lose control (charming)

La musique, l'ambiance chaleureuse dans laquelle se dégageait la boîte de nuit, les hommes applaudissant sous les performances de ces demoiselles qui ne demandent qu'à être payées pour danser. T'es l'une d'entre elle, la parfaite petite blonde qui se trémoussait sous le regard impulsif de cette gente masculine. Cette nuit risquait d'être une soirée très payante pour toi, tu te souvenais de ta soirée passée avec ton mari, embrassant le sommet de son crâne, lui affirmant que tu avais quelques courses à faire. Il s'est endormi, comme un enfant de huit ans, son cancer empirant de jour en jour, tu rêvais de porter un habit noir lors des obsèques, hériter de toute cette somme d'argent et être libre. Voulant rencontrer quelqu'un, qui pourrait t'arrêter de danser tard le soir, de ne plus avoir une double vie. Posant une deuxième couche de mascara contre tes yeux, un baume à lèvre rouge vif ainsi qu'une mince couche de fard à joue rose. Les clients te connaissaient, ils étaient au courant de toutes tes prestations et étant l'une des danseuses les plus performantes de tout le club, le revenu dépassait celui des autres filles. On descend les escaliers, te met au courant de ton prochain spectacle à venir et tu te redresses. Tes doigts glissent le long de ta taille, replaçant le déshabillé que tu portais, tes cheveux blonds lissés à souhait, marchant jusqu'en haut, marchant d'un pas lent, observant autour de toi. Cherchant un regard que tu avais déjà vu, tes prunelles se posent sur cet homme, celui pour lequel tu as déjà dansé, maintes reprises et que tu adresses un clin d'oeil. On t'appelles, tu montes sur la piste de danse, commence à danser d'une manière sensuelle sous les applaudissement de ces hommes, certains en profitent pour s'approcher de la scène mais ton regard ne se détache pas du beau brun. Tes mains se posent contre tes cheveux, glissant contre la longue barre de métal, tournoyant sur toi-même, en parfaite équilibre contre cette dernière.

(désolée, c'est pas top mais je suis jamais douée pour les débuts de rp   )

CHARMING && SOPHIA
— Baby take off your coat, Real slow
And take off your shoes, I'll take off your shoes
Baby take off your dress, Yes yes yes  —

On dirait que tu passes tes soirées dans les bars, bon faut l'avouer, c'est ce que tu fais et ce soir ce n'était pas la différence. En fait, non, il y en avait une différence. La tête bien haute, tu t'es dessiné une place dans ton club de strip-tease favori. Tu sais bien qui danse ce soir, tu sais bien qu'elle sera sur scène et tu ne passeras pas inaperçu, même caché derrière un poteau. Elle a toujours su quand tu étais là. La belle Sophia, blonde au courbes folles, tu ne pouvais que regarder qu'elle. Tu t'es appuyé au mur à l'écart, tu as croisé les bras et posé ton regard sur la scène, sachant bien qu'elle t'offrira son entrée bien à elle. À peine elle a rejoint la lumière qu'elle a croisé ton regard et un fin sourire pervers s'est dessiné sur tes lèvres. Ça change des soirées traditionnelle dans les bars. Tu la ferais descendre de cette scène pour la garder juste pour toi. Tu t'approches un peu, silencieux et observes un faible moment les hommes en chaleur et tu t'appuies à nouveau contre le mur croisant les bras contre ta poitrine. Un signe de tête dans sa direction pour attirer son attention vers l'une des salles privées. Un mec se lève devant toi et s'apprête à s'avancer de trop près vers la scène. Tu connais la règle, on ne touche pas. Tu l'agrippes par le col et le force à se rasseoir avant de lever à nouveau ton regard vers la danseuse. Un clin d'oeil à son égard et tu t'éloignes vers la fin de son numéro pour rejoindre cette salle qui pourrait presque porter ton nom. Tu pousses la porte et te cale au fond de la salle, appuyé au mur les bras croisés. Comme si cette position était ta marque de commerce. Tu attends en silence, patiemment qu'elle arrive. 

