lula ~ leander

sa voix te manquait, son corps te manquait. jamais tu n'avais pensé que d'être si loin de ton meilleur ami, allait être difficile... ça t'as ouvert les yeux, t'étais amoureuse de lui et même si tu as passer du temps à ne pas te rendre compte des sentiments qu'il éprouvait pour toi, maintenant t'en est certaine. tu prends donc ton téléphone, observant par la fenêtre, le ciel bleu. prenant une longue inspiration, tu pianotes le numéro de téléphone de cet homme qui est très important pour toi, dans ta vie. tu laisses le bruit strident de la conversation, attendant que leander ne réponde.

Jamais Leander n’avait été aussi impatient de revoir quelqu’un. Si les messages textes lui permettaient de patienter, il ne pouvait s’empêcher de penser à quel point il voulait entendre sa voix. Parce que ça lui manquait terriblement. Il n’avait jamais passé autant de temps loin d’elle, une si longue période sans la voir, sans être physiquement avec elle. Quand il entendit son téléphone sonner il s’en depecha à répondre. “T’es consciente que je vais te faire payer ces messages que tu m’envoies quand tu auras atterri a New York.” Qu’il dit sans plus de salutations. Il aurait tout le loisir d’en lui souhaiter un bon retour et lui montrer à quel points il était heureux de la revoir.

ces messages que tu avais envoyé à leander, tandis que t'es en vol pour retourner à new york depuis le petit séjour que tu as fais avec mason à los angeles. ton contrat était terminé et ton agent était très fier du résultat. tu allais certainement avoir des nouvelles d'ici les quelques semaines. tandis que tu composes le numéro de leander, tu ne peux t'empêcher de pousser un rire lorsqu'il parle au sujet des messages. « hm, j'en ai bien l'intention. » souffles-tu d'une petite voix charmeuse, posant ton dos un peu plus contre le dossier. « quoi, tu n'as pas apprécié ces messages ?. » tu prends ta coupe de champagne du jet privé, te mordillant la lèvre.

Il pinça ses lèvres ensemble lorsqu’il l’entendit parler, le ton de sa voix le faisant frémir. Il secoua la tête quand bien même elle ne pouvait pas le voir. « C’est tout le contraire. » Qu’il repondit en un soupire. Il avait une imagination débordante et n’avait pas d’en difficulte à imaginer ce que lula décrivait dans ses messages, pouvant même presqu’en sentir ses mains sur lui, son corps réagissant tranquillement comme si elle était réellement là. « comme si je n’étais pas déja assez impatient de te revoir. »

tu gardes ce ton, séducteur contre tes lèvres. un petit sourire se dessine contre tes lèvres, ton coeur battant la chamade, alors que mason était partit dormir plus loin dans le jet. posant ton coude contre l'appui-bras du petit canapé sur lequel tu te trouves, tu te mordilles la lèvre inférieure, prête à continuer cette conversation. « t'es à quel endroit présentement, pas en publique j'espère. » souffles-tu, poussant un petit rire. tu avais hâte de sauter dans les bras de leander, de l'embrasser avec fougue ou même de passer ce temps rêvé en sa compagnie. il t'avait malgré tout, caché ce petit voyage qu'il t'a concocter et c'est très difficile pour toi. « c'que je donnerais pour coller mon corps contre le tien, sentir tes mains contre ma peau. » souffles-tu.

Assis à l'une des tables du café, il s'adossa un peu plus confortablement contre le dossier de la chaise, jetant de temps à autres des regards autour de lui. Il était une personne relativement pudique et ne voulait pas que la conversation qui se dessinait à l'horizon avec Lula ne parvienne aux oreilles de quiconque. Oui, je suis en public. Je suis à l'aéroport en ce moment, à t'attendre patiemment. Il tentait de chasser les images que les messages de Lula avaient plantés dans sa tête, mais rien ne semblait y faire. Lula... sa voix n'était qu'un murmure, une supplique. Les yeux fermés, il essayait de se concentrer sur une autre image que celle de Lula, assise à califourchon sur lui, son corps collé contre le sien, ses mains contre la peau dénudée de son dos. Ce n'était ni le lieu ni le moment.

un espace publique, voilà sur lequel il se trouvait en ce moment. petit sourire amusé contre tes lèvres, tu jettes un coup d'oeil vers le lit à l'autre bout du jet privé, observant un mason qui était relativement calme et qui dormait à poings fermés. t'as envie de le titiller, de pouvoir surtout sentir que tu lui faisais de l'effet même si vous n'étiez pas tous les deux ensembles. il te manquait, son corps entier te manquait et tu ne peux pas t'empêcher d'agir de la sorte. « intéressant... » souffles-tu, petit sourire en coin. rien qu'en entendant son murmure, ton sourire s'agrandit, sans dire un mot de plus, laissant l'espace d'un moment avant de reprendre la parole. « tes doigts que j'aime tant, tes mains masculines découvrant mes sous-vêtements en dentelle, ceux que tu adores... dégrafant agrafe par agrafe, dévoilant ma poitrine que je collerais contre ton torse... » tu te pinces la lèvre inférieure, fermant les yeux, pensant à cette image dans ta tête.

