big girls need big diamonds. (berlioz)

Tu aimes la sentir si faible entre tes doigts. sentir qu'elle pourrait s'effondrer a cause de toi, à cause de cette torture que tu lui fais subir. tu aimes entendre ses soupires, ces gemissement qu'elle tente desesperement de retenir. elle te fait un effet fou, et ton coeur frappe dans ta poitrine comme jamais auparavant. et ça, c'est juste avec elle. tu ne veux pas etre dicté par tes sentiments, tu ne veux pas faire espérer quoi que ce soit en même temps parce que tu sais que tu n'es pas un homme fidèle. meme avec Ella, tu etais pourtant amoureux de ce bout de femme et tu as tout de même etait voir ailleurs. t'es un connard, et tu devrais la faire partir, la pousser a ne pas s'attacher à toi pourtant, tu continues de la garder pour toi. Elle finit par retirer ta main, t'es un peu déçu quand même, t'aurais adorer qu'elle atteigne l'orgasme ici rien que par tes caresses mais finalement c'est pas plus mal, t'as pas envie que les autres hommes ne voient son visage irradier de plaisir. il n'est que pour toi. Ses mains sur ton torse, tu souris. Ses mots ne sont que du miel, et une invitation que tu ne peux pas refuser. cette nuit, elle sera a toi, et cette nuit tu auras une femme dans tes bras. Cat, c'est la seule a avoir le droit de dormir avec toi, la seule a ne pas être viré de chez toi aussi rapidement. elle, elle peut y rester. Mais avant que tu ne puisses répondre, elle reprend tes lèvres et tu ne peux que prolonger ce baiser. tes mains se posent sur ses hanches, avant que tu ne recules les lèvres pour murmurer. « alors allons y que je te fasse crier mon nom ! » tu ricanes un peu, fier de ta connerie, avant de l'embrasser a nouveau et de prendre sa main pour filer. petit détour vers le coin ou tu étais avec tes potes, eux, ils te félicitent presque mais tu ne relèves pas le regard de la pouf de tout a l'heure. t'embarque ta veste et tu fais demi tour pour quitter les lieux. « pas sur que je tiennes jusqu'à chez moi » que tu lui glisses a l'oreille.

Tu lui prends la main, la serrant pour qu'elle ne se défile pas, pour qu'elle ne fuit pas ou simplement pour ne pas la perdre en route. Petit passage pour récupérer tes affaires et le regard de l'autre connasse, tu t'en moques totalement. Elle est restée silencieuse, et heureusement pour elle parce que tu ne lui aurais pas laisser parler a Cat, surtout si c'est pour dire des conneries. tu lui aurais fait comprendre qu'elle n'est rien qu'un poids et que sa compagnie est un enfer. bien pour ça que tu l'as envoyé chier tout a l'heure. Là, tu entraînes la demoiselle de tes nuits en dehors du club et une fois dehors tu ne peux t'empêcher de la taquiner. pourtant tu ne dis pas totalement de conneries. au vu de votre petit manège il y a de cela encore quelques minutes, tu n'es pas sur de pouvoir tenir jusqu'à chez toi, et tu n'as qu'une idée en tete, de la plaqué contre un mur. Mais t'es sage, tu te retient. Ou pas. Parce que tu te stoppes, te mettant devant elle, en venant prendre ses lèvres avec les tiennes, tes mains venant se poser sur l'arrière de ses cuisses pour la soulever et la forcer a passer ses jambes autour de toi. « je promets rien ! » que tu marmonnes entre deux baisers. ta voiture n'est pas bien loin, tu avances en la portant, tes lèvres contre les siennes, dévorant les siennes même si tes yeux tentent de voir le chemin en même temps. C'est une fois sur le parking, que tu la poses sur le capot de la voiture, sans pour autant te reculer de là. tu te serres contre elle, tes baisers quittant sa bouche pour se glisser dans son cou. Tes mains quittent ses cuisses, et tes lèvres quittent sa peau. tu te reprends, tu fais le mec qui sait ce qu'il fait. le sourire sur le coin de tes lèvres tu sors les clés de ta poche pour ouvrir les portières et ouvrir celle coté passager pour qu'elle grimpe. Tu fais le tour, grimpant au volant de ton audi r8 noire. tu refermes les portières et tu finis par lui montrer les vitres teintés. « même pas une petite gâterie avant de prendre la route ? » tu plaisantes ? pas sur ! tu l'as taquine peut être, mais si elle veut bien te faire plaisir tu ne diras certainement pas non.

