messages : 258 inscrit le : 16/10/2018 age : trente-six ans statut civil : célibataire job/métier : journaliste et photographe au New York Times.
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Sujet: another one bites the dust (liam) Mer 12 Déc - 14:14
Jacobi && Liam — Are you ready, hey, are you ready for this? Are you hanging on the edge of your seat? Out of the doorway the bullets rip To the sound of the beat Another one bites the dust —
Jacobi Carter... Oh dans quel merde est-ce que tu t'es foutu cette fois ? Tu t'es mis dans de sale drap. Normalement, tu ne pars jamais quelque part sans le dire à quelqu'un, mais cette fois là, tu t'es fermé la gueule. Trop dangereux pour mettre quelqu'un d'autre en danger. Tu te sens un peu comme Mary-Jane, la seule différence, c'est que tu n'as pas de spider-man, ni de Peter Parker pour venir de sauver la peau en aspergeant les méchants de toiles d’araignée. Tu as été traîné par ici par là à travers un coffre de bagnole, dans un entrepôt, puis dans une camionnette, puis t'en sais plus rien. T'es trop sonné pour savoir ou tu t'es retrouvé. Tu goûtes ton propre sang qui coule le long de ta lèvre, résultat de coups répétés un peu plus tôt. Tu avais de ces idées parfois pour faire les meilleurs articles. T'as toujours été reconnu pour ça. Te mettre en danger pour rendre ton travail plus palpitant, c'est ce que tes collègues te balancent constamment. Ton coeur se serre dès que la voiture s'arrête à nouveau. Tu fermes les yeux tendant l'oreille vers les pas qui contourne le véhicule. Les portes se referment les unes après les autres. Viens ton tour, ta sortie, ton entrée en scène. Le coffre s'ouvre et tu as droit à une lumière aveuglante et à ce froid glaciale qui te prend déjà dans les os. Quelques mains brusques et froides qui se plaquent contre tes bras pour te lancer au sol. Pieds et poings liés, tu n'arrives pas à bouger plus qu'il ne le faut. Tu laisses ton front faire connaissance avec la neige frêle au sol. Tu te traînes avant d'entendre le crique d'une arme. Et Merde. Tu te cales sur le dos, les mains liés derrière. On te balance un coup de pied au côte et tu laisses tomber un cri de douleur. T'as le souffle coupé, mais tu tiens ton regard sur l'arme. Cette fois, t'aurais mieux fait de rester chez toi. Si tu crèves, June ne te le pardonnera jamais.
messages : 65 inscrit le : 30/11/2018 age : Trente-cinq ans. statut civil : Père célibataire d'une fille de seize ans, Mickaëlla. Il est cependant sous le charme d'une jeune femme de laquelle il est de plus en plus proche. job/métier : Lieutenant de police.
Sujet: Re: another one bites the dust (liam) Ven 14 Déc - 11:14
Another one bites the dust.
Avec Jacobi Carter
Sauver ou périr, c'était un peu ma devise depuis que je m'étais engagé dans la police, en plus du traditionnel protéger et servir. Chaque jour était différent grâce à la diversité des enquêtes sur lesquelles je travaillais, mais les choses devenaient toujours plus compliquées quand des personnes que je connaissais se retrouvaient impliquées et en danger.
Alors que je me trouvais en ville, en voiture, je recevais un appel radio me signalant un possible enlèvement. Sans attendre, je me rendis sur place, retrouvant la personne qui venait d'appeler pour lui demander plus d'informations sur ce qu'elle avait pu voir, un véhicule qui sortait d'un entrepôt assez connu pour abriter de sombres affaires.
Après avoir entendu cela et avec la description du véhicule, je demandais à la centrale de le retrouver en regardant sur des caméras, chose qui fut faite assez rapidement, me laissant une adresse , il fallait que je m'y rende au plus vite. Je remontais en vitesse dans ma voiture et je roulais aussi vite que possible, slalomant entre les voitures dans les rues de la ville pour arriver au plus vite sur les lieux où une personne était sûrement en danger.
En arrivant, je me garais à l'arrachée, descendant ensuite de ma voiture pour approcher plus silencieusement des éventuels criminels. Je fus très surpris de voir le frère de June, attaché et en mauvaise posture menacé par une arme. En voyant cela, je savais que je ne pouvais pas attendre que les renforts arrivent, il fallait faire vite. Je sortis donc mon arme, et avant que le criminel ne tire sur Jacobi, je tirais dans sa main et son pistolet pour le désarmer, me dévoilant en même temps.
« Les mains en l'air, je vous arrête ! »
Je savais bien que je ne pourrais pas les arrêter seul, mais l'action que je venais d'accomplir pourrait peut-être les faire douter et me faire gagner quelques précieuses secondes afin que les renforts puissent arriver.
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