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 peinture subatomic (mikey)

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Marvin Bennet
✻ SAVE THE LAST CHANCE
Marvin Bennet
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MessageSujet: peinture subatomic (mikey)   peinture subatomic (mikey) EmptyDim 21 Oct - 19:54

(peinture subatomic) peinture subatomic (mikey) 1f342 c'est le regard vague à l'âme, qu'il a chopé sous l'étole d'une étoile. qu'il regarde par la fenêtre de son bureau, le postier glisser une lettre. il entend bambi gueuler qu'elle part. il la voit sortir et l'embrasser de loin. mécanique triturée, il lui répond d'un je t'aime baiser. elle s'en va. comme une grande. les affaires dépouillés par son réveil en retard. il patiente. à la fenêtre. à regarder. en face. à droite. à gauche. il espionne la voisine balader son chien de bon matin. elle semble perdue. comme bloquée dans un autre univers à tirer sur la laisse. parce qu'il va trop vite ce clébard. parce qu'il court trop vite ce clébard. parce qu'il demande trop d'attention ce clébard. elle passe devant sa maison, elle semble détester cette baraque monotone. faut dire que marvin aussi l'a déteste. chômeur à ses heures perdues, il arpente les couloirs. il ouvre des tiroirs. il monte à l'étage. il redescend. il regarde la télé. il finit un chapitre de son livre. il s'attaque à la confection du dîner pour ce soir. il s'active à couper la haie. s'occuper des fleurs senteurs mauvais égards de mathilda. toujours en vie, elles. toujours entre ses mains, elles. manège pour éviter cette boîte aux lettres. il a bien vu l'enveloppe. de ses yeux aigles même s'il commence à perdre. blanche d'une écriture dorée, un timbre avec la photo de l'Himalaya. personne d'autre ne lui envoie des lettres. les impôts à la limite. personne d'autre.
il reçoit un coup de fil. le bureau qui lui demande où il en est. ça avance, ça avance qu'il dit. alors que ça fait des heures qu'il se perd dans des livres de botanique. il a tenté. de dessiner une courbe. puis deux. puis six. puis un brouillon en est ressortit. barque à l'eau. l'image lui donne le mal de mer. va falloir sortir et se changer les idées.
il trace. tout rond. tout pile. le mécanisme de retour. la bouteille sous le bras et la veste sous l'autre. il trace. s'arrête pour choper la lettre qu'il coince entre ses dents. il trace. frappe à la porte. mike, si t'es pas là, ça en fera plus pour moi.
il ose plus.
il veut plus trop.
entrer comme ça.
il souffle à la brise qui vient claquer sur sa gueule. saloperie d'automne, ça va le tuer un jour. un rhume trop persistant. un vieux, ça crève de tout. même d'avaler d'travers.
y'a mike qui ouvre. il veut pas trop parler. il veut pas trop bouger. il lui balance les clés de voiture.
- faut qu'on bouge. j'en peux plus d'rester ici.
il pense voir double. il s'imagine voir des choses inexistantes. puis l'inspiration ça vient plus. elle stagne. elle ressasse le passé avec sourire. ça le consume. doucement. avec présage et envie. il lui montre l'adresse collée sur la lettre.
- on pars là-bas.
puis il attend. un peu. passe un regard au-dessus de l'épaule de son voisin. il guette un mouvement.
- t'es tout seul?
c'est nouveau. voir mikey embrasser sa maison avec une autre. deux jouets qui s'activent à l'intérieur de sa maison de poupée. c'est du renouveau. comme un dalton qui viendrait repeindre les murs. il patine le perron avec désinvolture et stresse. parce qu'il a pas trop bu aujourd'hui. un verre dans son café. trois verres à midi. c'est tout. trop peu pour le gabarit naissant. attendre, le froid aux joues. l'été qui défile et ça fait du bien. le soleil accablant d'une chaleur étouffante. trop peu pour lui. mikey qui se décide à sortir. marvin qui tient pas sa langue plus longtemps.
- c'est chez mes grand-parents. 'fin. ce qu'il en reste.
morts et enterrés. peut-être ensemble. peut-être pas. il n'était pas allé à l'enterrement. ça avait attristé ses parents, ça avait fâché les frangins. mathilda et les gosses y sont allés. blague récurrente chez marvin. laisser mathilda gérer ses sentiments et sa vie, de la douche à l'enterrement. il se dit qu'ils pourront faire des activités de vieux là-bas. pêcher. boire. couper du bois. boire. faire une sieste. boire quand même. il veut pas y aller marvin. la tête d'un enfant qu'on pousserait à rentrer dans une maison hantée. il s'accorde à dire qu'il faut y aller. un jour. ou l'autre. que ses parents sont plus tout jeune. qu'ils crèveront. bientôt. c'est dur à dire. mais marvin, ça le pincera qu'une demi-seconde. des inconnus perdus aux bataillons, y'en a pas mal. eux, ce ne sera qu'un nom similaire gravé sur la pierre. ça va faire du grabuge chez les bennet. il le sait. il y peut rien. il les aime pas. il les comprend pas. marvin qui chope le regard de mikey.
