fasses et tu n'as pas eu le courage de le lui dire en face. c'est vrai, tu t'es cachée derrière un écran, ton téléphone, pour lui annoncer la nouvelle et lui dire que d'ici quelques mois il deviendra papa. mais l'avenir n'est encore certain pour personne et tu ne sais pas vraiment comment sera votre relation d'ici là. il est clair que pour le moment tu es juste en rage contre lui, tu te sens trahit, humilier, anéanti et piétinée par ses mensonges mais il se devait de connaitre l’existence de cette grossesse. il en fait ce qu'il en veut à présent, mes ses messages ne font que faire couler tes larmes un peu plus. tu étais allongée dans ton lit, seule, alors qu'il y a peu de temps encore c'est lui qui se trouvé à tes cotés. il y a quelques semaines encore, tu te trouvais dans ses bras et tout allait bien dans ta vie, enfin, dans ta vie sentimentale en tout cas. mais aujourd'hui tu as l'impression de ne plus rien contrôler et tu as peur. peur de devenir mère, peur d’être seule alors que tu sais que ta famille et que tes amis seront près de toi. tu as peur de tout ce que cela implique et ton coeur ne supportera pas longtemps ce stresse qui te ronge. tu finis par couper court à cet échange, tu as terminé sur quelque chose de fort, de difficile, de douloureux mais c'est ainsi que toi tu ressens les choses. c'est un flic, oui, un homme qui doit protéger et servir la population. et toi, tu souffres, tu pleures, par ses mensonges qui rendent votre relation totalement fausse. comment le croire, comment avoir confiance en lui à présent ? tu poses le téléphone, le laissant branché sur le chargeur alors que tu remontes la couette sur tes épaules, éteignant la lumière de ton chevet. tu as du mal à dormir en ce moment, et tes yeux rouges et fatigués devraient pourtant t'aider à trouver le sommeil. heureusement que tu te maquilles pour cacher tes cernes devant ton père, qui s’inquiète déjà beaucoup pour toi. Mais tu finis par sursauter, on frappe à la porte. pire. on cogne. tu te lèves, quittant la chaleur de ta couverture pour arriver à la porte de ton appartement. une chemise un peu grande sur le dos, une que jules a oublié chez toi. elle cache juste ce qu'il faut, s’arrêtant sous tes fesses, même si on peu tout de même voir ton dessous. mais là tu ne penses pas vraiment à enfiler autre chose, tu veux juste gueuler, et retourner t'allonger. quand tu ouvres, tu sais pourtant qui s'était, tu savais très bien que Jules allait venir malgré ces paroles la dernière fois que tu l'as vu. Il entre, sans ménagement, sans te laisser le temps de lui dire de partir. tu soupires, refermant la porte derrière lui pour que les voisins ne prennent pas plaisir à jouer les voyeurs. « qu'est-ce que tu veux ? y'a plus rien à dire ! » tu ne hurles pas. t'es lasse, épuisée, fatiguée de tout cela. tu ne veux pas pleurer a nouveau, tu as fait que ca toute la soirée et tu en as encore les traces sur le visage. tu veux juste pouvoir dormir, une nuit, rien qu'une nuit, sans te réveiller en pleine nuit, sans pleurer, sans te redresser parce que tu ne te sens pas bien. « tu as peur que je le raconte à ta femme ? rassures toi c'est pas mon genre ! » bon là, c'est vrai, c'est un peu plus rageux.

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MessageSujet: Re: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptyMar 25 Sep - 20:25


@Clara MacPherson

Le pied qui tape contre le sol, tu t'impatientes, cognes de nouveau contre la porte, sans pour autant mettre trop de force pour ne pas que les voisins sortent se demandant qui peut faire autant de bruit à cette heure-ci. La main sur ta nuque, tu te demandes si c'est une bonne idée, mais de toute façon, il est trop tard pour faire marche arrière. Tu es fatigué, tu n'as pas dormi depuis 48h te plongeant dans ton travail pour ne penser à rien d'autres, pourtant, tu es bien là, et tu ne comptes pas partir avant d'avoir une vraie discussion, pas juste deux phrases. Tu te fiches bien de recevoir des coups, si cela la soulage, tu es prêt à encaisser sans rien dire, mais tu ne comptes pas partir avant d'avoir parlé de cette situation qui vous ronge tous les deux.