il pouvait entendre dans le ton de la voix de lula qu'elle avait l'intention de le faire languir et ça n'enchantait pas du tout leander. il essayait de se contenir parce qu'il était en public, que les tables autour de lui se remplissaient tranquillement, les client allant et venant, sirotant leur café pendant de longues minutes, faisant souffrir leander encore un peu plus. comme s'il avait encore besoin d'ajouter un peu plus à son malheur. il l'écoutait, fixant sa tasse de café pour essayer de se concentrer sur autre chose. il pouvait imaginer ses paroles, sentir les gestes qu'elle décrivait, ne lui donnant que plus envie de sentir son corps sous ses mains. il ne put retenir un léger grondement guttural, signe de la frustration grandissante qu'il ressentait de devoir attendre pour laisser libre cours à ses pulsions. "dis-moi que tu atterris bientôt." qu'il dit à voix basse, "parce que je n'en peux déjà plus de t'attendre."

t'es au courant que leander n'allait pas particulièrement aimer le fait que tu agisses comme ça avec lui, son corps qui devait très certainement agir sous l'impulsion et il se retrouvait malgré tout dans un espace où se trouvait plusieurs personnes sur son chemin. un petit sourire se dessine contre tes lèvres, t'adores être en phase de pouvoir et même s'il était tout de même ton meilleur ami et maintenant petit ami, tu pouvais agir comme bon te semble. son grondement, te faisait sourire même tu lâches un petit rire. « hm... je n'en sais rien, pourquoi ? t'as hâte que je te rejoigne ? » la question ne se posait même pas, tu sais que leander voulait te voir dans les quelques minutes, voir les quelques heures qui restaient. « t'as hâte que je retire ton veston, cette chemise blanche que tu portes et profiter de moi... » tu calles ton dos contre le dossier, petit sourire béat. en fait tu ne le disais pas mais t'avais hâte de voir le beau brun, qu'il ne te saute dessus à l'aéroport ou même dans un endroit restreint. tu sais que le beau brun n'allait pas se laisser prier dès qu'il te verra sortir de ce jet privé.

il entendait clairement que lula se foutait de sa gueule, prenait plaisir à le torturer comme elle le faisait. il pouvait presque entendre dans sa voix qu'elle souriait, presque voir ce petit rictus qui fendait ses lèvres, son air content. peut-être était-ce elle qui était en position de pouvoir en ce moment, mais elle ne paierait rien pour attendre lorsque son avion toucherait le sol et qu'ils seraient de nouveau en compagnie l'un de l'autre. après tout, c'était un jeu qui se jouait à deux, une danse que leander savait danser tout aussi bien que lula. un peu, oui. il avait évidemment plus que hâte qu'elle atterrisse, qu'elle le rejoigne. le temps semblait s'écouler avec une lenteur exagérée, ce qui le rendait d'autant plus impatient. oui. réponse courte, mais qui voulait tout dire. il aurait bien voulu s'étaler, lui dire en retour tout ce qu'il lui ferait lorsqu'ils se retrouveraient seuls, mais c'était là des choses qui n'étaient réservées que pour elle, que personne d'autre ne devait entendre. il la voyait déjà détacher sa chemise bouton par bouton, caresser son torse et il n'en pouvait plus d'attendre que ces images deviennent réalité, que la torture se termine. j'ai hâte de te montrer à quel point tu m'as manqué. c'était tout ce qu'il se permettrait comme commentaire, parce qu'il était assez subtil, mais qu'il voulait dire beaucoup.

tu tortures leander, t'en as conscience en un sens sauf que le beau brun était beaucoup trop loin de toi à cet instant, t'as envie qu'il soit en ta compagnie présentement, que vous preniez votre temps pour être rien que toi et lui. petit sourire contre ton visage, tu gardes le téléphone contre ton oreille, discutant d'une voix totalement sensuelle, celle que ton meilleur ami ne peut tout simplement pas refuser. tu ne peux t'empêcher de faire un petit rire lorsqu'il dit simplement - un peu -. « à t'entendre parler, tu sembles avoir hâte bien plus qu'un peu... » toujours ce sourire au coin de tes lèvres, tu continues à discuter avec lui, de dire toutes ces choses que tu avais envie de lui faire et qu'il pourrait te faire dès l'arrivée du jet privé. la réponse était courte, sans doute car il se trouvait dans un endroit public et que certaines personnes pouvaient écouter ce que vous étiez en train de regarder. « et... tu me ferais quoi lean.. » t'avais approchée ta bouche du téléphone, pendant que tu lui disais cette phrase.