Tu aurais clairement pu la prendre sur le capot, là, sur la voiture dans un parking. tu aurais pu sortir ta baguette magique et la faire crier là mais tu ne veux pas qu'on vous voit. enfin, d'autre fille tu en aurais rien eu a faire, mais pas elle. tu ne veux pas partager ses gémissements et les expressions de son visage quand elle prend du plaisir. Mais c'est vrai que toi, tu es capable de ce genre de chose, t'as pas de pudeur concernant ces trucs là. Mais vous grimpez dans la voiture, sans pour autant mettre le contact. tu ricanes, lui proposant même de te faire une gâterie, mais finalement, alors que tu pensais qu'elle allait râler et t'insulter, sa réaction te surprend. Elle grimpe sur toi, a califourchon alors que tu viens poser tes mains sur ses fesses, sous cette robe courte qui te facilite bien la vie ce soir. Elle prend tes lèvres, et son baiser partage parfaitement ce qu'elle veut. toi ça te va, parfaitement. tu ne vas pas te plaindre d'avoir Cat sur toi. Quand elle descend ses mains vers ta ceinture, tu souris, posant un regard interrogatif sur elle. « hm.. chaton veut prendre les choses en mains.. » dans tous les sens du terme d'ailleurs mais tu évites de le dire, venant de toi elle doit bien le savoir. tu caresses  tes fesses, sans aucune honte, avant de la relâcher d'une main, l'autre la maintenant bien sur toi le temps que tu recules ton siège, que tu allonges un peu le dossier pour être plus a l'aise. elle aura plus de place pour bouger si elle le veut. une fois bien calés, tu viens reposer tes mains sur ses fesses que tu caresses du bout des doigts. tu viens reprendre ses lèvres également, sauvage, un peu brutal peut-être aussi. « on l'a jamais fait dans ma voiture.. c'est le moment ou jamais ! » tu ne laisses pas le temps de raler, que tu reprends ses lèvres.

tu sais que tu n'es pas un mec pour elle, un mec bien. elle a besoin d'un vrai prince, d'un homme capable de la rendre heureuse sur tout les plans et pas uniquement un homme capable de la faire crier. elle a besoin d'un homme posé, qui sait rester lui rester fidèle, qui soit capable d'un jour lui demander de l'épouser. t'es pas tout ca toi. t'es pas un mec capable de résister aux joies de la drague, de la séduction. t'es pas un mec bien, tu bosses même pas tu vis sur ton héritage. et même si tu sais comment fonctionne son corps, tu sais qu'elle ne sera jamais heureuse avec toi. pourtant tu ne peux pas t’empêcher de grogner quand un homme l'approche, quand elle se laisse séduire sous tes yeux par des barmans idiots. tu ne peux pas t'empêcher de t'approcher quand tu la vois si jolie sur ses talons. tu veux la posséder, encore et encore, mais tu sais que tu ne peux pas lui demander de n’être qu'à toi si toi, tu n'es pas capable de n’être qu'à elle. et pourtant, tu le fais quand même. parce que tu aimes être entre ses cuisses, que tu aimes avoir la tete dans sa poitrine, que tu adores mordiller son tétons durcis sous ta langue, que tu aimes sentir son corps autour de ton pique de chair dur pour elle. Et ce soir, tu fais toutes ses choses que tu adores faire. continuant tes petits coups de reins alors qu'elle continue de danser sur toi, alors que tu continues de caresser son bouton de rose gonflé et sensible pour qu'elle atteigne le plaisir ultime. quand tu entends ton prénom, t'es satisfait et quand elle finit par jouir, retombant ensuite contre toi, tu attrapes ses hanches qu'elle bouge encore. dernière ligne droite pour toi, tu l’atteins peu de temps après, inondant son écrin de son plaisir. heu ca te fait penser que t'as pas mis de capote d'ailleurs.. mais là tu verras ça plus tard. Tu retombes sur le siège, les vitres sont recouvert de buée, et toi tu reprends ton souffle. et là, tes lèvres se posent sur les siennes, dans une douceur absolue. « j'aime t'entendre prononcer mon prénom comme ca. » tu l'embrasses a nouveau avant de dire « je t'offrirais une nouvelle robe. » Tu restes toujours en elle, parce que t'es bien au chaud là. bon faudra bien bouger mais ça peut attendre quelques secondes. « tu vois.. tu n'es qu'à moi »

