mes yeux sur ton corps (samael)

ça fait mal. une moue sur ton visage alors que tu regardes ta cuisses. il y a la marque de sa main, cette main qui t'a empoigné bien trop fortement alors qu'il passait sa colère sur toi. alors que tu retenais tes larmes et que tu simulais pour lui faire plaisir. tu n'es qu'une pute après tout, et ton jeune age ou ton minois angélique ne change rien pour certain homme, au contraire. il t'a choisi parmi d'autre parce que tu es celle qui lui causera le moins de problème, parce que tu es bête et obéissante et qu'il paie pour s'enfoncer entre tes cuisses, peu importe s'il le fait avec douceur ou non. ce vieux type, trop bien sur lui, marié, mais tellement frustrer qu'il paie une catin pour une heure de ce qu'il appelle "l'amour". ce n’était que du sexe, l'amour n'a rien à voir avec tout cela. l'amour, tu ne connais pas, et tu ne sais pas si tu connaîtras un peu. peut-être que tu seras morte bien avant. assassiner par un psychopathe qui s'en prend aux prostitués, ou morte de froid durant l'hiver parce que tu n'as pas pu te protéger de la nuit la plus froide. l'avenir est incertain et tu vis pour le moment au quotidien avec le but de simplement pouvoir te réveiller le lendemain matin. tu enfiles cette petite culotte rouge, coiffes tes cheveux humides. tu te sens misérable, tu te sens faible. dormir n'est pas de toute repos quand vous ne savez pas si vous y survivrez. Tu mets ton soutient gorge, rouge lui aussi, et tu enfile ton jean et ce t-shirt. t'as pas énormément de vêtements de toute façon. tu quittes la chambre d’hôtel, le regard vide, attrapant ton téléphone pour en regarder les messages. Un message. tu souris en le lisant. Même si coucher pour t'en sortir n'est pas l'idée du siècle, tu sais que lui, il ne te fera pas de mal. enfin t'espère. tu lui réponds que tu seras là dans peu de temps. tu dois traverser brooklyn pour rejoindre un autre hôtel, moins miteux que celui que tu quittes actuellement en tout cas. il te faudra donc une bonne heure pour arriver devant la chambre, après avoir demander par message le numéro. « bonsoir.. » tu refermes derrière toi, regardant autour de toi jusqu'à te retrouver en face de ton prochain client, un client régulier. un client qui a toujours été bon avec toi. « j'ai mis les dessous que vous adorez.. » t'es une pute, tu vas pas lui demander comment c'est passé sa journée après tout.

Une nuit mouvementée. Encore une autre. Une autre nuit où tu as du mal à dormir, où tu te tournes dans ton lit. Tu te réveilles en sueur, repoussant la pute qui dort sur ton estomac. T’as qu’une envie, prendre une putain de bonne douche pour t’enlever l’odeur de sexe qui couvre ton corps. ”Allez, dégage, tu empestes la pute et ça me tue l’odorat.” Tu la pousses presque en bas de ton lit avant de te rendre à la salle de bain, lui laissant comme dernière vue ton cul qui est tatoué. Tu fais ce que tu dois faire avant de te balader, nu comme un verre dans ton appart, clope au bec. Tu fais couler du café avant d’aller enfiler un survet’. Ton regard qui s’pose sur ton portable, tu cherches dans tes contacts avant de sélectionner le nom de la jolie blonde. P’tite princesse que t’as ramassé sur le trottoir. Trop belle pour faire la pute, mais trop belle pour être aimer. T’as payé le premier soir. Puis le deuxième. Elle est douée la p’tite. Mais tu vois en elle… Ta frangine. Marlene, si jeune. T’es incapable de la laisser tomber. Tu finis de te vêtir et tu va au garage, attrapant les clefs de ta mustang. T’as besoin de faire vrombir le moteur. T’as encore de lui faire plaisir à cette p’tite blonde. T’arrête au magasin afin de lui prendre quelques trucs. Des vêtements, tu oses même demander conseil en maquillage à une conseillère. T’as foutu tout dans le coffre de la voiture avant de lui envoyer un sms. C’est simple. 1 heure, un endroit. Rien de plus. Elle sait qu’elle doit y être. Et au diable si elle a un autre rendez-vous à la même heure. T’as envie de la voir. Alors tu passes chez toi, allant te changer puis tu retournes vers l’hôtel. Tu poses les sacs sur le lit avant de te servir un verre de whiskey. Tu le fais tourner dans ton verre avant de jeter un oeil à la porte qui vient de s’ouvrir. Elle est belle, malgré son t-shirt et son jeans relax. Tu souris alors qu’elle te mentionne avoir mit les dessous que tu adores. Tu souris, posant ton verre puis tu lui fais signe d’approcher. Alors qu’elle est à ta porter, tu la fais s’asseoir sur tes genoux. Ta main tatoué agrippe sa nuque et tu viens l’embrasser. Rompant le baiser, tu lâches un petit grognement de satisfaction. ”J’t’ai acheté des cadeaux. Tu les essaies pour moi, ça me permettra d’admirer ces dessous rouges… Oh et je t’en ai pris des nouveaux” Tu hausses un sourcil avant de lui taper sur une fesse. ”Et sinon, t’as eu une journée chargée? Tu peux prendre un bain, te reposer un peu avant…” C’est une pute, c’est vrai, mais pas n’importe quelle pute. C’est ta favorite.

