See you again. Bitch. + Lyam

“see you again. Bitch
3 semaines que tu n’as pas vu Lyam. T’as mis les pieds à la maison pour aller chercher quelques trucs importants et tu étais repartis. Tu avais eu de la chance, l’université avait encore des chambres de dortoirs vides, alors tu y avais élue domicile. Ta mère avait riposté un peu, mais elle avait comprit que tu avais besoin de vivre tes expériences lorsque tu lui expliquas qu’avec la mort de ton père, tu voulais profiter de la vie. Un peu naïve, elle avait accepté et elle t’avait même fait livrer le restant des choses que tu avais de besoin. Portable à la main, tu regardais la liste des numéros bloqués. Celui de Lyam y trônait. Ton cœur battait la chamade, c’était à t’en rendre folle. Tu rangeais ton portable alors que tu sentais un bras se poser autour de tes épaules. Tu souris et passa à ton tour ton bras autour de la taille de James. C’était un mec de ta promo. Un ami en quelques sortes… Tu tentais d’oublier Lyam le plus possible, alors c’était simple de tomber dans les bras d’un autre. Vous aviez passé la soirée avec d’autres gens de la promo lorsqu’il te ramena aux dortoirs. Tes doigts qui enlaçaient les siens, tu marchais de reculons, lui faisant face. «Allez… Reste avec moi ce soir… Tu me l’as promis hier…» Il rigole avant de venir caresser ta joue de son pouce. «On est en plein examen Everlyn… Tu sais bien que je ne peux pas…» Tu fis la moue, alors qu’il venait te coller au mur à côté de la porte de ta chambre. Ses lèvres capturèrent les tiennes. Un baiser remplis de promesses. Il recula, embrassant ton front puis il caressa ta joue une dernière fois avant de partir, les mains dans les poches. Tu soupirais, posant ta tête contre le mur. Tu ressortis ton portable des poches de ton manteau puis tu fixa le numéro de Lyam. Ta tête se secoua avant que le portable ne retrouve le chemin de ta poche puis tu relevas la tête. Ton cœur ne fit qu’un tour. Il était là, au milieu du couloir. Comme s’il avait vu toute la scène. Tu pinça tes lèvres puis tu fronças les sourcils lorsque tu vis une des filles du dortoirs sortir de sa chambre pour lui rendre un truc qu’il semblait avoir oublier. Tu serras le poing puis tu enfonças la clef dans la serrure pour venir ouvrir la porte de ta chambre. Tu refermas derrière toi, sans verrouiller. Ton manteau se fit balancer sur ton lit avant que tu ne cherches ton sac d’école. Tu allumais la lumière et tu te posais sur ton lit, prête à étudier pour oublier ce que tu venais de voir.

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“see you again. Bitch
Pas la moindre nouvelle depuis près trois semaines, quelques messages échangés avant qu'elle bloque ton numéro. Cela t'as rendu fou sur le moment, brisant même l'écran de ton téléphone. Ta fiancée se pose pas mal de question, tu n'oses même plus la toucher depuis cette soirée. Tu trouves toujours une excuses pour l'esquiver, rentres tard le soir alors qu'elle est endormie. Tu t'es demandé plusieurs fois pourquoi une telle réaction de ta part, tu ne l'expliques toujours pas. Ou tout simplement, tu ne préfères pas affronter la réalité qui te pends au nez. Presque toutes tes soirées, tu les as passé à zoner dans les bars pour oublier sans nul doute. Des soirées que tu n'as quasiment pas terminé seul. Cela ne t'as pourtant pas empêché de penser à elle, son image qui t'a hanté cette nuit encore comme les précédentes. Une nuit que tu as tout de même passé en bonne compagnie, une étudiante dont tu te rappelles à peine le prénom. C'est une fois devant l'immeuble où tu crèches que tu te rends compte de l'absence de ta carte d'accès. Tu pestes contre toi même, pas le choix de retourner à la citée universitaire. Tu ne mets pas longtemps à y arriver, avec ta moto c'est beaucoup plus facile de rouler au milieu des voitures. Alors que tu toques à la porte de ta conquête de la veille, ton regard se pose sur un couple d'étudiant. Tu aurais préféré ne pas tomber sur cette scène qui t'agace, clairement. Ce gars qui ose mettre ses mains sur elle. Everlyn. La porte s'ouvre devant toi, une jolie blonde avec un sourire béat sur le visage. Elle te tend ta carte d'accès que tu enfiles dans la poche arrière de ton jean's. " Tu m'appelles bientôt ? " Elle y croit sérieusement, brièvement tu hoches la tête. " Ouai j't'appelle... " Alors qu'elle retourne dans sa chambre, toi c'est vers une autre que tu avances. Tu frappes dans un premier temps, sans surprise aucune réponse. Tu soupires doucement, tu tentes de tourner la poignée et par miracle celle-ci n'est pas verrouillée. Tu sais que ta présence ici, elle n'en veut pas. Tu pénètres tout de même dans sa chambre que tu prends soin de refermer derrière à toi. " Alors c'est ici que mademoiselle pionce. " Tu lui lances ça l'air de rien parcourant du regard la chambre. " C'est ton mec ? " Question qui te brûles les lèvres.