La porte s'ouvre, d'un pas décidé, tu entres dans l'appartement sans qu'elle ait le temps de dire quoi que ce soit. Tu te tournes vers elle, la regardes de haut en bas furtivement, remarques sa tenue légère, chemise qui t'appartient. Oh, si on a des choses à ce dire voix encore douce, légère, mais pas pour longtemps en vu de cette dernière phrase qui fait que les traits de ton visage deviennent plus durs, que tes sourcils se froncent petit à petit. Bras croisés, tu secoues la tête. Crois-tu vraiment que je suis là pour savoir si tu comptes lui en parler ? Je me fous de ce qu'elle pense, de ce qu'elle fait. Elle n'est plus rien pour moi ! Un soupire, s'échappe, se laisse entendre. Tu lui tournes un instant le dos et passe une main sur ton visage essayant de te contenir, tu finis par poser ta joue dans le creux de ta main, et la regarde à nouveau. Tu sais très bien qu'elle te lance ce pique, car elle est en colère, qu'elle t'en veut, car tu n'as pas réussi à lui dire que tu étais encore marié. Égoïste, tu as préféré lui cacher voulant profiter de cette relation qui ne serait jamais née si elle l'avait su. Tu restes distant, tu lui fais comprendre que tu as bien compris le message de l'autre jour, lors de votre rencontre, que tu n'es pas là pour la faire revenir vers toi mais que cette fois, tu es là pour autre chose, pour votre futur enfant, pour en parler.   Tu le sais depuis combien de temps.. Que tu es enceinte ?   Rien que de penser au fait qu'elle t'ait prévenu par sms, tu as la rage qui commence à monter petit à petit, te mordant l'intérieur de la joue pour te calmer, mais tu n'y arrives pas. Tu retires ta main de ta joue pour croiser de nouveau les bras.   Me prévenir de cette façon..j'ai encore du mal à le croire.. Ta femme t'inventant pas mal de choses pour te faire revenir, tu ne savais pas si ce message était vrai ou si cela cachait quelques choses pour te donner un coup de massue.
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MessageSujet: Re: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptyMer 26 Sep - 6:49


≈ ≈ ≈
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crédit/ tumblr ✰ w/ @jules bennet