Quand tu arrives devant la porte de la chambre d’hôtel, tu n'as pas peur. C'est surement les seules fois ou ça arrive, que tu n'as pas d'appréhension, que tu n'as pas peur d’être frappé, insulté, traitée comme la pire des moins que rien. tu sais que l'homme qui t'attends, ne te veut pas de mal et c'est un soulagement, c'est pour ça que lorsque tu reçois un message de sa part, tu accours presque, ça t'évite de finir sous le corps gras et vieux d'un connard. Pourtant tu ne sais rien de lui, à part son prénom. Tu sais simplement qu'il a les moyens de payer une nuit d’hôtel, de t'offrir le petit déjeuné, de t'acheter des robes parfois. Avec lui, tu te sens presque comme julia roberts dans pretty woman. presque, uniquement. Quand tu arrives devant lui, parlant des dessous que tu as enfilé, il t'attrape pour te mettre sur ses genoux. et tu te sens bien, tu pourrais presque oublier qu'il te paie pour etre là. un baiser échangé, auquel tu réponds avec joie. Tu es pourtant surprise, haussant un sourcil quand il mentionne les cadeaux. Une claque sur ta fesse, tu te lèves, approchant des paquets avant de lui sourire. « tu sais, pas besoin de cadeau, tu me paies déjà bien. » tu es sincère, Samael a toujours payé généreusement alors devant tant de cadeau, tu es un peu gênée, mais contente. « j'ai déjà pris une douche avant de venir. et puis bah.. c'etait une journée normale pour une fille comme moi. » Lycée. puis popcorn avant de te faire baiser. tu ne lui parles pas du client que tu as eu juste avant lui, de cette marque sur ta cuisse, de la douleur encore vive. il finira par le voir mais il doit s'en moquait un peu. « et la tienne ? » ha bah oui, t'es une pute, mais tu lui demandes quand même comment c'est passé sa journée. tout en attendant sa réponse, tu retires ton tshirt, puis ton jeans après avoir virer les chaussures. tu lui offres une vue sur tes fesses alors que tu tournes la tête en lui tirant la langue avec amusement, le taquinant un peu. Tu te penches, sans le regarder mais lui laissant toujours une jolie vue, pour attraper les paquets et en regarder le contenue. pourtant au fond, tu stresses, et s'il refusait a cause de cette marque sur ton corps ?