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“see you again. Bitch
Tu ignores si t’as eu le cœur en miette ou si tu as eu envie de vomir lorsque tu l’as vu en face de cette blondasse. D’ailleurs, elle n’a pas une très bonne réputation. Tu avais vivement fermer la porte de ta chambre, grognant dans ta barbe avant de retirer ton manteau, dévoilant un t-shirt ajusté. Tu t’étais caller contre ton lit, le bouquin de cours sur tes genoux, ainsi qu’un surligneur afin de prendre des notes. La fatigue te gagnait peu à peu. Ta main frotta tes yeux alors que l’on cogna à ta porte. Tu savais qui était de l’autre côté. Tu soupiras, prête à l’envoyer balader, mais il en décida autrement. Il pénétra dans ta chambre, refermant derrière lui. «Ah bah oui, vas-y, ne te gêne pas surtout. T’as pas été élevé ou quoi?» Tu quittes ton lit pour t’approcher du bureau, sans attendre tu entrepris de retirer tes lentilles, venant mettre tes lunettes sur ton nez. Tu les portais que très rarement. Bien qu’elles te donnaient un look un peu plus intellectuelle, tu détestais le fait d’en porter. Ignorant sa présence, tu le laissais détailler l’endroit, alors que toi, tu remontais tes cheveux dans un chignon bien haut. Tu lui jetas à peine un regard lorsqu’il te parla de James. Tu souris, prenant un air de demoiselle follement amoureuse puis tu haussas un sourcil. «Et en quoi ça te concerne? Tu n’es pas mon père. Oh et tu n'aurais pas une fiancée à embêter? Ma mère peut-être, non?» Tu haussais les épaules, venant reprendre ta place sur le lit, recommençant à prendre des notes dans ton bouquin, l’ignorant. C’était pénible. Tout ton corps réclamait ses caresses. Tu mis ta main devant ta bouche pour cacher un baillement puis tu t’étiras un peu. Tu ignorais sa présence. C’était mieux ainsi. «Tu devrais partir, je dois me reposer et je n’ai pas envie de te voir.» Crue, directe. Totalement faux.

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“see you again. Bitch
Une fois de plus tu ne te gènes pas pour entrer dans son intimité sans qu'elle est un mot à dire. De toute façon si tu lui avait demandé, elle aurait sans aucun doute refusé que tu entres. Alors tu le fais à ta façon, au culot. " Tu ne crois pas si bien dire. " Toi, tu n'as pas eu de famille. Pas de parents pour te montrer le droit chemin, pour te dire ce qui est bien ou pas. Ta mère, une camé qui t'a lâchement abandonné et ton père ? Dieu seul sait son identité. Toi, tu es le petit du foyer qui a enchaîné les familles d'accueil. Tu t'es fait ta propre éducation, tout seul. Tu viens regarder chaque petits détailles de sa chambre, puis tu poses tes yeux sur elle. Ce petit air sérieux, tu l'as trouve si jolie avec ses petite lunettes sur le nez. Sexy, même. Elle n'attache aucune importance à ta présence, intérieurement ça t'agace. Tu reste tout de même impassible. " Ton mec alors... " Cela te brûles de l’intérieur de la savoir avec un autre garçon, de la jalousie que jamais tu ne pourras t'avouer. Tu ignores totalement le fait qu'elle te parle de sa mère, tu n'as pas envie d'aborder ce sujet. Vraiment pas. Son ignorance, inconsciemment te fais mal. " Je devrais oui... mais je n'ai pas tellement envie. " Tu ne quitteras pas sa chambre, trois semaines que tu n'as pas de nouvelle et que tu désires tant la voir, la serrer dans tes bras également. Tu viens d'appuyer contre le bureau qui se trouve dans sa chambre, un sourire aux lèvre arquant un sourcil. " Alors ce mec... il te fais prendre ton pied ? " L'art de la provocation, tu connais ça très bien et tu n'hésites pas d'en user avec elle. Tu sais très bien qu'elle va partir au quart de tours, indirectement une façon pour toi qu'elle te porte de l'attention.