- j'ai soif, mikey. putain que j'ai soif.
drogué avant l'heure. c'est trop lucide qu'il s'en rend compte. c'est trop bourré qu'il perd la raison. raison fatale. ça va le tuer. demain, aujourd'hui, plus tard. une pile en fin de vie. suspense tarissable que de savoir quand. le testament déjà rédigé. il a prévu tout marvin. il a prévu trop marvin. 
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Mikey Renton
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MessageSujet: Re: peinture subatomic (mikey)   peinture subatomic (mikey) EmptyDim 4 Nov - 16:30

(peinture subatomic) peinture subatomic (mikey) 1f342 c’était facétieux, ressort comique qu’on aurait vite fait d’étaler à plusieurs reprises dans une pièce. running gag permanent de l’employeur qui s’essaie à toucher la poussière et la crasse. il s’est souvent demandé pourquoi il continuait à payer juanita ; au-delà de l’odeur qui vagabondait le propre — c’était la serviette tendue après l’orage, les petits plats que sa mère ne se donnait plus la peine de cuisiner pour lui. mais juanita oui. avec son air renfrognée, elle laissait l’assiette dans le frigo sans rien dire. faisait la vaisselle le lendemain sans demander son reste. et mikey, mikey il échappait quelques mots d’espagnol pour la forme. payait son fils à ne rien faire de l’été. pas besoin de faire un procès, de dénoncer qui que ce soit. il jouait là-haut avec dalton, des heures, à buter des mecs sur un écran d’ordinateur.
elle était restée un peu plus longtemps juanita,
sourire discret mais perceptible au coin des lèvres, à renifler le goût du sang et de l’incompétence. mikey, il saurait pas comment allumer son propre lave-vaisselle, ou lave-linge, ou n’importe quoi commençant par le préfixe lave-
à croire qu’il descend du ciel avec ses pourboires mirobolants, mikey il jette son fric comme des cotillons. il va même jusqu’à laisser des billets de $100 à la machine. si c’est perdu il s’en fout. il fait comme si c’était important, comme si il avait la valeur de l’argent. et puis il recommence cent fois au moins, la tête habitée par d’autres formes de paperasse qu’on aurait vite fait de juger sans valeur.
il y avait bien un ressort comique à le voir, diable, s’énerver sur une pauvre tondeuse à gazon qui n’avait rien demandé à personne. il avait de l’herbe de la tête aux pieds mikey. et même au-delà de la vitre, juanita pouvait l’entendre jurer dans au moins quatre langues différentes.
elle ne comprenait pas tout; c’était pas d’ici mais de plus loin.
la porte cogne, y a le poing qui tambourine sur le bois. symbole de résurrection et d’évitement. il s’éclipse. secoue ses cheveux et ses fringues en traversant la maison. il allait appeler un type pour faire ça, un type qui lui demandera dix fois le prix du marché; ce genre d’arnaqueur.
mais peu importe ;
marvin est là, c’est une surprise ordinaire mais une bonne occasion de justifier sa fuite. de prétendre un mélodrame dans la rue d’à côté ou ailleurs.
il réceptionne les clefs en deux fois, il a pas l’temps d’en placer mikey. tout se bouscule plus ou moins, l’information circule comme une balle de ping-pong en plein jeux olympiques. et maintenant fallait qu’il suive marvin. le gamin qui capitule dans les orties à cache-cache. qui s’écorche à sang pour une cause dont il est le seul à connaître.
c’est sûrement une bonne raison. une raison suffisante. personne irait chercher personne dans une forêt de ronces. ou peut-être qu’il était cette personne.
- mais c’est à trois heures d’ici... pas que ça soit un problème mais ?
il avait rien à faire, sinon tondre un carré de pelouse avant que cette lubie ne le quitte. avant qu’il n’embauche sa relève en sirotant une margarita sur sa terrasse à seize heures tapantes.
faut croire qu’il avait loupé le coche travaux manuels à force d’avoir le nez dans les bouquins de philo (pour le peu que ça lui sert aujourd’hui, il aurait mieux fait de lire ceux de management).
il ferme la porte derrière lui. évidemment que juanita était une vraie personne, avec tout un attirail pour relier les os entre eux.