il ne put s’empêcher de rouler les yeux et d’esquisser un léger sourire lorsqu’il entendit sa réponse. tout come il hocha la tête, bien qu’elle ne pouvait pas le voir, parce qu’elle avait raison. t’as raison, j’ai peut-être hâte plus qu’un peu de te retrouver. son corps entier se languissait de la retrouver, qu’elle se retrouve à nouveau dans ses bras. il aurait du savoir que la question viendrait. il se leva de son siège afin de s’éloigner des gens, de trouver un endroit tranquille pour pouvoir continuer cette conversation parce qu’il voulait lui dire ce qu’il lui ferait. il voulait qu’elle ressente la même chose que lui. je te retirerais cette robe que tu portes. qu’il dit à voix basse. il ne voulait pas que les passants entendent. et je laisserais mes mains parcourir ton corps. caresser ta peau, ces sous-vêtements que tu portes, te montrer à quel points tu m’as manqué.

t'es au courant que leander avait hâte de te revoir, de passer ses bras autour de ton corps et de vous laisser emportés dans un torrent d'émotion. normalement ça ne te ressemble pas de faire ce genre de conversation avec un homme, mais ce n'était pas n'importe quel homme dans ta vie. ton sourire s'agrandit contre tes lèvres, ta tête est déposée contre le hublot du jet privé, ta lèvre se mord intérieurement. « voilà la réponse que j'attendais. » soufflais-tu, d'une voix sensuelle comme à ton habitude. t'as envie de savoir ce qu'il ferait de ton corps, comment il s'occuperait de toi. fermant les yeux, tu t'imagines donc ce qu'il affirme, ton corps réagissait sous l'impulsion et tu frémissais rien qu'en voyant ces images dans ta tête. « lean... » souffles-tu encore, te mordillant la lèvre inférieure. « dis donc, t'es devenu coquin mon beau... » petit sourire, tu t'attendais à plus que lui d'ici les quelques secondes à venir. t'es tout de même contente de savoir que tu produisais ce genre d'effet sur lui.

comment il aurait aimé se téléporter, être avec elle en ce moment. sa voix ne lui suffisait plus. il avait besoin de la savoir avec lui, de la prendre dans ses bras, de la toucher, la regarder. il laissa échapper un léger sourire lorsqu’elle lui dit que c’était la réponse qu’elle attendait. évidemment. sa voix lui donnait des frissons et il ferma à nouveau les yeux, inspirant un bon coup pour essayer de se calmer un peu. ce fut à son tour d’esquisser un sourire lorsqu’il l’entendit souffler son nom, conscient que là, c’était lui qui lui faisait autant d’effet. ça lui plaisait, bien évidemment, et il était impatient de pouvoir enfin voir ses réactions et pas seulement les entendre. seulement pour toi. qu’il répondit. c’était vrai, jamais il n’avait été de ce genre. il n’avait eu certes que peu de relations, mais des appels comme il le faisait aujourd’hui, des textos comme il lui avait envoyé plutôt, c’était quelque chose d’un peu nouveau pour lui, mais qui lui plaisait. et puis, je poserais mes lèvres contres les tiennes, t’embrasserais avec passion et désir, mes mains venant caresser ta poitrine, avant de descendre mes baisers jusqu'à ton cou, là ou je laisserais ma trace, puis vers ta poitrine. il pouvait déjà l’imaginée étendue sur son lit avec simplement ses sous-vêtements couvrant son corps, belle comme le jour, à sa merci. non, il n'en pouvait plus de l'attendre.

leander allait te sauter dessus dès que tu auras foulé le sol new yorkais, t'en as conscience mais d'un tout autre côté, la seule chose dont tu as envie était de le revoir en un seul morceau et pas que d'entendre sa voix dans un appareil téléphonique. tu souffles doucement, fermant les yeux par la même occasion, sentant que leander devait certainement sourire à l'autre bout du fil, qu'il était heureux de sentir que tu prenais ton pied. petit sourire amusé quand il affirme qu'il était coquin simplement pour toi, tu te pinces la lèvre inférieure, les yeux toujours clos. « tu m'en vois choyée... » ça ne ressemblait pas à ton meilleur ami de faire ce genre de choses, t'en as conscience mais d'un autre côté, ça te plaisait car il s'y prenait assez bien. il ouvrait la bouche à nouveau, voyant en ta conscience les mouvements qu'il infligeait à ton corps, tu frémissais sous l'impulsion sans trop savoir où te donner de la tête. non, tu n'en peut plus d'attendre que l'avion n'atterrisse, que ces quelques minutes devenaient presque interminables et tu avais envie de le revoir. « et je frémissais à chacun de tes touchers, te donnant entièrement mon corps. j'en peux plus d'attendre leander, dès que mes pieds auront touchés le sol, j'ignore si je vais rester sage tout au long du voyage... »

» leander wellington
» (leander) you found me.
» leander wellington
» (leander) paris, really ?
» (leander) slipped away.