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“see you again. Bitch
Tu essayais de l’ignorer du mieux que tu pouvais, mais tu voyais bien sa mâchoire carrée qui se serrait chaque fois que tu semblais l’ignorer. Replaçant tes lunettes sur ton nez, tu essayais tant de bien que de mal de faire tes leçons, mais tu n’y arrivais pas. Tu le trouvais tellement agaçant. Tu te levais rapidement, posant son livre sur le lit. Tu allas vers le garde-robe puis resta dos à lui. ”Comme tu te fou de mes besoins, j’imagine que tu te fou que je me change devant toi!” Tu retiras ton t-shirt, venant enfiler une nuisette de soie. Tes doigts attrapèrent le haut de ton jeans et tu le fis glisser sur tes fesses avant de le retirer, le balançant dans une benne à linge. Tu repris ton gros bouquin et tu viens le poser à côté de Lyam, sur le bureau. ”Oh, tu sais… James… C’est… Juste parfait… Chaque fois que ses doigts me frôlent… C’est, comme dire. Merveilleux, extasiant?” Tu lui souris puis tu haussais les épaules. Tu attrapais ta brosse à cheveux puis passa quelques coups dans tes cheveux avant de reposer la brosse près de Lyam. ”Maintenant, si tu n’as plus besoin d’avoir d’informations sur ma palpitante vie sexuelle, tu peux quitter et rejoindre les draps de ta future femme.” Tu retournas à ton lit puis tu te glissas sous la couette, appuyant sur l'interrupteur pour fermer la lumière. Tu fermas les yeux, prête à dormir, mais il était bien trop présent. Tu lâcha un cri de rage avant de te lever. Tu fis les pas qui vous séparait puis tu attrapais sa mâchoire, venant capturer ses lèvres du même coup. ”Embrasse-moi…” Tu voulais qu’il profites de toi, qu’il rattrape les 3 semaines qui vous avait séparer.

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“see you again. Bitch
Appuyé sur le rebord du bureau, tes bras qui se croisent sur ton torse. Tu lui fais bien comprendre que tu ne bougeras pas d'ici, même son ignorance n'y arrivera pas. Tu observes le moindre de ses gestes, jusqu'à la regarder se changer devant toi. Bien évidemment que tu t'en fous de la voir se changer devant toi, ce n'est pas comme si tu l'as déjà vu dans son plus simple appareil. Dos à toi, tu aperçois brièvement son petit fessier rebondi que tu meures d'envie d'embrasser, d'ailleurs tu viens doucement mordiller ta lèvre à cette idée. Tu restes silencieux, te contentant de l'observer minutieusement. La voilà venir vers toi, alors que toi tu crèves d'envie de lui retirer cette nuisette qu'elle vient de mettre. Elle, elle ne tare pas d'éloges sur son nouveau mec. Ça t'énerves. Tu ne veux pas le montrer, mais l'expression sur ton visage te trahie. Ne serait-ce qui m'imaginer ce gars qui pose ses mains sur sa peau, te rends fou. Tu boues de l’intérieur. Elle t'envoie une nouvelle fois balader allant se glisser dans les draps de son lit, grand moment de solitude lorsque qu'elle vous plonge tous les deux dans l'obscurité. Rien ne sert de rester une seule seconde dans cette chambre, a quoi bon si elle ne daigne même pas te calculer ? Au moment de détacher tes mains de ce bureau pour t'éclipser, brusquement sans t'y attendre elle se lève pour venir capturer tes lèvres. Ce petit bout de bonheur dont tu as eu envie dès l'instant où tu es entré. Pourtant tu viens doucement décoller tes lèvres des siennes, ton index venant se positionner sur sa bouche. Tu peines à voir son regard dans l'obscurité. " Tu as raison, je devrais mieux rejoindre les draps de ma future femme... et toi qui semble tellement satisfaite de ton James, tu n'as qu'à lui demander à lui de t'embrasser. " Et ô combien tu as envie de dévorer ses lèvres, elle a voulu t'ignorer. Te narguer avec son nouveau mec. C'est à ton tour désormais, de jouer à son petit jeu. Arghhh ! Cette jalousie que tu ne veux pas accepter.