Tu sais que c’est une pute, qu’elle n’a pas besoin de cadeau, surtout que tu la paies plus que bien… D’ailleurs, lors de votre première rencontre, tu avais trouvé son tarif ridiculement bas. Alors qu’elle est assise sur tes genoux, tu caresses sa chute de reins avant de venir lui taper une fesse. Tu les aimes, ses courbes. Tu la laisses se lever, admirant sa plastie. Toi, tu te calles dans le fauteuil, reprenant ton verre de whiskey. Tu souris lorsqu’elle se penche, t’offrant une belle vue sur ton cul, couvert de cette dentelle rouge que tu aimes tant. Ton cœur s’accélère pendant que tu imagines tout ce que tu pourrais lui faire. Tu te lèves, retirant ta veste de cuire, dévoilant un t-shirt noir moulant. Sans attendre, tu l’attrapes par la taille, venant la jeter sur le lit. T’es sauvage, mais rien pour la blesser. Tu embrasses ses jambes, puis ses cuisses, alors que ton nez vient se presser contre son intimité. «Putain, tu réveilles en moi des choses…» Tu laisses en suspends, quand ta main frôle cette ecchymose sur sa cuisse. Tu fronces les sourcils puis tu la forces à tourner les hanches pour que tu puisses regarder. T’as un peu la rage qui monte. «C’est qui le connard qui t’as fait ça? J’veux le nom et c’pas négociable. T’as compris?» Tu retournes ses hanches sèchement avant de te lever, passant une main dans ta tignasse qui devenait de plus en plus longue. «Allons prendre un bain.» Tu lui attrapais la main, la redressant et tu l’amena vers la salle de bain. Tu ouvris des champlures puis tu mis de la mousse à bain avant de retirer tes vêtements. Ton corps tatoué contrastait trop bien avec le sien. Tu lui retiras ses sous-vêtements avant de la prendre, telle une jeune mariée et de venir vous posez dans la baignoire. Elle entre tes jambes, tes mains qui viennent prendre le louffa puis tu commença à laver son corps. «Désolé d’avoir crier… Je n’aime pas quand on abime les trucs qui m’appartiennent…» Oui, elle t’appartenait… Du moins, en partie.

Tu le taquines un peu, gentiment, histoire de l'exciter un peu. c'est ton job, après tout, de faire qu'il en ait pour son argent, qu'il passe un bon moment et de l'amener jusqu'au plaisir. c'est ton job, pourtant avec lui tu n'as pas vraiment de mal à être sincère, a prendre, toi aussi, un peu de bon temps. avec lui tu peux souffler, respirer, te reposer parce que même si tu connais la fin de cette nuit, tu as l'esprit plus léger et tu ne réfléchis pas sans cesse à des choses pour ne pas pleurer. avec lui tu ne pleures pas, tu souris, sincèrement. tu ris quand il te jette sur le lit de la chambre. quand ses lèvres parcourent ta peau, ton corps ne peut que frémir alors qu'il est parcourut d'un doux frisson. Pourtant, ce petit moment taquin et sauvage a la fois prend rapidement fin, tu ne comprends pas au début ce qui lui arrive, ce qui lui prend, mais c'est lorsqu'il te force a te retourner pour bien regarder cette marque violacée qui trône sur ta cuisse que tu comprends. c'est normal qu'il ne soit pas content. il paie pour toi, pour que tu sois impeccable, que tu sois parfaite pour lui. c'est ce que tu te dis finalement, sans comprendre qu'il n'y a peut-être pas uniquement cela. tu es inquiète, quand tu l'entends, quand tu vois qu'il ne plaisante pas, qu'il cri, qu'il est bien plus en colère qu'il n'aurait du l’être. Tu ne dis pourtant rien, tu devrais lui expliquer, lui répondre mais tu es encore surprise, un peu nerveuse aussi. tu pourrais avoir peur de lui en le voyant ainsi mais ce n'est pas le cas. il finit par prendre ta main pour t'amener a la salle de bain, tu ne résiste pas. jamais. tu obéis a quoi qu'il pourrait te dire après tout, tu es sa pute. Quand il se met nu, c'est comme à chaque fois, comme la toute première fois, tu es fascinée par chaque marque sur sa peau, par chaque trait d'encre, chaque dessin, chaque mot. tu te souviens avoir passer des heures a les découvrir, du bout des doigts, avant de t'endormir. il retire tes dessous, tu le laisses faire, découvrant le reste de ton corps, de cette peau pale digne d'une poupée de porcelaine. tu n'as pas le temps de poser tes mains sur son corps qu'il t'attrape, pour te mettre à l'eau avec lui. tu finis par sourire, rassurée de voir qu'il ne te demande pas de partir a cause de cet hématome sur ta cuisse. tu le laisses te laver, penchant la tête en ramenant tes cheveux sur le coté. ça te détend, et tu ne pourras jamais assez le remercier pour ces moments là. « tu n'as pas a t'excuser, je comprends. tu me paies, tu t'attends à un corps parfait, sans marque.. » tu baisses les yeux, avant de les fermer, c'est plus facile pour parler, pour ne pas voir les réactions qu'il pourrait avoir « mon dernier client.. n’était pas vraiment de bonne humeur.. des soucis avec sa femme si j'ai bien compris. j’étais celle qui lui permettait d’être "un homme", tu vois le genre. » tu mimes les guillemets pour qu'il comprenne ton allusion. mais rapidement tu viens poser ton dos contre son torse, relevant la tete que tu plaques contre lui pour le regarder. « je suis désolée. » que tu répètes, comme si tout cela était vraiment de ta faute.