Tu aimes savoir qu'elle n'est qu'à toi. pourtant tu sais bien que lorsque tu n'es pas là, elle doit aller dans les bras d'autres hommes. mais te dire ca te rend jaloux, ca t'énerve tellement de l'imaginer dans d'autre bras. tu ne veux qu'elle ne soi qu'à toi, que son corps t'appartienne mais tu ne peux pas lui demander cela, même si tu le fais quand même, tu sais que ça a tendance à la faire grogner. tu embrasses ses lèvres, caressant son dos avant qu'elle ne parle. tu souris pour sa première phrase. c'est vrai que tu aurais pu la retirer simplement mais pris dans ta passion, dans ton envie tu lui a carrément déchirer sa pauvre robe. mais alors que tu allais encore t'excuser pour ca, lui dire que tu achèterais une autre robe bien plus belle que celle qu'elle portait pourtant déjà si bien. Mais la suite, ça te fait retomber totalement de cet état de bien être ou tu te trouvais depuis votre jouissance. elle quitte tes bras, repartant sur le siège passager. tu remontes ton pantalon, et tu attrape ta veste dans le fond de la bagnole pour la lui tendre, qu'elle puisse cacher son corps même si toi, tu aimes la voir ainsi devant toi. « Cat.. » que tu souffles, passant une main dans tes cheveux en soupirant longuement. tu te doutes bien de ce qu'elle veut, tu sais bien qu'elle aimerait surement que tu arrêtes de baiser les filles qui se présentent à toi. « j'suis pas un gars bien bébé. je suis pas un mec pour toi. toi, t'as le droit a un vrai prince, à quelqu'un qui sera capable de n’être qu'à toi. » tu tournes les yeux vers elle, approchant une main de sa cuisse sans perversité cette fois. tu te penche vers elle, embrassant son front. « je ne te ferais que souffrir bébé. j'suis qu'un connard. » tu es franc, tu ne veux pas promettre des choses que tu te sais incapable de tenir. « tu veux que je te ramene ? ou tu veux passer la nuit avec nuit malgré tout ? » ça, elle ne le sait pas, qu'il n'y a qu'avec elle, que tu veux bien dormir, qu'elle, que tu veux dans tes bras la nuit.

Tu aurais pu lui dire ce qu'elle voulait entendre, que tu ne serais qu'à elle à partir de maintenant, que tu ne poserais tes mains sur aucune autre fille qu'elle et que tu ne donnerais plus de plaisir à d'autre femme qu'elle. mais tu ne veux pas mentir, lui faire croire que t'es le prince charmant parce que ce n'est pas du tout le cas. t'es un connard, et tu te devais d’être franc avec elle, même si de ton coté tu ne veux pas la partager, même si de ton coté tu te hais de ce comportement jaloux et protecteur avec elle. possessif même. très possessif. rien que le regard d'un autre sur elle te rend fou, alors savoir ou imaginer qu'un autre caresse sa peau tu ne veux pas y penser. tu t'en veux, de la rendre si triste, mais dans l'avenir tu lui aurais fait bien plus de mal si tu lui avais dis que tu ne serais qu'à elle. tu es un connard, un con incapable d’être fidèle a une femme, à ne pas aller frétiller de la queue ailleurs. quand tu lui demande si elle veut que tu la raccompagne, à sa phrase tu sais très bien qu'elle veut passer la nuit avec toi. alors tu refermes ta ceinture a ta taille, remet le siège correctement et tu mets ta ceinture. tu attends qu'elle fasse de même avant de faire vrombir le moteur de ta voiture de sport, et puis finalement tu prends le chemin. l'ambiance est assez froide, c'est un long silence sur le trajet. heureusement que tu ne vis pas bien loin, au plazza hotel dans l'un des appartements. toi, tu as un grand loft, un truc de riche. une fois garé, tu sors et tu l'aide a sortir, en veillant a se que ta veste la recouvre bien. tu l’amènes a l’ascenseur. avant de tourner enfin la tete vers elle pour parler. « on aurait pu le faire dans l'ascenseur aussi.. » tu tentes de plaisanter, le sourire sur le coin de tes lèvres. avant de glisser une main sur sa joue et venir coller tes lèvres aux siennes, le temps que l’ascenseur monte et s'arrête à votre étages. « ne m'en veux pas s'il te plait.. etre a toi quand on est ensemble, ça je peux faire.. mais le reste.. je peux pas te le promettre chaton. » voix douce, lèvres frôlant les siennes, ta main caressant sa joue alors que l'autre se place sur sa hanche.