Danser dans Brooklyn ne te faisait pas peur, étant la seule à savoir se défendre dans toutes les danseuses dans ce bar, tu avais forgé ton propre caractère et aujourd'hui tu t'en servais lorsqu'un client voulait une chose, cette même chose que toi, tu n'avais pas spécialement envie. Tes mais enroulaient la barre de métal, te trémoussant sur cette dernière, sourire un peu trop sûr de toi contre le visage, tu avais capter l'attention d'un client en particulier. Charming était quelque peu privilégié, tu dansais pour lui presque tous les soirs et ça avait été devenu une habitude, de rester près de lui, de le voir être torturer entre le goût de l'aventure et cette barrière qui vous séparaient tous les deux. Le videur pouvait très bien le mettre dehors à tout moment pour avoir poser ses mains sur ton corps, bien que cette idée ne te déplaise pas. Remarquant le brun faire un léger signe de la tête, vers l'une des pièces privées, tu adresses un clin d'oeil, affirmant avoir reçu l'information cinq sur cinq, continuant à bouger, retirant ton soutien-gorge sous les sifflements de certains d'entre eux. La nudité faisait partie de ton passe-temps, tu n'as pas peur de montrer ton corps aux inconnus mais quand il s'agissait de ton mari, c'est une toute autre chose. Le numéro s'arrête, tu descends de la scène en allant poser quelques couches de poudre contre ton visage, changeant tes sous-vêtements et en revenant vers la salle où Charming attendait ton retour avec impatience. Tes yeux se posent vers les siens, son corps callé contre le mur de la pièce et tu arques un sourcil, faisant les quelques pas qui vous séparaient tous les deux, tu mentirais si tu disais qu'il ne te plaisait pas. Tu devrais t'asseoir pour être plus confortable De cette voix sensuelle, tu mordillais ta lèvre inférieure, attendant qu'il pose ses fesses contre le cuir de la chaise, commençant à danser, sans le quitter une seule fois du regard. Cette attraction était presque flagrante et tu avais presque peur, toi qui ne possède aucun sentiment envers la gente masculine, tu avais beaucoup trop souffert par le passé. Tu sais que Charming n'avait pas le droit de toucher, c'est pourquoi tu profites de la vue libre du garde du corps pour poser tes doigts contre son torse, le faisant presque asseoir par la force. Te posant à califourchon sur lui, tu glisses tes mains dans tes cheveux, descendant le long de ton corps, bougeant ton bassin au sien.

CHARMING && SOPHIA
— Baby take off your coat, Real slow
And take off your shoes, I'll take off your shoes
Baby take off your dress, Yes yes yes  —

Tu restes un instant debout contre le mur à attendre qu'elle arrive. Tu n'aimais pas la distance entre la scène et toi et surtout le partage avec tous ces vautours. Ce n'est pas pour rien que tu as su manquer la fin du spectacle. Cette salle, cette salle que tu connaissais si bien te parle, même dans le silence. Tu sens les vibrations se dessiner sur les murs, tu les sens vibrer contre ton dos. Cette salle est très bien insonorisé. Tu te perds un instant dans ta tête les yeux baissé au sol. Tu penses un peu à toi, à ce que tu t'empêche de vivre depuis deux ans. Ton ex a foutu le camp te laissant flamber dans ta propre maison. T'as perdu ton gamin, ta mère, ton père et même ta soeur. L'envie d'avoir quelqu'un dans ta vie est là, mais t'as jamais réussi à t'attarder à ça. Ça et là tu t'amènes une femme, une autre, tu ne penses jamais vraiment à te caser et c'est sûrement ce qui t'amène pratiquement à tous les soirs dans ce club de brooklyn. Tes mains s'agitent dans tes cheveux, impatient et tu grognes silencieusement. Puis soudainement, tu vois cette silhouette qui se dessine enfin dans l'entré de la pièce. Tu souris faiblement satisfait et tu appuies ta tête contre le mur les bras croisé contre ton torse. Tu contrôles, tu contrôle ce désir primal qui te prend aux entrailles à chaque fois. Tu restes à distance, tu ne bouges pas, elle s'avance vers toi et tes bras se laissent tomber le long de ton corps avec une telle indifférence. Ton regard reste plongé dans le sien. À force de la regarder, tu connaissais ce corps par coeur il ne te manquait que d'y toucher. Elle de dit, elle t'ordonne presque de t'asseoir et toi tu restes là, debout, un pas vers elle, réduisant la distance, mais un simple contact de ses doigts, tu te résignes et tu te laisses tomber contre la chaise, ton regard toujours plongé dans le sien. Ta langue glisse contre ta lèvre inférieur et elle s'installe sur toi. Tu détournes un instant le regard en te mordant l'intérieur de la joue. Tu sais vraiment résister ou non? Ton regard revient vers elle, vorace, animal et pour la première fois, tes mains s'agitent et se posent contre ses hanches et tu la ramènes plus près de toi. De toute façon, t'es criminels. " Les règles et moi, on ne s'est jamais entendu. "