T'as rien à lui dire. rien de plus que ce qu'il sait déjà. tu le déteste autant que tu l'aimes, tu lui en veux autant que tu t'en veux d'avoir cru que tout pouvait être parfait. trop naïve. trop rêveuse. tu aurais du faire attention, toi qui attire les enfoirés, toi qui te fait toujours avoir par les hommes qui font chavirer ton coeur. tu le déteste autant que tu te déteste de l'aimer autant. mais tu ne peux pas laisser passer ça, ses mensonges, sa femme. parce qu'il est toujours marié, parce qu'il est toujours lié à une autre femme que toi. t'es devenue sa maîtresse sans même le savoir, et qui dit que tu n'es pas une parmi d'autre ? t'en as pleuré, de toute ses questions qui t'empêchent de fermer l’œil la nuit. t'as pleuré en repensant à ses je t'aime, à ses belles paroles. finalement tout cela ne voulait rien dire. il doit être content, le flic, de s’être tapé une petite jeune, de s’être tapé la fille du gouverneur. c'est tout ça que tu as pensé quand tu as su la vérité. mais là, toi, tu ne veux pas parler, tu ne veux pas avoir à lui dire le mal qu'il ta fait, la peur et la panique quand tu as appris l'existence de ce bébé. alors il a beau dire que vous avez encore des choses à vous dire, toi t'as rien envie de dire à part que tu le déteste, t'as pas envie de le voir, t'as pas envie qu'il soit là devant toi. chez toi. il parle de sa femme, mais tu t'en moque. il peut dire ce qu'il veut, si ca ce trouve il lui dit la même chose a ton sujet. que tu ne compte pas, que c'est elle qu'il aime, que c'était qu'une erreur, qu'il s'est laissé aller devant une petite jeune. tu ne sais plus ce qui est vrai et ce qui est faux. tu sais simplement que là, il y a son fils ou sa fille qui grandit entre tes entrailles. Tu grognes en l'écoutant. t'es bonne pour ne pas dormir de la nuit une fois encore. mais cette fois ce n'est pas parce que vous passerez les prochaines heures a vous aimez passionnément. « quelques temps. deux semaines ou peut-etre trois. » tu ne sais plus trop, tout est allée trop vite. t'as fait ce test, et la prise de sang parce que tu ne voulais pas le croire. et puis tu as paniqué, toute seule, sans le dire a qui que ce soit avant que Kara ne te surprenne avec une nausée, avant que Lara ne surprenne votre conversation. avant de trouver le courage de le dire à ton père et de trouver la force d'accepter tout cela. oui, deux semaines environ. mais tu ne lui dis que maintenant. et tu t'en moques qu'il ne soit pas content, que l'apprendre par sms ne lui convienne pas. tu t'en moques que ça lui plaise ou non. « sois content tu aurais pu ne pas le savoir. » que tu grognes, juste pour lui rappeler qu'il peut être heureux de l'avoir appris maintenant et non pas parce qu'il te croise avec un ventre rond de six mois, ou par les journaux. ou par cette raclure de cosmo. T'es froide, distante, en colère, en rage. triste. anéantie. totalement détruite finalement. mais tu restes forte, autant que possible pour ce bébé qui n'a rien de demander, pour ce bébé qui aura besoin de toi. tu crois les bras, tu restes a distance respectable. le fait de croiser les bras fait lever un peu la chemise mais tu t'en moque. « tu veux quoi ? parce que j'ai rien à te dire moi ! »

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MessageSujet: Re: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptyMer 26 Sep - 13:11


@Clara MacPherson

La découverte d'une autre facette de cette femme que tu pensais connaître. Blessée par tes mensonges, tu peux le comprendre, mais tu as cette impression d'être devant une parfaite inconnue ce qui te rend particulièrement triste et désemparé. Tes sourcils se froncent un peu plus suite à ses paroles. Ne jamais l'apprendre ou pire l'apprendre dans les journaux, imaginant déjà les gros titres : la fille du gouverneur enceinte, qui est le père ? Tu te demandes pourquoi tu es venu, pourquoi tu cherches encore à discuter alors que tu vois bien qu'elle n'a aucune envie de te parler, même pour votre enfant. Elle ne veut pas de toi, même pour lui, et ça blesse énormément.

- sérieusement Clara ? Ton comportement me déçoit..

Tes mains se serrent un peu plus contre tes bras, tu prends une grande inspiration ne voulant pas que le ton monte. Cet enfant, c'est ce que tu souhaites depuis un moment. Cette envie de paternité, tu la depuis que tu as frôlé la mort, impossibilité d'en avoir avec ta femme qui est stérile, c'est ce qui a fait tourner votre mariage en chaos. Aujourd'hui, tu approches de la quarantaine et tu es bien heureux d'apprendre cette nouvelle, tu as enfin ce que tu désires même s'il manque un élément pour combler totalement ton bonheur, elle.

Ce que je veux, c'est mettre les choses au clair. Peut-être que tu ne veux plus de moi dans ta vie, mais cet enfant, c'est aussi le mien et malheureusement pour toi, je compte bien être présent pour lui ! Je suis son père et l'apprendre maintenant ou le jour de l'accouchement cela ne change rien, je serais là pour lui, le voir grandir.