T’as jamais aimé voir le corps d’une femme meurtrie. T’as beau être un connard de la pire espèce, t’aime pas quand on touche avec une femme. T’aime leur faire la tendresse, même si parfois, la tendresse est accompagnée d’une férocité sans borne. Les femmes ont leurs intelligences, mais souvent, leur corps est leur meilleur outil, alors pourquoi l’abîmé? Tu soupires contre sa peau tendre, alors que l’eau du bain finit par couvrir vos corps. Tu éteins la champelure du bout du pied avant de continuer de la laver. Ta main finit par descendre sur son bas ventre, venant laver son intimité. Oh et au diable la savonnette. Tu la laisse s’égarer dans la baignoire alors que tes doigts viennent explorer ses charmes féminins. «Bien que ton corps soit vachement agréable, j’apprécie ta compagnie. Alors ouais, ça me fait chier quand je vois ton corps meurtris par un connard qui croit que pour être homme on doit faire mal à une femme. C’est un enculé.» Tes lèvres qui vagabondent sur sa nuque, t’as une main qui vient empoigner sa poitrine, que tu caresses tendrement. T’aime quand elle se laisse faire, qu’elle se retrouve à ta merci. «T’as pas un mac, un truc du genre qui choisit tes clients? J’sais pas, mais si tu en attrapes un plus féroce et qu’il te fout une raclée? Tu vas faire quoi?» Tout en lus parlant, tu enfonces un doigt en elle. Ouais, tu arrives à parler de la pluie et du beau temps, tout en essayant de lui procurer du plaisir. Tu sais que jamais une pute du club n’aurait eut se genre de marque. Tu soupires encore avant de lui attraper son visage d’ange pour l’embrasser, mordillant sa lèvre inférieur. Elle ignore que tu es un motard en pleine ascension. Elle ignore que t’es pas le mec clean. Elle te voit souvent, mais chaque fois, t’es loin d’arriver avec ta moto et ta cuirasse tagguer. Tu préfères qu’elle pense que tu es mécano. Plus simple, moins d’explications. «Allez, trève de bavardage. Fait ce que tu es payer pour… Jouis pour moi.» Sans attendre, tu enfonces un doigts de plus, les bougeant en alternant le rythme. Tes lèvres mordillent sa nuque alors que ta main libre vient caresser sa bouton de plaisir. Tu veux qu’elle gémisse ton nom, et c’est ce pourquoi tu paies.

Tu aimes bien quand il te lave ainsi, c'est doux et tendre, c'est reposant et rassurant. tu te laisses totalement aller entre ses bras tout en discutant, certes de ce type mais vous discuter et il ne fait pas que te baiser comme la pute que tu es. tu n'es pas dans le milieu depuis longtemps, trois semaines, quatre à tout casser, tu veux juste pouvoir survivre maintenant que tu n'as plus rien, que tu n'as même pas un toit ou dormir, pas même un lit pour te reposer après tout ce que tu subis dans la journée. Quand ce sont finalement ses doigts qui se glissent sur ton intimité, tu ne peux pas retenir un petit sursaut, avant de simplement laisser ce soupire s'échapper de tes lèvres. Sa seconde mains s'attaque à ton corps, jouant avec les collines si douces de ta poitrine. comment veut-il que tu puisses avoir une vrai discuter si, lorsque tu ouvres la bouche, c'est pour laisser un petit son mélodieux montrant que tu aimes ce qu'il te fait ? avec lui, pas besoin de faire semblant, parce qu'il n'y a ni peur, ni blocage. tu te laisses vraiment aller entre ses doigts. « je.. j'en ai pas.. » tu n'as pas de mac, personne pour te protéger. il y a bien des hommes que tu connais, qui se sont attachés, comme Peter, même si tu lui en veux encore pour t'avoir surveiller.  « je subirais.. probablement..  et on me retrouvera peut être morte.. j'en sais rien. » t'es vraiment super optimiste comme fille. mais pourtant tu dis simplement ce que tu penses, si tu venais a avoir un client violent, tu finiras surement morte étrangler pendant qu'il te baisera comme un porc. personne ne remarquerait ton absence, a part quelques amis, et lui, peut être. Ses lèvres finissent contre les tiennes, et tu l'embrasses à ton tour alors que ton corps frappe fort contre ta poitrine, alors que ses doigts jouent avec toi, que sa main te donne bien plus de frisson que n'importe qui d'autre. tu souris, trêve de bavardage donc. ses lèvres sur ta nuque, tu ne peux t'empêcher de gémir alors qu'il part en quête de te faire jouir. il sait y faire en tout cas, les doigts agitent savent t'arracher les gémissement prouvant le plaisir, la chaleur qui envahit ton corps, ton coeur qui s’affole, sa respiration qui se saccade. tes lèvres entre-ouvertes, les yeux parfois clos. tu te colles contre lui, une main venant agripper son avant bras sans pour autant l’empêcher de quoi que ce soit. tu es toute à lui, il t'a payé pour cela, mais dans le fond, peut-etre que tu aimes, être tout a lui.