Ta vie se résumait à danser, passer du temps de qualité avec ton cher mari, être la parfaite petite épouse qu'il attendait avant de revenir ici tous les soirs, montrant ce corps de rêve que tu as sculpté avec les années. Tu sais que tu plaisais, que le regard de ces hommes te désiraient mais toi, tu voulais passer un nouveau moment en compagnie de Charming, te déhancher pour lui, aller plus loin que ces limites qui étaient permises. Descendant de la scène, tu décides de marcher vers le local des danseuses, te refaire une petite beauté et revenir auprès du beau brun. L'observant de haut en bas, tu te mordilles la lèvre inférieure, bougeant tes hanches sous le rythme de la musique, faisant quelques pas pour le rejoindre. Lui ordonnant de s'asseoir, tu ne te laisses pas prier pour poser tes mains contre son torse, lui montrant le chemin du petit canapé de cuir, le seul se trouvant dans la petite pièce. Tes jambes se posent de chaque côté de son corps, prunelles toujours ancrées dans les siennes, petit sourire accompagnant ce visage de poupée de porcelaine. On se demande presque qui était le démon et l'ange dans la situation, tu avais prévu de le rendre fou, qu'il ne contrôle plus rien, de peut-être savoir jusqu'où il pouvait aller. Tu bouges ton bassin contre le sien, ses mains se posant contre tes hanches, ta poitrine dorénavant collée contre son torse, tu laisses échapper un rire. À ce que je vois, monsieur n'a peur de rien. Ce n'étais pas tous les mecs dans ce bar qui auraient décidés d'agir de la sorte, de toucher ton corps que seul ton mari avait droit. Ce qu'il ne savait pas, n'allait pas lui faire de mal non ? Bougeant sous le rythme de la musique, tu envoies ta longue crinière vers l'arrière, glissant tes doigts contre ton bustier, derrière ton dos, dégrafant le premier bouton. Tu sais, pour ça je pourrais appeler le videur. Car tu n'es pas le seul à vouloir aller plus loin avec moi... Une fois le soutien-gorge détaché, tu le laisses tomber sur le sol, dévoilant ta poitrine, approchant ton visage de celui de Charming, déviant, soufflant contre son cou. Cette nuit risquait d'être assez mouvementée et c'est ce que tu appréciais, d'enfreindre les règlements, de voir qu'il existait encore sur cette terre des types qui avaient le goût du risque.

CHARMING && SOPHIA
— Baby take off your coat, Real slow
And take off your shoes, I'll take off your shoes
Baby take off your dress, Yes yes yes  —

Tu oses, tu t'imposes, t'es impatient. En fait, tu trouves que tu l'as été un peu trop à ton goût. Tu t'es fait une favorite, une danseuse favorite, ce n'est pas une bonne idée, pourtant il est trop tard. T'arrêté à de la simple danse contact, ça ne te suffis pas. Oh non, t'as besoin de plus de contact. T'as la mâchoire bien tendue dès que tu te retrouves contre ce canapé de cuir. Tu as gardé ton regard sur elle, tu croises ton regard, tu te contentes de son regard, son corps tu le connais déjà assez bien. Tu as fini par poser tes mains contre ses hanches. Sa peau était plus douce qu'elle te semblait. Tes doigts la caresse en douceur cette peau et ta langue se glisse sur chacune de tes dents, la bouche légèrement entrouverte. Tu as toujours aimer fleurter avec le danger. Ton regard reste plongé dans le sien. " Peur de rien comme tu dis, qui vit sans risque n'a rien. " Tu lui souris amusé, sourire narquois. Tes mains suivent chacun de ses mouvements et tes mains remontent contre ses côtes et se glisse contre son dos lorsque sa poitrine se retrouve contre ton torse. Son visage, trop près du sien tu gardes ce rictus sur ta gueule. " Si tu y tenais vraiment, tu l'aurais déjà fait. " Une de tes mains libère son dos et suivent son épaule jusqu'à ce que tu lui remontes le menton te donnant libre accès à son cou. Tu observes son corps, sa poitrine et ta tête s'avance vers sa peau et ton nez la frôle suivant de près tes lèvres. Tu humes son odeur en silence ramenant ta main dans son dos et puis elles redescendent en coeur sur ses hanches. " Tu sais, je peux te laisser tranquille aussi, je peux retirer mes mains. " Tu te redresses enfin, laissant ton souffle quitter son cou. Ton regard se plonge à nouveau dans le sien et tu te cales dans le siège, tranquille, malgré que tu continuerais bien ce que tu entreprenais avec elle.