Nombreux sont les soupirs qui se laissent entendre dans la pièce, tu ne veux pas te battre ce soir, tu es bien trop fatigué pour ça. Rien que ton verre de whisky te donne des effets que tu n'as pas habituellement. Tu la regardes, un court instant, tu vois un peu plus de sa peau qui ne te laisse pas indifférente. Tu te rapproches doucement, gardant une certaine distance.

- je sais que mes mots ne comptent pas, que tu te moques bien de mes paroles, mais je suis là pour toi, pour lui.

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MessageSujet: Re: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptyMer 26 Sep - 13:30


≈ ≈ ≈
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tu es controlée par trop d'émotion qui se mélange. de la colère, de la tristesse et de la peur. parce que tu as peur. peur de cette grossesse, de ne pas être a la hauteur, peur de ne pas être assez forte, peur de ne pas savoir être une bonne mère. s'occuper de tes frères et sœurs ce n'est pas comme élever un enfant. en plus, vu dans le monde ou tu vis, tu sais que tout cela va prendre des proportions impensable d'ici que ton ventre se voit. les journaux, les ragots, les paparazzis pour savoir avec qui la fille du gouverneur a copuler. tout cela en continuant de travailler, de t'occuper de ton père et de tes cadets qui ont besoin de toi. ton comportement le déçois, tu ris, parce que c'est tout de même très drôle venant de quelqu'un qui a passé des mois et des mois à te mentir. pendant que toi tu imaginais un futur avec lui, il était sensé avoir encore son alliance à son doigt. alors c'est vraiment mal venue de sa part de parler de comportement. toi, tu souffres, tu pleures, tu accuses le coup et tu paniques parce que dans six mois tu mettras au monde un enfant. chose que tu n'avais pas prévu avant un mariage, avant de te poser avec un homme. un accident, tu sais que ca arrive, ton père t'as bien dit que tu en étais un puisqu'ils étaient encore a la fac quand tu es venue au monde. mais les accidents peuvent etre des cadeaux, et peut être que finalement tu n'es pas fait pour trouver l'amour. Tu le laisses parler, toi tu ne fais que l'écouter, à moitié peut etre, distraite un peu. tu soupires a quelques paroles avant qu'il ne termine ses propos. tu finis par lui faire face. les yeux rouges et humides, en colère. « mon comportement ? tu veux qu'on en parle du tien, de comportement ? a me mentir, a me faire croire a mille merveille alors que tu es toujours marié ! a me dire que tu m'aimes, à me laisser imaginer un avenir ou on était à deux.. ALORS QUE TU ES MARIE » tu hausses un peu le ton sur la fin, mais ta voix tremble, même si tu tentes de la contrôler. « comment pourrais-je croire tes paroles alors que tu m'as menti pendant des mois ? Ho j'suis bien trop conne pour y avoir cru ! pour avoir imaginer que tu m'aimais ! » tu passes une main dans tes cheveux, pour tenter surtout de ne pas le frapper. « tu crois quoi ? qu'en apprenant la grossesse j'ai sauté de joie ? j'ai peur, je suis terrifiée. j'suis épuisée. j'tremble comme une feuille. et toi tu viens me faire chier parce que tu le sais par sms ! j'aurai parfaitement pu ne rien dire a qui que ce soit et avorter.. ALORS NE VIENT PAS ME FAIRE CHIER » tu cris.. les larmes sur tes joues, tu pètes totalement un câble c'est vrai. tu finis par t'éloigner, allant jusqu'à la cuisine ouverte pour te prendre un grand verre d'eau. ouai t'as besoin de t'éloigner, et de pleurer dans ton coin avec pour excuse, un verre d'eau.