- ça m’arrive. plus souvent qu’il ne voudrait l’admettre. la solitude c’est pas bien. ne rien partager c’est pas bien. c’est pas être tout à fait vivant. paraît que si on poste rien sur les réseaux sociaux, on meurt. que si on repeint pas les murs d’une couleur différente chaque soir on est un mauvais coup. catalogué pauvre mec qui s’essuie sur le câble. alors non c’est pas bien.
- ce qu’il en reste... il répète au bas mot. difficile d’imaginer marvin en bambin joufflue qui vole dans la boîte à gâteaux de sa grand-mère après quatre heures. le nez en l’air, dirigé depuis la pendule qui fait vacarme pour marquer comme une église la décadence de chaque décennie. sûrement pour ça que la cachette est aussi bonne; un mioche on peut tout lui pardonner. presque tout. combien de fois il s’était énervé pour, le lendemain, faire comme di de rien n’était ? il avait rien à pardonner à marvin. il était là, dans les orties avec lui. dans ce bourbier qui fait semblant de vie et dès fois semblant de mort quand ils abusent sur la boisson.
il enlève l’herbe sur son pantalon, jette un œil à la voiture de marvin.
- parce que tu crois que j’vais faire le taxi pendant que tu picoles juste à côté ?
on a pas l’temps pour tes conneries.
t’as qu’à prendre une bouteille d’eau.
il s’amuse en s’écoutant parler. il s’amuse à mal aborder le sujet. il devrait être un meilleur pote mikey mais tout ce qu’il en retient c’est l’image de ce vieux pilier de bar écroulé sur le comptoir, qui s’marre de la couleur du ciel.
et qui tourne, ivre, comme un hand spinner.
qui va finir le crâne ouvert et le corps cassé en deux. un bras par ci, une jambe par là. il grimpe dans sa caisse, pas la sienne mais celle de marvin.
- pourquoi cette soudaine envie d’recoller au passé ? t’as perdu l’inspiration ou on t’as diagnostiqué un cancer ? non parce que c’est bizarre. parce que ça fait peur. parce que c’est pas tout à fait marvin. le brave type qui donne des nouvelles en envoyant une carte de vœux. il règle le rétro. faudrait pas qu’il voit son mauvais reflet non plus mikey - qu’il ait les racines qui démangent sa poitrine.
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Marvin Bennet
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MessageSujet: Re: peinture subatomic (mikey)   peinture subatomic (mikey) EmptyDim 11 Nov - 19:32

(peinture subatomic) peinture subatomic (mikey) 1f342 un tableau d'automne se dessine sous ses traits. des couleurs chaudes qui contraste avec la brise hivernale. des manteaux d'hiver en préparation. le souffle perfide de l'âge des anciens en perte de vie. c'est bientôt la fin. sa fin, la sienne, là, maintenant, tout de suite, il voit la lumière. la lumière qui trahit son manque de boisson. des tremblement inertes sur un corps en perte d'eau. c'est la peau fragile et le teint blanc qui vira au verdâtre, le lac sous les pieds. la folie de croire que cet hiver, il survivra pas. trop joué par le passé. trop de vécut dans une minime quarantaine d'années. c'est la fin du carrousel. la fin des tours gratuits. le monde qui cesse de tourner, de divaguer, de ressembler qu'à des formes confuses et horizontales, le monde qui reprend soudainement vie, de la famille qui agite leurs mains comme des pantins. le sourire aux lèvres et les yeux émoustillés de ce tour ridicule. ils attendent la fin. pour le choper à la sortie. lui cacher les yeux d'autres merveilles saisissables. le gamin qui grandit et trouve le carrousel démodé. pas si ouf que ça. un brin nostalgique de ses yeux d'enfants. abandonnés sur le coin de l'autoroute, à l'arrêt quincampoix, entre deux poubelles vertes. c'est les idées qui s'diffusent et qui rallongent sa nostalgie.
une nostalgie pourtant amer.
la pincée de sel en trop.
mikey arrive à se plaindre de la route. des trois heures de route. il arrive encore à se plaindre. à s'étonner de ses lubies soudaines. encore maintenant. les sourcils arqués aux demandes capricieuses de monsieur bennet. alors que c'est toutes les semaines. tous les mois. quand c'est pas gueuler pour la ronce de trop, c'est gueuler pour les poubelles non-sorties. et il s'étonne toujours. comme un couple des premiers jours. leurs premiers émois. la flamme intacte qui s'agite à chaque nouveau souffle. elle se ravive. jusqu'à fin de mèche.