Tu pouvais presque dire que Charming était devenu un de tes clients favoris, le genre d'homme qui payait bien et qui n'avait aucunes mauvaises intentions à ton égard. La musique te donnait le rythme, de bouger ton corps, oser tous les mouvements possibles. Son corps ancré contre le divan de cuir, tu prends position de ses cuisses, tes mains posées contre les deux extrémités, regard plongé dans les prunelles sombres du beau brun se retrouvant sous toi. Il ose, posant ses mains contre tes hanches, te décrochant quelques frissons, un soupir émanant de ta bouche. Tu es au courant que le videur peut le voir d'une minute à l'autre, qu'il peut très bien le sortir de cette petite pièce en voyant qu'il était beaucoup trop proche de toi, qu'il n'a pas le droit de faire ce qu'il faisait. J'aime Tu souffles contre ses lèvres, sans l'embrasser, ni décrocher aucun baiser. Tu bouges, envoyant valser ta longue crinière blonde vers l'arrière, bougeant ton corps contre celui de Charming, ta poitrine collée contre le torse du brun, ses mains se trouvant contre ton dos. Ça, c'est parce que tu paies bien Sourire narquois accroché contre tes lèvres, tu le provoques, sais pertinemment que tu ne peux pas t'empêcher d'apprécier la compagnie de ce dernier, que contre toute attente, il se passe beaucoup trop de choses lorsqu'il est près de toi. Le souffle contre ton cou, tu penches ta tête sur le côté droit, laissant échapper un nouveau soupir, venant à faire un petit rire. Peut-être Haussant les épaules, tu décides de te détacher de lui, jouant presque aux saintes-nitouches, commençant ta danse, tes mains se posant contre ton corps, remontant de tes hanches jusqu'à ta poitrine. L'ambiance devenait torride, beaucoup chaleureuse et rien qu'avec ça, tu pouvais rendre fou le beau brun toujours assis au même endroit. T'observes le videur qui passe en face de la porte, jetant un coup d'oeil en voyant si Charming avait les mains sur toi, avant de le laisser passer et tu lui fais un clin d'oeil, affirmant que tout allait bien. Une fois la vue libre, tu te retournes aussitôt, lui faisant face, continuant de danser.

CHARMING && SOPHIA
— Baby take off your coat, Real slow
And take off your shoes, I'll take off your shoes
Baby take off your dress, Yes yes yes  —

T'as jamais eut peur de quelque chose. T'as toujours gardé la tête haute, t'as toujours chercher à attendre ce que tu veux. T'as toujours fini par avoir ce que tu veux et tout ce que tu cherches là, maintenant, c'est ce contact physique avec elle. Pourquoi elle? T'en sais rien et tu t'en fiches, tu t'en fous comme si l'or ne valait plus rien. De toute façon c'est le papier qui est l'actuel échange monétaire. Tes mains glissent sur sa peau comme sur ce divan de cuir sous toi. Ce souffle qui se fait entendre, un simple frôlement qui t'anime l'échine. T'as envie de la retenir, quitte à te faire foutre à la porte par le videur. T'as un petit sourire en coin avec le sujet qui tombe sur le tapis. Tu poses un instant ton visage contre sa poitrine fermant les yeux. Ton souffle qui se mêle à l'odeur de sa peau. " Ce n'est que du papier. Tu vaux plus que du papier. " souffles-tu. Puis la voilà qui s'éloigne, qui détache sa chaleur de ta peau. T'as cette envie de grogner et tes bras se croise contre ton torse. Tu t'écrases contre le cuir et tu ne la quittes pas du regard. Elle danse, elle s'agite et détourne le regard de toi. Tu as cette envie de lever ton cul et de te traîner jusqu'à elle. Soudainement, t'as ton regard qui dérive vers la porte et tu croises celui du videur. Tu fais un faible sourire et attend qu'il soit parti avant de t'approcher d'elle, gardant une distance qui reste raisonnable. Tu croises son regard, laissant ses prouesses exotique t'hypnotiser indirectement. " T'as déjà pensé à faire autre chose? Autre chose que danser pour des merdes ? " Ô, tu t'inclus dans le lot !