T’es surpris lorsqu’elle t’annonce que non, elle n’a personne qui la protège. Alors dans le fond, elle a tout simplement commencé à se faire baiser, en échange de fric. Ça te fait rire un peu. Comment elle s’y prend mal. Tes dents contre sa peau, tes doigts contre sa féminité, tu lui ordonnes de jouir pour toi. Tu la caresses dans vergogne, t’assurant de bien la sentir contre toi, sa jouissance, ce moment d’extase. T’en peux plus. Tu retires tes doigts avant de te lever, l’entrainant avec toi. Elle est légère putain. Tu la poses sur le carrelage, attrapant un drap de bain puis tu viens te mettre à genou devant elle, attrapant sa jambe que tu viens sécher avant de faire la même chose pour l’autre. «Alors voilà ce que je te propose. J’assure ta protection, mais tu suivras mes directives à la lettre.» Tes mains qui remontent pour venir sécher le reste de son corps. Une fois faites, tu la pousses vers le comptoir, la forçant à se mettre face au miroir. Ses hanches viennent buter contre le marbre puis tu souris, te collant à elle, ta virilité bien installée contre ses pommes d’amour. «Tu iras en cours, chaque jours… Et après, tu vas entrée chez moi. Chaque soir. Tu te doucheras et tu enfileras la tenue que j’aurais mise sur le lit pour toi. Tu m’attendras. Sagement. Soir, après soir. Je serais ton seul client. Tu m’appartiendras. Une fois que tu auras finit ta besogne, tu retourneras dans la chambre que je t’aurais attitrée. Ainsi tu ne manqueras plus de rien, belle déesse.» Tes mains vagabondent contre son corps nu. Tu viens poser tes lèvres contre sa nuque puis tu lui relèves une jambe, te donnant le champ libre, alors que tu pars explorer ses contrées. Tu lâches un soupire de bien être alors que tu la colles encore plus à toi. Ton corps tout entier est en alerte. Tu mordilles son cou, venant caresser sa féminité, alors que ton bassin ondule contre le sien. T’as pas pensé à mettre une capote, mais pour le moment ça t’importe peu. Tu veux la possédée, comme tu peux posséder une voiture. Tu veux qu’elle soit à toi, rien qu’à toi et tu assumeras les conséquences de tes gestes un autre jour. Pour le moment, tu comptes bien la baiser comme elle le mérite.

