buried (claio) - ace the return

claio kovacs
Another one bites the dust
And another one gone and another one gone
© queen/another one bites the dust

never trust or love a wild thing.

âge ~ T'as atteint l'âge de 34 ans. date et lieu de naissance ~ Tu as vieilli le 17 avril dernier. nationalité ~ T'es qu'un pure et simple américain. métier ~ T'es un ancien agent de la CIA, mais aujourd'hui, tu travailles à la police criminel de New York. statut civil ~ T'as toujours connu le célibat, ou presque. Tu comptes deux relations importante dans ta vie entière. statut monétaire ~ assez aisé, vu la CIA. groupe ~ save the last chance.

all night long slow down the song

T'es le deuxième de quatre enfants, t'as deux frères, en fait, t'en avais deux et une soeur. Le plus jeune aurait vingt-huit ans aujourd'hui. Tu as toujours tout fait pour le protéger et tu as toujours eut une relation assez fusionnel avec lui. Il est mort il y a trois ans et ça te fait un mal de chien, encore aujourd'hui. ☆ T'as eut seulement deux relations sérieuse dans ta vie. La première, tu n'avais que seize ans, tu es resté avec elle pendant trois ans avant de la quitter. Puis la seconde, c'était une agente de la CIA elle aussi. Ça a duré un ans, encore une fois, c'est toi qui a tout bousillé. Elle a demandé à t'épouser et tu as refusé. Puis peu de temps plus tard, ta couverture pour la CIA a été découverte. ☆ Tu t'es installé à New York il y a un an, avant, tu as vécu deux ans à Atlanta. ☆ T'as un carton qui traîne dans le fond de ta garde-robe, les effets de ton petit frère que tu n'as pas su touché encore. ☆ T'as toujours aimé écrire, depuis trois ans, tu écris encore des lettres à ton frère que tu empiles dans le fond de ton tiroir. ☆ Il y a cinq ans, tu a frôlé la mort vu une balle qui t'a traversé la poitrine, qui a frôlé le coeur. ☆ T'as pas travaillé bien longtemps pour la CIA, mais il te court encore après, ils aimeraient bien que tu reviennes. Sinon, tu travaillais pour la police d'Atlanta dès tes dix-huit ans. ☆ À vingt-quatre ans, tu as été engagé par la CIA. Tu as passé sept ans dans leur ligne avant de flancher à la mort de ton petit frère. ☆ Depuis que tu as dix-huit ans tu as horreur des photos et c'est bien pour ça qu'il n'en existe presque pas depuis ta majorité.

" Kovacs... Encore une lettre. " Tu lèves les yeux vers ton partenaire et tu soupires. T'es enfermé dans cette chambre d'hôtel depuis des semaines parce que ta tête est mise à prix. T'as jamais dit à ton frère ce que tu faisais, t'as jamais parlé de tes déplacement ou encore de ton boulot. Pendant qu'il te parlait de cette fille qu'il avait rencontré, qu'il aimait plus que tout, toi tu pouvais te battre pour ta vie. Il est même arrivé une fois que l'une des lettres envoyés à Owen n'avait pas été écrite de ta main, même une lettre que tu n'as jamais eut connaissance. Tu sais qu'elle existe, mais tu ne l'as jamais vu, tu ne sais même pas ce qu'elle contient. Ton frère te manque, c'est vrai, ta soeur aussi, mais tu peux pas ouvrir cette lettre, ça va te faire souffrir tu le sais. " Kovacs... Dit-lui d'arrêter tout simplement. " Il te tend toujours l'enveloppe. Tu soupires avant de la lui arracher des mains. Tu la lis, tu as même droit à ce sourire satisfait. Sa vie va bien, même très bien. C'est loin d'être le cas pour la tienne. Durant ta lecture, des doigts se sont glissé autour de ton cou pour agripper la chaîne qui pend sous ton t-shirt. Tu la sors pour laisser tes doigts faire tourner l'anneau qui s'y trouve. Cette bague avait une signification assez étrange. Non, ce n'était pas une bague de mariage, ni même une bague de fiançailles. En fait, cette bague, c'est ce lien que tu n'as pas su briser depuis ton entré à la CIA, ton frère possède la même, ta soeur aussi, à savoir ce qu'en aurait fait l'aîné. T'as l'inscription : ccoo kovacs. Puis dans cette lettre, sur ce bout de papier, il te disait qu'il allait l'épouser, qu'il ferait sa demande sous peu. Tout ce que tu voulais pour lui, c'est qu'il se fasse une vie parfaite, à l'opposer de la tienne. " Aindreis... Laisses-moi maintenant. " C'est là que tu t'es installer pour répondre à ton frère, tu as pesé tous tes mots dans cette lettre, sachant très bien que ce serait la dernière. Tu as terminé cette lettre sur cette simple phrase. Owen, arrête de m'écrire, ce n'est pas une bonne idée. C'est dangereux, pour moi, comme pour toi. J'ai pas envie de te voir mort. Je t'aime frangin, prend soin de toi et de ta beauté. Fait-le pour moi, vis ta vie.