Charming, étant devenu l'un de tes clients préférés, restait donc toujours assis contre le petit fauteuil de cuir, peu confortable tu en avais conscience mais qu'importe. Tu ne sais pas pourquoi tu te donnes dans la danse, découvrir ton corps le plus rapidement possible, sentir la connexion qui traverse vos pupilles. Ses doigts caressant ta douce peau, ces mains qui ne te feraient pas de mal au contraire de ceux que t'as déjà eu affaire par le passé. Tous les hommes ne sont pas des saints, surtout dans le genre de quartier dans lequel tu travailles le soir, ces personnes perdus dans l'ivresse de l'alcool, se foutant de toutes règles. Son visage près de ta poitrine, petit soupir sortant de tes lèvres, les yeux se refermant par la même occasion. Il faut bien gagner sa vie chéri L'argent n'était pas un problème, tu en as conscience, surtout avec l'immense fortune que ton mari possédait et tu en aurais davantage si ce dernier viendrait à décéder. Tu décides de te décaler, continuant ta danse, bougeant ton corps en face de Charming. Cette présence derrière toi, le videur qui passe, posant son regard vers le brun assis contre le sofa de cuir, te demandant presque du regard, si cet homme ne te causait pas de problèmes. Tu fais un coup de tête, le laissant continuer son chemin. Il s'approche, petite distance entre vous deux. Pourquoi cette question mon beau, c'est bien la première fois qu'un client se soucie de mon bien-être Plongeant tes prunelles dans les siennes, tu possèdes encore ce petit sourire sur tes lèvres, retournant ton corps afin de coller tes fesses contre son entre-jambe, remontant ton dos à son torse. Attendre que son mari meurt, c'est une bonne raison ? Tu n'as pas peur de la réaction de Charming, tu n'attends que ça, qu'il décède afin d'hériter.

CHARMING && SOPHIA
— Baby take off your coat, Real slow
And take off your shoes, I'll take off your shoes
Baby take off your dress, Yes yes yes  —

T'as toujours aimé le corps des femmes et celui de Sophia savait te faire rêver. Il faut l'avouer, tout ce que tu ne peux pas toucher finira toujours par te faire rêver. Payer pour le voir se trémousser devant toi, ça ne te dérange pas, mais tu ne payerais pas pour le toucher, ça non. Si tu peux y toucher, tu le ferais  sans payer. Elle n'a rien d'une fille de joie, d'une putain. Tu ne vois pas l’utilité de la payer pour ce genre de chose. Elle s'éloigne, ça te travaille au ventre. T'as envie qu'elle revienne, tu veux sentir sa chaleur contre toi. Puis soudainement elle parle d'argent. Tu laisses tomber un rire. " Il y a d'autre moyen que de te faire dévorer des yeux. Malgré que je ferais bien plus que ça. " Tu te mords la lèvres inférieur et tu laisses ton imagination faire tout le travail. Tes cheveux se dressent sur ta nuque et une main s'agite. La mâchoire contracté, te voilà à nouveau à proximité d'elle, de son corps. Ton regard croise le sien et ta langue glisse contre ta lèvre. Puis soudainement tu t'intéresses à elle. Pourquoi ? Peut-être pour te changer les idées, ou encore pour t'ouvrir une opportunité de contact physique non surveiller. T'as toute sorte d'idée en tête et t'aime pas le fait d'être freiner. " C'est peut-être que pour moi cette réponse. " Parce qu'il faut avoué que partager sa vue avec d'autre pouvait bien faire sortir une sorte de jalousie. Tu voudrais bien la garder pour toi seule quelques heures de plus. Tu pourrais assommer le videur, tu serais tranquille? Puis son corps se plaque au tient. Tu te mords la lèvre et tes mains se glisse à nouveau contre ses hanches la collant un peu plus contre toi. Puis tes mains glissent le long de ses côtes jusqu'à frôler sa poitrine. Les mots sortent sans même que tu n'y portes attention. " Ça peut toujours s'arranger. " Ton visage se glisse dans son cou et tes lèvres frôlent sa peau.