Tu ne sais pas combien de temps tu pourras encore tenir avant d'atteindre l'orgasme rien qu'avec ses caresses. tu ne sais pas mais tu t'en fiche de toute façon. ce soir tu es a lui, comme à chaque fois que tu l'as comme client. et tout a l'heure tu as bien entendu ses mots, disant que tu lui appartenais. ça te va, tu préfères les entendre de sa bouche plutot que d'un enfoiré. lui, tu pourrais même lui offrir ton corps sans la moindre pièce, sans le moindre billet, rien que pour le moment d'apaisement que tu as quand tu es avec lui. ce moment ou tu te sens bien, loin de tes problèmes. tes dents mordillent ta lèvre, retenant ainsi les gémissement qui veulent s'échapper mais c'est presque un petit rale de mécontentement qu'il finit par entendre quand il quitte ta peau délicate. vous sortre de l'eau, tu fais attention à ne pas tomber en glissant et tu le suis alors qu'il s'attaque à essuyer tes cuisses et tes jambes. tu te laisses faire, comme une poupée alors qu'il finit par te proposer quelque chose. pour le moment tu comprends parfaitement ce qu'il te dit, il assure ta protection, veille a ce que personne ne lève la main sur toi, veille a ce que tu ne finis pas morte dans une vieille chambre de motel pourri. mais en contre partie, tu fais ce qu'il te dit. tu imagines déjà qu'il voudra un pourcentage de tes gains, comme toutes celles qui ont un mac. tu sais qu'au final elles ne gagnent pas énormément mais toi, tu as juste besoin de quelques billets pour manger à ta faim, parce que là c'est sur que ce n'est pas avec un paquet de biscuit à bas prix que tu peux faire une alimentation correcte pour tenir toute une journée. Tu ne dis pourtant rien, tu as besoin d'entendre ce qu'il veut que tu fasses contre sa protection. mais pour le moment il séche le reste de ton corps avant de t'amener là ou il désir, ta peau contre le froid de la surface alors que tu sens parfaitement son corps derrière toi. tu te mordille la lèvre, avant de finalement l'écouter. Il veut que tu vives chez lui, que tu ne sois qu'à lui, qu'il soit ton unique client et que tu puisses continuer d'aller au lycée, de vivre, d'avoir un endroit ou dormir, ta chambre même. c'est tentant, sachant qu'avec lui tu ne risque rien, qu'avec lui, tu n'auras jamais peur. La jambe relever, tu ne retient pas ce gémissement lorsqu'il s'empare de toi. c'est gros et long et ça te déchire les entrailles (cette phrase, c'est pour vous, les coquins qui lisent lol) mais Sam sait comment faire, il sait comment t'amener dans les nuages. les baisers, ses caresses, et ces coups de reins. tu ne peux pas retenir les petits sons qui s'échappent de tes lèvres et tu trouves de la difficulté à lui répondre. « je.. serais.. ta pute.. à toi.. » pour résumé sa proposition c'est ça. tu ne seras qu'à lui, et il sera le seul à pouvoir parcourir ta peau si douce. pourtant tu hésites, ou alors c'est parce que tu n'es pas vraiment en position pour réfléchir correctement. Difficile d'avoir les idées claires dans ce genre de situation. « juste.. à toi.. » tu répètes, pour bien prendre conscience de ses mots. « je.. ho fuck! » ha, t'allais dire quelque chose mais finalement les vagues de plaisir qu'il te donne sont plus fortes.

Elle a comprit. C’est ce qui est important. Elle a comprit qu’elle va être à toi. Qu’elle doit respecter les règles. Elle ne se taperas pas aucun autre mec que toi. C’est juste ça que tu veux… Elle est là, belle comme une fleur entre tes doigts, vos regards qui se croisent dans le miroir. Tu souris, te retirant d’elle. Hors de question que tu acceptes qu’elle jouisse immédiatement… Tu en as pas fini d’elle. T’en veux plus, encore et encore. Tu la vires de bord afin qu’elle soit face de toi. Tu attrapes sa nuque pour venir l’embrasser avec férocité. Tes lèvres quittent les siennes, venant embrasser son menton puis la descente de son cou. ”Je suis pas un type bien Masha. J’ai un casier judiciaire… Mais avec moi, tu seras en sécurité.” Tu souris contre sa peau alors que tes baisers viennent capturer ses seins. Tu les lèches, les embrasser, tu leur font la tendresse. Ton continue son chemin, venant embrasser sa magnifique plastie, tes doigts qui frôlent ses hanches. Tu trouves ton bonheur. Tu lâches un grognement avant de la ramener dans le lit et là, sans attendre, tu la reprends avec un plaisir fou. Tes mains qui attrapent ses poignets, tu les mets haut, afin qu’elle ne puisse te toucher. Tes hanches qui butent contre les siennes, vous danser lascivement. Vos corps explosent en même temps dans un râle de plaisir. Les frissons parsèment votre corps. Tu l’embrasses, partout, tendrement avant de te retirer, te laissant tomber sur les oreillers près d’elle. Tes doigts se perdent dans sa magnifique chevelure doré. Tu reprends ton souffle avant de te lever, nu comme un ver pour aller chercher une cigarette. Tu l’allumes, ouvrant les rideaux pour observer dehors. Tu prends appuies contre le cadrage et tu souffles ta fumée. ”Alors, tu les essaies ces vêtements? C’est pas le temps de pioncer!” Tu lui fais un clin d’oeil avant de venir prendre place dans le fauteuil où tu l’attendais au début. Tu reste nu, t’es bien comme ça. Et elle devra s’y habituer. T’es un mec qui adore être à poil.