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MessageSujet: Re: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptyMer 26 Sep - 15:44


@Clara MacPherson

La tête qui se secoue de gauche à droite, tu refuses qu'elle te dise ça. Oui, le mensonge est réel pour ton mariage, oui, tu n'as pas mentionné que tu étais malheureusement encore lié à cette femme qui ne compte plus à tes yeux, mais tu ne peux pas la laisser dire que tu as menti quand tu lui disais que tu l'aimais, car c'est faux, tu n'as jamais autant aimé depuis des années. Bras qui se décroisent avec rapidité, tu tends une main d'un geste brusque en sa direction laissant le ton monter à ton tour.

- oui j'ai menti sur mon mariage et oui j'ai été con, UN VRAI CONNARD. Disons-le clairement ! Mais jamais j'ai menti quand j'ai dit que je t'aimais ! JAMAIS ! T'entends, jamais Clara !

Ton regard est sincère, triste, mais tu restes fort. Le coeur bat plus vite, le rythme cardiaque s'accélère, la peau prendre des couleurs, devenant d'un coup plus rouge. Tu es en colère, car tu n'as jamais pu t'exprimer correctement à ce sujet. Oui, tu assumes ton erreur, mais jamais tu n'as voulu cela, tu as agi bêtement. Tu voulais simplement être heureux, vivre ta vie comme tu l'entends et t'en avais presque oublier celle qui porte encore ton nom. L'envie d'être avec elle, tout simplement. Tu as toujours été bon avec les femmes et tu peux compter tes conquêtes sur les doigts de ta main.

Ses mots de ton mal, t'en restes sans voix. Tu lui tournes le dos pour ne pas qu'elle voit ton visage s'assouplir, ta faiblesse, qu'elle voit cette larme qui s'échappe. Tu n'as pas souvent pleuré pour une femme, peut-être une fois. Tu passes furtivement tes doigts sur ta joue et la regardes de nouveau, elle s'est éloignée pour aller à la cuisine. Tu ne sais pas si tu dois continuer cette conversation qui ne va mener nul part, prendre la fuite en sachant que son coeur ne t'appartient plus, rester et te faire un peu plus de mal. Tu murmures.

- tu crois que j'ai sauté de joie ? Que je ne suis pas terrifié aussi ? Je vais avoir un enfant avec la femme que j'aime, mais qui me déteste, comme jamais elle n'a détesté un homme. Quand tu me regardes, je vois du mépris, du dégoût..je réalise enfin que je n'ai plus ma place ici..

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MessageSujet: Re: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptyMer 26 Sep - 16:06


≈ ≈ ≈
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tu aurais simplement pu avorter, ne rien dire à qui que ce soit, et tuer cet embryon avant qu'il ne devienne un bébé. mais c'est contre tes principes, et honnêtement tu aurais été incapable de stopper cette grossesse. dans d'autre circonstance, tu aurais été heureuse, tu aurais couru voir jules, peu importe les rumeurs, les ragots ou les paparazzis, peut importe tout. tu aurais foncé au commissariat et tu l'aurais surement gueuler a travers la pièce. tu aurais surement juste hurler un "j'suis enceinte" avant de courir dans ses bras. au final tu as pleurer, paniquant à l'idée de le dire a ton père, paniquant à l'idée de le lui dire. et cette situation, tout cela vous détruit, à petit feu mais tu es aveuglé par la colère, par cette trahison que tu n'espérais pas venant de lui. tu n'arrives plus à le croire, à savoir le vrai du faux, à savoir quand il te mentait et quand il était sincère. quand il te faisait l'amour, était-il sincère ? était-il sincère quand il caressait ton épaule en te regardant t'endormir contre lui ? quand de sa bouche il te disait je t'aime ? était-il sincère quand il évoqué une vie a deux ? Tu te réfugie ailleurs, dans la cuisine, verre d'eau à la main pour en boire une gorgée, pour en boire le verre avant de te resservir finalement. tu n'arrives plus à réfléchir, tu es épuisée. tu aimerais pouvoir t'allonger, te reposer, souffler un peu et ne plus devoir réfléchir. tu aimerais que ton coeur se calme, que la migraine s'en aille et que ton corps arrête de trembler. tu as beau entendre ce qu'il dit, tu ne sais plus s'il ment ou pas, s'il dit ça pour se faire pardonner. est-ce qu'il est là pour le bébé uniquement ou aussi un peu pour toi ? « tu aurais pu juste m'expliquer, dès le début. tu aurais pu finalement me dire ce qui en était avec ta femme.. au lieu de me dire que tu étais divorcé. au final, t'as juste détruit ces rêves qu'on avait. que j'avais avec toi. et le plus douloureux, c'est que je te déteste autant que je t'aime. » tu pleures, mais la voix est plus douce, plus calme. tu ne te sens pas bien, mais tu prends sur toi, tu te serres un autre verre d'eau que tu bois. il a détruit vos rêves d'avenir, détruit ces rêves ou tu pensais pouvoir un jour porter son nom. tu ne te sens pas bien. ces rêves ou tu te voyais avec une famille, avec lui a tes cotés, ou tu ne voyais plus une nuit sans lui, un amour comme tes parents ont connu. fort et indestructible. mais t'es trop naïve, trop rêveuse. tu t'imagines encore dans un conte de fée ou la princesse épouse le gentil prince pour vivre heureux pour toujours. mais la vie n'est pas un conte de disney. tu restes appuyer sur le bord de l'évier, reposant le verre d'eau. tu ne te sens pas bien. « t'as tout détruit.. »  