Cet homme, très entreprenant, savait comment de faire oublier les petits pépins de la vie, donner du piquant dans ton mariage bien que tu n'agis pas de cette façon en compagnie d'autres de tes amants. T'es beaucoup plus sophistiquée que ces autres femmes qui dansaient dans le même cabaret que toi, beaucoup plus humaine, celle qui ne couche avec personne mais qui sait très bien comment se faire désirer. Tu voyais le résultat dans les yeux de Charming, ce même regard posé contre toi, ton corps qui bougeait en face de lui, ta peau dénudée et l'atmosphère qui devenait de plus en plus chaude. Tu ferais quoi de plus, dis-moi Tu plonges tes prunelles dans celles du jeune homme, toujours à proximité de toi. Je suis curieuse Te pinçant la lèvre inférieure, tu continues à danser, cette musique qui te donnait de l'entrain, cette joie de vivre malgré que ton mariage devenait un véritable fiasco. Son corps est près du tien, un frisson parcourant l'échine de ta tête, tournant le regard vers le beau brun. Tu souris, presque amusée par la situation qui s'ouvrait à toi, tu trouvais bon de préciser qu'aucun autre de tes clients n'oseraient s'embarquer dans un terrain aussi glissant que ça. ton dos collée contre son torse, divinement dessiné à travers les vêtements qu'il portait, tu fermes les yeux, frémissant, sentant les doigts de Charming se poser contre ta peau, remontant en frôlant ta poitrine. Tu n'avais jamais évoqué le sujet de ton mari à personne, de vouloir engager un tueur à gage ou même agir dans les bonnes fonctions de l'art, en divorçant. Il pique ta curiosité, ses lèvres posées contre ton cou, soupire sortant de ta bouche. Dit moi Tu veux entendre ce qu'il avait à te dire, les options qui s'offraient à toi, presque une porte de sortie, un échappatoire. Cet homme avait vécu sa vie comme un dieu, volé plusieurs personnes sur son chemin, un grand méchant loup de wall street et maintenant, la vie le ramenait à elle, avec ce cancer qui n'en finissait plus. Tu penses à trop de choses en ce moment, c'est pour cela que la nuit, tu dansais pour ces messieurs, ces hommes qui salivaient rien qu'en te voyant te tortiller autour d'un poteau.

CHARMING && SOPHIA
— Baby take off your coat, Real slow
And take off your shoes, I'll take off your shoes
Baby take off your dress, Yes yes yes  —

T’as jamais su tenir ta langue et encore moins te retenir physiquement. Tu as toujours su avoir ce que tu veux et tu ne caches jamais tes envies. Ce ne serait pas un mec en costard passant devant la pièce qui pourrait t’en empêcher. Tu n’es pas du genre à forcer les choses, tu n’aimes pas faire usage de force physique, surtout pas envers les femmes et surtout pas armée de coups. Une femme recevant un coup te rend malade et parfois même un peu trop agressif. Cette femme allait chercher un souffle assez court et tes mains s’agitaient, nerveuse, prête à toucher tout ce qu’elle pourrait t’offrir de son corps. T’as pas envie de partir là, à moins qu’elle te suive, qu’elle vienne avec toi. Ton cœur se serre, t’agresse, tout comme tes entrailles. « Je ne crois pas que ce soit des choses qui se disent à voix haute. » Tes mains frôlent sa peau et ton regard reste dévoreur, encré dans le sien. Ses yeux restent envoutants et elle va finir par te rendre fou. Ton cœur se serre encore et ta mâchoire se contracte. Tu as un retient fou. « Mais je pourrais bien te le montrer. » T’as soudainement ce sourire amusé en la détaillant de haut en bas.  Tu oses, tu la veux et ce ne serait pas ce club qui t’arrêterait. Il suffirait que t’est le feu vert pour l’écarter de cet endroit et la garder pour toi. Tu te mords la lèvre inférieure et profite de sa peau lorsqu’elle se retrouve collé à toi. Tes mains suivent ses courbes jusqu’à se rejoindre contre son abdomen. Tes mains descendent contre son ventre et tes lèvres restent en douceur contre la peau de son cou. Un frisson te parcourt le dos et tu remontes ta bouche près de son oreille. « Il suffit d’avoir les bons contacts. » Ton regard monte vers la porte un moment et tes mains se retirent en douceur avant que tu te laisses tomber contre le siège au bon moment. Le videur passait à nouveau. Ta main se glisse devant ta bouche, tu observes ses courbes, tu les dessines dans ta tête.