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“see you again. Bitch
Tu bouilles. T’as voulu l’embrasser, comme si vous ne vous étiez quitter pendant 3 semaines et lui, il te repousse, te poussant à elle vers ton petit ami. Tu serres les poings, un peu furax puis tu souris, reculant. «Bien. Alors soit, je vais aller le voir! Après tout, ça ne devrait pas te déranger, comme tu sembles avoir une vie sexuelle active. Tu attrapais tes lunettes que tu remis sur ton nez avant de venir ouvrir la lumière. Tu attrapas ton portable et tu pianotas dessus. Le portant à ton oreille, tu fixais Lyam avant de prendre place sur ton lit. «Bonsoir mon chou… Tu me manques déjà… Tu fais quoi? Moi? Je pensais à toi…» Ton regard qui se pose sur Lyam, alors que ta main glisse le long de ta nuisette en satin. Doucement, tu remontes l’ourlet, question de bien faire réagir ton beau-père. Il a voulu te repousser. Bien tu vas lui faire payer. «Oh… Hum… Ouais, bonne idée… à tantôt…» Tu raccrochais puis tu te leva d’un bond, retournant vers ta micro penderie. Tu fouillas un peu puis tu sortis de la lingerie. Tu retiras nuisette avant de venir enfiler cette brésilienne en dentelle rouge et de mettre le soutien-gorge assortis. Maintenant que tu l’avais eu dans ton lit, tu savais ce qui le ferait flancher. Tu attrapais aussi un jeans que tu enfilas avec un t-shirt. «Allez, cours vite retrouver ta fiancée, j’ai mieux à faire que te regarder faire la plante décorative.» Tu nouais tes cheveux sur ta nuque puis tu continuais de fouiller, afin de trouver une veste pour te couvrir. Après tout, les températures fraiches avaient fait leurs apparitions.

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“see you again. Bitch
Tu la repousses. Alors qu'au fond, tu la désires plus que tout au monde. Tu regrettes déjà de l'avoir pousser dans les bras de son nouveau mec, pourtant tu n'as pas envie qu'il la touche. Être le seul à pouvoir déposer tes mains sur elle. Tu la veux rien que pour toi Everlyn. Avec elle tu deviens possessif. Jaloux. Choses qui ne sont jamais arrivées avant de la rencontrer. En pleine conversation avec lui, elle te provoque sans ménagement. Le pire dans tout ça, ça marche. Oh non, tu ne la laissera pas le rejoindre. Tu te sens tout à coup très nerveux, faiblir sous ses provocations ou bien continuer ton indifférence. Ce désir brûlant qui ne fait que s’accroître lorsque qu'elle enfile cette jolie dentelle rouge. Tes mains viennent frotter le devant de ton visage, quelle décision prendre. Céder à cette tentation qui prône au dessus de ta tête, telle que l'épée de Damoclès. Au diable ta fierté ! Le nez dans sa penderie, tu viens te coller à elle l'emprisonnant de tes bras. " Tu penses aller où comme ça princesse ? " D'une main tu viens mettre ses cheveux d'un côté de son cou, pour d'occuper de l'autre côté avec tes lèvres qui se posent avec tendresse dessus. Tu lui chuchotes à l'oreille. " Le rejoindre peut-être ? Mauvaise idée... Tu peux essayer de me faire gober tout ce qui te chante Everlyn, mais tu sais tout comme moi que seules mes mains te font cette effet que tu ne peux pas expliquer. " Toi aussi, tu n'expliques pas cette tension qu'il y a entre vous. C'est fort. Brûlant. " Je suis persuadé que ce petit ensemble en dentelle rouge te va parfaitement. Montres moi princesse. " Doucement, tu lui mordilles le lobe de son oreille. Ton bassin collé à ses fesses, ce jeans qui épouse parfaitement ses formes. Ta princesse rien qu'à toi.