marvin relève pas. il hausse les épaules. c'est tout. ça suffit pour se faire comprendre. pour lancer un autre sujet. pour parler sans parler. nécessitée de survie qu'il apprend à ses dépends. mike qui bouge. qui souffle. qui bouge. qui souffle. qui bouge encore. qui souffle encore. les vêtements verts. les brindilles chauffant son chemin à la trace. il relève pas. ça sera sujet discussion voiture.
là, il a froid.
là, il a soif.
là, il veut partir loin.
là, c'est tout ou rien.
sa réflexion taraude dans l'imagination de marvin. boire de l'eau. boire de l'eau. une bouteille d'eau. une gourde d'eau. un goût plat. sans connivence ni montagne bienfaisance. ça le fait claquer un rire dans sa bouche pâteuse et amer. se tordre de rire. il aurait voulu. si son corps ne gelait pas du manque creusant.
- tu redoubles d'imagination. à chaque fois, ça vient à m'étonner.
sa bouche n'est plus adapter à boire cet élixir de survie. il devient comme ceux. il est de ceux. ceux qui boivent. qui boivent de trop. qui boivent tellement. tellement que les effets finissent par ce dissiper. que l'homme bourré devient a jeun en simultané. devient une sensation terrible. terrible que de ne pas boire son litre d'alcool à la journée. problème qui revient sur le tapis. problème qui devient une part de sois-même. on répète aux gosses d'accepter leurs différences. faut croire que marvin accepte le fait d'être une pourriture d'alcool.
vieux chien assoiffé, il suit mikey comme si le monde en dépendait. une bouée trop de fois utilisée. elle va couler un jour. lui avec. on écrira dans les journaux, que c'est de sa faute. tirer les autres dans la défaite alors qu'ils sont liés par la fatalité. les deux mains siamoises. eux, ou rien.
son cul sur le siège passager
il devrait dire à mikey
ça fait trois ans qu'il n'a plus de permis,
conduite état d'ivresse; mikey pour taxi quand nécessité oblige.
il se penche vers la boîte à gant. ça prend deux secondes pour mettre les mains sur une bouteille à moitié vide. à moitié remplis.
- les deux. je pensais qu'un cancer redorait un coup de crayon. mais c'est l'inverse.
il chope le goulot. ça file. ça glisse. ça s'asperge. son corps qui revit. il sent ses veines s'imbiber, ses muscles, cette froideur se réchauffer. sa gorge qui brûle. qui supplie d'arrêter. recracher. son cerveau qui lui beugle de continuer. faut respirer. faut reprendre sa respiration. il tend la bouteille à mikey. partager, signe qu'il va partir au paradis??
- c'était une boutade. j'vais bien. c'est juste cette putain de maison. elle commence à me foutre les j'tons. j'ai b'soin d'air. d'air frais. d'air nouveau.
montone automne, sa voix qui tremble à peine quand il glisse le mot boutade. l'humour qui se défile, comme la bouteille gluante qui finit vide en moins d'une minute. il regarde sa maison dans le rétro. y a pas qu'elle qui fait flipper. il regarde son teint morne dans le reflet de la vitre. il semble se décomposer au fur et à mesure que le paysage défile. un ensemble qui déprime. l'automne, lui, l'alcool, sa fille, son boulot, ses restes de famille, le temps, l'heure, mikey et nana, la joie, les pleurs, la solitude. ça crame ses derniers nerfs.
s'accorde un arrêt sur image. le visage de mikey. ses mains sur le volant. ses yeux rêveurs. sa bouche limpide. son teint clair obscur. ces contrastes qui façonnent ses rides. l'ensemble qui l'arrache. lui montre ce qu'il perd. ce qu'il gagne. c'est un amour à sens libéral. un amour platonique qui franchit les limites de l'espace. y a des mercis qui se perdent dans les silences. des insultes qui cognent contre les murs. des rires qui s'échafaudent une place entre les nuages. la solitude des bavardages de nuit.
- tu l'aimes vraiment le chinois.
des questions croquis sous une phrase affirmative. il lâche un ça fait longtemps qu'on s'est pas retrouvés que tous les deux comme ça. pour le plaisir de l'affirmer. d'affirmer. de lever haut la main et gueuler ses dires. le plaisir de s'offrir une idée.
celle de se dire,
que c'est pas tant une merde que ça
qu'il a su, un jour, un soir, un matin,
s'attacher- à une âme charitable.
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