Il était charmant, comme son prénom pouvait le mentionner. Ce dernier était l'un de tes clients préférés, en fait, il est l'un des seuls à posséder ce genre de permission, de toucher ton corps sans aucune restrictions et malgré que tu ne sois pas cette femme de joie, tu te laisserais aller pour être dans le même lit que ce dernier. Sortilège, pourquoi avoir ce genre de pensées... Ses mains caressaient ta peau, t'arrachant de temps à autre des frissons, les battements de ton coeur palpitaient de plus en plus rapidement dans ta poitrine et tu avais l'impression qu'il allait s'évader de sa cage dorée. Petit sourire caressant tes lèvres, tu te pinces la lèvre inférieure. Tu es au courant qu'on est seuls, toi et moi... Outre le videur qui passait de temps à autre, vous étiez seuls à vous faire la tendresse. Il te détaille du regard, tu frémis encore, pas besoin de sentir ses mains contre ton corps, vous n'aviez qu'à vous observer tous les deux et les étincelles ruisselaient partout. Ça pourrait être un bon plan Restant contre lui, continuant de bouger ton corps, tu jettes de temps à autre un regard vers la porte qui était entre-ouverte, histoire que Charming n'ait aucun problème avec le videur. Il souffle contre ton cou, ta tête se penche vers le côté, tes yeux se ferment sous ses caresses, celles qui allaient te rendre folle et qui te donnait envie de quitter le bar, avec lui. Murmurant ces quelques mots, ce fut presque une symphonie dans tes oreilles, l'idée d'en finir avec ton mari était une bonne idée, car tu ne le reconnaissais plus depuis quelques jours, tu penses qu'il soupçonne que tu as une double vie. Ne me dit pas ça, je pourrais te croire aux mots Petit sourire amusé, tes prunelles s'ouvrent finalement quand ses mains quittent ton corps, pour le voir poser ses fesses contre le canapé de cuir, videur s'approchant de la porte pour observer si tout allait bien. Relevant les yeux contre l'horloge, tu réalises que vous aviez dépassés le temps requis pour cette danse. Tu te penches, prenant tes sous-vêtements que tu as retirée il y a quelques instants de cela. Alors mon beau, tu avais quelque chose de prévu ce soir mon beau Histoire de tâter le terrain surtout. Ton quart de travail terminait dans une heure, mais ton patron n'allait pas s'obstiner à te garder au boulot...

T'en as marre des règles, t'en as marre de tout ce que ça pourrait bien représenter face à la société. T'es un briseur de règle et c'est une règle de plus qui t'agace, qui te freine. Tu pourrais bien t'en foutre, mais tu n'y arrives pas, tu ne crois pas que tu arriverais à te passer de ses courbes à elle. Elles avaient quelque chose de particulier et d'enivrant. Sans pouvoir y goûter, ça pourrait te rendre fou. Elle est là, lové contre toi et tu te retiens de fermer cette foutue porte et de la bloquer. T'as la rage qui te prend au ventre, t'aimerais plus de temps, plus... d'intimité aussi. Tu dessines de ton regard chacune de ses courbes, chacun de ses cheveux. « On est peut-être seuls tous les deux, mais tu sais très bien qu'on ne le reste jamais assez longtemps à mon goût. » Ta langue glisse contre la lèvre inférieur et tes dents l'agrippent en silence. Si elle savait comment elle te jouait dans la tête par son simple contact. Te viens même l'idée de la traîner loin de cet endroit pour en profiter un peu. Pervers, peut-être oui, désireux, tu ne cherches pas à le lui cacher, c'est plutôt évident. T'as jamais vraiment chercher à cacher ce genre de chose, peu importe qui est la dame face à toi. Depuis que t'as fiancé a foutu le camp, tu ne te freines jamais à un peu de plaisir charnelle et il faut avouer que cette danseuse te travaillait plus que tu ne l'aurais cru. Elle était jeune, elle avait la peau délicieuse. « Tu n'as qu'à demander. » Une invitation totalement ouverte, tu ne te caches pas, tu es droit, confiant. Puis vient à ses lèvres un mot qui ne saurait pas te barrer la route. Un mari, elle a un mari qu'elle ne semble pas apprécié et tu sais bien que tu pourrais bien t'en charger, ou trouver quelqu'un qui te doit une faveur, en fait, il y en a sûrement plus que le nombre de doigt que tu as. Tu n'as pas renchéri sur le sujet, trop concentré sur son corps. Puis en un clin d'oeil, de retour sur le canapé. Tu soupires, tu grognes. Elle récupère ses sous-vêtements jonchant le sol et tu l'observes, la dévore des yeux. Sa voix brise ce nouveau silence et tu étires un sourire. « J'en sais rien, tu prévois quelque chose qui m'inclus? Si c'est le cas, ce sera avec plaisir. » Tu lui fais un clin d'oeil.