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MessageSujet: Re: je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula)   je suis peut-être un connard, mais je reste le père (jula) EmptySam 29 Sep - 9:35


@Clara MacPherson

l'envie de lui dire la vérité, là, maintenant, lui dire pourquoi ton mariage n'a pas tenu, est devenu en plus d'un an un réel cauchemar, que tout s'est terminé, car elle n'arrivait pas à surmonter le fait qu'elle ne puisse pas avoir d'enfant, t'apporter ce que Clara t'offre enfin. Que depuis le jour où vous l'avez appris plus rien n'était comme avant malgré tes mots réconfortants, ta présence. Femme qui s'est refermée sur elle-même, malheureuse, ne voulant plus être touchée, approchée, ce que tu comprenais parfaitement et puis vient le temps où elle devient une autre, une femme qui ne supporte plus te voir revenir tard le soir, surveillant tes faits et gestes, te poussant à bout, toujours en colère, enchaînant les crises d'hystérie. Toi tu as toujours tout fait pour rester le plus calme possible te disant que ça allait passer, mais rien n'a changé. Tu t'en veux, d'être retombé amoureux aussi vite après avoir demandé le divorce, tu t'en veux d'avoir tourné la page aussi facilement. « t'as tout détruit.. » tu ne nies pas, car tu assumes déjà pleinement tes erreurs. tu l'observes sans dire un mot, à quoi bon de toute façon. Elle ne te pardonnera pas. - je.. tu soupires, passes une main sur ton visage. T'allais dire que t'es désolé, encore une fois, te retrouvant toujours avec cette phrase qui tourne en boucle, mais tu sais qu'elle s'en fiche pas mal que tu le sois. Tu veux plus faire de mal, tu veux plus la voir dans cet état, et pour ça, tu sais ce qu'il te reste à faire, partir. La laisser tranquille, lui laisser du répit, sachant qu'il n'y a rien de plus à faire. - je vais te laisser... Les pas te mènent à la porte d'entrée de son appartement, main sur la poignée, tu l'observes une dernière fois. Tu ne sais pas si c'est ça qu'elle attend de toi ou pas, peut-être qu'encore une fois, tu la déçois. - au revoir Clara. ta main tourne la poignée avec douceur, tu ouvres la porte et pars te demandant encore si tu as bien fait de venir, si tu aurais dû lui dire ce que tu as réellement sur le coeur, si c'est la dernière fois que tu la verras.

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