N'êtes qu'à lui est-ce un probleme ? Absoluement pas. ne plus avoir à laisser ces hommes qui te donnent envie de vomir te toucher, ne pas etre obligé d’être gentille et d'obéir à ce qu'ils te demandent. Tout cela n'est pas un problème pour toi. n’être qu'à lui, c'est loin d’être une punition, au contraire, c'est une chance et une libération de pouvoir dire au revoir a ces hommes qui te brutalise parfois. avec lui, tu sais que tu ne risques rien, que jamais il ne lèvera la main sur toi, que jamais il ne laissera de marque douloureuse sur ta peau. Il finit par se reculer, tu repose un peu ta jambe alors qu'il vient t'embrasser. tu aimes sentir ses lèvres contre les tiennes, c'est parfois doux, parfois sauvage, et dans ces moments là que tu te rencontres qu'il est le seul pour qui tu aimes faire la pute. le seul par qui tu aimes être touché. Tu l'écoutes, il dit de ne pas être un type bien, avoir un casier, et alors ? il te promet la sécurité, et étrangement tu as confiance en lui. tu te mordilles la lèvre quand ses lèvres s'attaquent à ta poitrine, glissant une main sur sa nuque « alors je ne serais qu'à toi. et rien qu'à toi. » tu acceptes évidement son offre. un toit sur ta tête, de quoi manger, une chambre où dormir. et lui pour veiller sur toi. tu ne peux pas refuser. tu feras tout ce qu'il voudra, portera les vêtements dans lequel il te trouve désirable, les vêtements qu'il t'offrira et qu'il aura pris le temps de choisir pour toi. tu lâches un petit rire quand tu atterries sur le lit, mais rapidement c'est un gémissement qui t'arrache la gorge quand il se glisse entre tes cuisses une nouvelle fois. Tes mains ramener au dessus de ta tête, incapable de le toucher, incapable de bouger et ne pouvant que gémir à ces coups de reins. tu finis par te cambrer, tes muscles se contractant sous le plaisir qu'il te procure, sous les vagues de chaleur et de bien être que tu ressens. on coeur ne sait plus comment battre, tes poumons ne savent plus comment respirer. tu es submergée par tout cela alors que ses baisers te parcourent encore. il tombe a coté de toi, tu le suis du regard avec un sourire. il se redresse, allant chercher sa clope comme à son habitude. il se balade à poil, de toute façon avec ce que vous venez de faire, se balader a poil c'est qu'un détail. tu le regardes, admire son corps, ses tatouages comme à chaque fois que tu les fois. mais quand il parle des vêtements tu ne peux pas t'empêcher de rire. te redressant après avoir tout de meme retrouver une respiration calme et que tes jambes soient capable de te maintenir debout sans lacher. « c'est partie pour le petit défilé privé » que tu dis avec amusement. tu lui tournes le dos, lui donnant vu sur tes fesses comme au début avant de les cacher par les dessous qu'il t'a acheté. tu mets le soutif, avant de t'approcher de lui. tu marches comme les mannequins jusqu'à lui, faisant un tour sur toi même pour qu'il lui voir, avant de venir sur lui pour qu'il voit de plus près « alors, verdict pour cette tenue ? »

En vrai, t’en a rien à foutre des vêtements que tu lui as acheté. Tu voudrais juste pouvoir admirer son corps, encore et encore. Tu sais que théoriquement, elle est mineure et que si ça se savait, tu finirais sûrement derrière les barreaux, encore une fois. Tu fumes ta clope en silence, alors qu’elle enfile un nouveau sous-vêtement que tu lui as offert. Sourire aux lèvres, tu viens poser une main sur son magnifique fessier avant d’écraser ta clope sur le cendrier à côté de toi. «Rien à foutre. Round 2.» Tu empoignes sa nuque, alors que ta langue vient briser la barrière de ses lèvres.