La soirée s'annonçait corsée, tu es surtout au courant que Charming n'allait pas te laisser partir seule, surtout pas avec un nouveau client, possessivité dans l'air et c'est ce que tu appréciais malgré tout, cette soif de jeu, relation que tu n'avais pas lorsque tu te retrouvais en compagnie de ton cher mari. Toxique, serait le mot approprié pour décrire la situation, cette relation malsaine que tu entretenais avec l'homme partageant ton lit. Attraction possible entre deux êtres humains, c'est ce qui arrivait à toutes les fois où le beau brun posait ses mains sur toi, cette force de caractère possédant ce dernier, celui qui se disait être intouchable par tous les sens du terme. Extrémité désirable, prunelles contre les lobes de ce dernier, tu ne peux t'empêcher de sourire doucement, approuvant d'un léger signe de tête. Heureuse de constater, que tu n'as pas envie de me partager avec tous ces autres hommes présents dans cet édifice Souffle chaud contre le sien, lui en mettre plein la vue était devenu l'un de tes passes-temps favoris et ce depuis votre toute première rencontre, cette chimie toujours présente. Cette invitation te paraissait hors de prix, le fait d'engager quelqu'un pour tuer ton mari, était un truc dont tu n'as jamais cru possible d'entendre et pourtant, c'est un fait. La vie est loin d'être simple, l'homme qui partage ta vie semblait sombrer dans des trucs louches, ceux que la police pourrait défier et pourtant, tu es au courant qu'il avait les policiers dans sa poche, enfin, quelques uns. L'envie est palpable, celle de lui donner une réponse positive te traverse presque l'esprit et tu te mordilles la lèvre inférieure, ne sachant pas quoi lui répondre, invitation lancée. Si... Je dis oui, j'espère que tu te rends compte de ce que cela peut envisager Pour toi, cette liberté, tel un oiseau s'enfuyant de son nid, emprisonnée par des chaînes invisibles, celles que l'on ne voyait que très rarement. Il devenait violent, loin d'être l'homme que tu as épousé il y a quelques années et c'est pour cela, que tu voulais disparaître une bonne fois pour toute, ne plus faire semblant. Le corps de Charming vient donc à retrouver le canapé une nouvelle fois, petit sourire amusé contre tes lèvres, dès que tes prunelles se posent sur les siennes, ne semblant pas vraiment apprécier le fait que ce contact, était terminé. Penchant ton corps vers l'avant, te voilà en possession de tes moyens, reprenant les sous-vêtements qui étaient malheureusement tombés contre le sol, ceux que tu devais enfiler histoire de ne pas te montrer face aux nombreux invités que la boîte possédait. À ses paroles, sortant de sa bouche, tu ne pouvais t'empêcher d'échapper un petit rire, remontant jusqu'à lui, tes mains posées contre les appuis du petit canapé. Peut-être Souffle chaud contre le sien, tu déposes un baiser sur le coin de ses lèvres, restant à une certaine proximité de son corps. Je n'ai pas encore terminé mon quart de travail mais... mon patron me doit une faveur, si l'envie te dit, attend moi à l'entrée Te voilà, détachant ton corps au sien avant de marcher d'un pas lent jusqu'à l'extérieur de cette petite cabine, allant te changer et enfiler des vêtements beaucoup plus adéquats.