Ça n'a prit que deux jours, deux jours avant que Aindreis pointe le bout de son nez avec une mine basse. Normalement il ne craignait jamais à te parler, mais là, il n'osait même pas te regarder dans les yeux. Tu le voyais retirer sa plaque et son arme les donnant à l'agent à l'entrée de la porte. Il l'a fermé avant de se laisser tomber contre la chaise près de toi. Son état t'inquiète, mais tu n'oses pas dire un mot. Il s'est plié vers l'avant et a levé les yeux. " On a trouvé celui qui cherche à te tuer... Il a eut un autre de nos agent, il est en ville. " Tu sais bien que ce n'est pas ça qui l'atteint autant. Au même moment, son portable sonne. Tu le vois dans son regard, quelque chose cloche, cette lueur de tristesse. Il ne répond pas, il ne fait que te tendre son téléphone. " Réponds. " Tu le dévisages, t'as pas le droit au coup de fil, putain c'est quoi cette merde. " C'est pour toi. " Tu le prends nerveusement avant de voir le numéro affiché. Tu décroches en vitesse le coeur serré. " Papa ? Dis-moi que Owen va bien, ou maman, je t'en pris me dit pas que... " C'est là que l'annonce tombe. Ton frère est mort et t'es prit dans cette foutue chambre d'hôtel. Ton frère est mort quand putain, y'a deux jours t'as écrit cette foutue lettre disant que tu ne voulais pas entendre cette nouvelle. " Donnes-moi deux semaines papa. " T'as raccroché avec cette froideur sous la peau. T'as tendu le portable à ton partenaire, t'as attendu qu'il le touche avant de l'assommer de l'autre main. Il s'est retrouvé au sol, inconscient, mais en vie. T'as jetai un regard vers la fenêtre pour observé ton dit garde. Il a le dos tourné. T'as réfléchis sans réfléchir et t'as foutu le camp par la fenêtre de la salle de bain. T'as toujours su quoi faire pour ne pas laissé de trace et t'as foutu le camp. Tout ce que tu voulais, c'était retrouvé ce fumier qui en avait après toi, après tes collègues, pour avoir la paix, pour t'assurer qu'il n'avait pas toucher à ton frère. T'avais besoin de voir ton frère, même s'il était mort. Tu l'as trouvé à l'écart de Atlanta, là ou on t'avait "caché". Il avait prit place dans une maison abandonné. T'es entré, sans te caché et tu lui as fait sa fête. Il se retrouvé ligoté à une chaise avec comme bourreau ta propre petite personne perturbé. Tu as attendu qu'il se réveille pour lui balancer tes questions. " T'as buté mon frère? Est-ce que tu lui as touché? " Il ne disait rien, il ne faisait que te regarder avec ce faible sourire. Tu as beau eut à lui briser les os du corps, tout ce qu'il a su dire fut : " Tout ce que tu veux. " Il a tout fait pour mettre les feux aux poudres et t'as pété un câble. Il y avait une barre de fer qui traînait là. Tu l'as récupérée et tu as frapper cet homme jusqu'à ce qu'il ne bouge plus, jusqu'à ce qu'il ne respire plus.

Ton dossier est classé top secret depuis plus d'une semaine. T'as atteint ce que tu cherchais, tu as éliminé celui qui a bousillé ta vie. Mais tu supportais plus de bosser en secret, de bosser pour la CIA, pas après la mort de ton frère, pas à le voir, là dans ce cercueil. Il a l'air si paisible et toi tu rage de l'intérieur, t'entend les pleurs de ta mère à ta gauche et tu entend ton père qui tente tant bien que mal de la consoler. Tu es resté à l'écart, pour ne pas attirer l'attention. Tu ne supportais pas l'idée qu'on te dise cette phrase mythique. mes condoléances. Tout ça, c'était pour tes parents, pas pour toi. T'as fait tardé les funérailles, simplement pour être présent et maintenant que tu es là, tu aurais préféré ne pas y être. Tu as observé les gens en silence, toi qui ressemble tant à ton frère. Puis est venu le moment de l'enterrement et tu es resté près de ta mère. Tu allais plus loin. " Claio, mon chéri, vient ici. " T'as pas su détourner le regard du cercueil. T'as eut le coeur serré jusqu'à la fin. Jusque ce que la terre le recouvre. T'as embrassé le dessus de la tête de ta mère avant de jeter un regard à ton père qui t'as indiqué sa voiture au loin. Tu t'y es rendu en silence. Tu t'y es appuyé jusqu'à ce que ton père te rejoignes. Il a ouvert le coffre en te regardant. " Ce sont les effets de Owen, ta mère ne les supporte pas à la maison. Garde-les s'il te plait. " Tu as soupiré, tu as embrassé ton père récupérant le carton pour te rendre jusqu'à ta voiture. T'as quitté le cimetière de New York, t'avais pas envie de rester dans les parages, tu t'es installé à Atlanta, t'as foutu ton nez dans les affaires de la police. Ça t'a prit deux ans avant de réaliser que tu serais mieux près de ton frère, loin d'Atlanta, à New York. T'as toujours sa dernière lettre dans ton gilet par-balle, la raison pourquoi tu continues tout de même les autorités. Tu t'es installé à New York il y a un an environ et te voilà dans l'unité criminel de la police. T'as pas revu ta soeur depuis des années, t'en as même oublié à quoi elle ressemble.

cause we're ready for the fame.

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