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“see you again. Bitch
T’es là, face à cette penderie. Tu cherches une veste pour couvrir ton corps parce que tu sais que le temps froid est arrivé. C’est au moment où tu allais te retourner que tu sens ses lèvres venir se poser sur ton cou. Tu fermes les yeux, retenant ton souffle. Tu trembles de désir pour cet homme. Tu fronces les sourcils à ses paroles. Tout se bouscule dans ta tête. T’as peur de lui donner ton corps de nouveau. Tu sais ce qu’il veut dire par rapport à James et honnêtement, tu sens une pointe de jalousie. Tu sens sa main qui caresse ton ventre. Son bassin qui est collé contre ton fessier, tu comprends qu’il te veut, surtout lorsqu’il parle de ta dentelle rouge que tu viens d’enfiler. SAns attendre, tu te défais de lui, lâchant un petit rire nerveux. ”James ne m’offre pas que du sexe. Il m’offre de l’attention, de la tendresse… De l’amour.” Tu enfilais ta veste de laine puis tu replaça tes lunettes sur le bout du nez. Croisant tes bras sur ta poitrine, tu pinças tes lèvres. ”Écoute… Oui, lorsque l’on a… Enfin, c’était génial… Mais je ne suis pas qu’une baise. Je vaux mieux que juste ça... Et James ne m’offre pas que ça.” Tu attrapais ton sac et y fourra ton livre d’études. ”Je dois y aller… Si tu veux éviter ma mère, tu peux dormir ici. Mais verrouille en partant.” Tu t’approcha, posant tes lèvres sur sa joue avant de te diriger vers la porte. Tu ouvris et t’engouffra dans le couloir. Ton coeur qui battait la chamade, tu avais presque les larmes aux yeux… Une partie de toi espérait qu’il se jette dans tes bras, te déclarant ses sentiments… Mais tu le savais que ça n’arriverait pas...

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“see you again. Bitch
Dos à toi, tes bras viennent doucement l'enlacer en profitant pour embrasser son cou. Une main qui caresse doucement sa chevelure, tandis que l'autre vague entres son ventre et ses hanches. En téléphonant à son petit-ami, elle a réveillé en toi une jalousie que même toi t'ignorais l’existence. Pourtant ta fierté, t'as poussé à l'envoyer valser quelques minutes plus tôt. Avec cette fille, tu ne sais vraiment plus ce que tu veux réellement. Tu n'as pas envie de t'attacher à elle, mais c'est ce qui est en train de se produire. Cette possibilité que tu pourrais être en train de sérieusement tomber amoureux d'elle n'est pas envisageable, tu ne l'admettras jamais de toute façon. Toi, tu n'aimes personne. Tu n'arrives déjà pas à aimer la personne que tu es, alors comment pourrais-tu lui donner ton amour à elle ? Alors, tu préfères ne rien lui promettre. Garder ses sentiments enfouis rien que pour toi. Tu la désires plus que tout en cet instant et cette dernière vient te repousser comme tu as pu le faire toi avant. Ça pique là où sa fait mal, ta fierté en prend une sacré coup. Elle n'a pas réellement tors dans ses paroles. La tendresse. L'attention. L'amour qu'elle voudrait peut-être que tu lui apportes, tu ne peux pas lui donner. C'est bien au dessus de tes forces, tu préfères lui laisser croire qu'il n'y a que son corps que tu désires. Au diable, tes réels sentiment. Tu restes immobile devant elle, pas un mot qui ne sort de ta bouche alors qu'elle continue de d'assassiner des siens. Tu restes totalement indifférent à ce baiser sur ta joue, ce n'est pas ça toi que tu veux. Tu la laisses s'échapper, une nouvelle fois la jetant dans les bras d'un autre. Tu te laisses tomber assis sur son lit pendant de longues minutes, ton visage enfouie dans tes mains avant de quitter les lieux. Jamais tu n'aurais imaginé que cela puisse faire mal. Ta fierté. Ton coeur. Tout.

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