(christazz) the way you make me feel.

Il te faisait perdre la tête. Depuis quand ça ne t'était pas arrivée ? Tu n'arrivais pas exactement à compter, tu constatais seulement la réalité. Cette chaleur qui glissait sur tout ton corps... cette sensation délicieuse dans le creux de tes reins. Tes joues s'empourprer malgré toi et ton obsession assez folle pour ses lèvres, de suite... Maintenant. Tu allais sombrer ou te trahir, tu ne savais pas exactement lequel des deux, mais en tous les cas, tu prenais les devants en faisant croire que tu avais un coup de téléphone. Tu ne savais pas si les invités seraient dupes, mais toi, pour le moment, tu n'avais qu'une obsession. Christian. Une fois dans les toilettes, tu vérifiais que ces dernières étaient bien libres. Tu ne voulais pas que quelqu'un puisse venir. Quelqu'un entra, tu fronçais les yeux, ce n'était pas Christian. Apparemment, il y a un soucis avec les toilettes. Mensonge. Mais tu étais désormais une sacrée menteuse, pas de doute possible là-dessus.Tu tentais de calmer les battements de ton coeur en vain, tu avais l'impression que tout le bâtiment pouvait les entendre. Puis il ouvrit la porte, j'étais à bous de souffle... Christian... Tu avais à peine le temps de souffler ce prénom entre tes lèvres qu'il venait t'embrasser, exactement comme tu l'avais espérer. Tu entourais sa nuque de tes bras, tes jambes enroulant son corps lorsqu'il te souleva. Tu voulais qu'il te touche, tu voulais le sentir et cette pensée ne te fit même pas peur. C'était presque naturel. Dans cet endroit, où il n'y avait que vous deux, tu te laissais faire, échappant un long soupire à ses mots, à sa main, à ses lèvres. c'était délicieux. Tes mains glissaient dans sa nuque, ébouriffant ses cheveux. Tu descendais, à la hâte, retirant sa veste, cherchant la boucle de sa ceinture. Oh mon dieu ! Tu cachais ton visage dans son cou afin d'étouffer le gémissement en le sentant te toucher encore plus. C'était trop bon, trop intense.. Tu enlevais la boucle de son pantalon. Je veux te toucher, j'ai envie de toi. Il n'y avait plus de filtre tu disais ce que tu pensais sans soucis aucun. Tu relevais les yeux avant de descendre, afin de toucher le sol. Tu ne le quittais pas des yeux, descendant afin de le soulager, lui, avec ta bouche.

Tu étais probablement fou. Tu le savais mais après tout, il n’y avait pas de mal à cela. Tu en avais envie. Tu n’avais rien fait depuis longtemps. En même temps, avec ta femme dans le coma c’était plutôt compliqué. Seulement, tu n’avais pas envie d’y penser pour le moment. Ce n’était pas le moment. Tu avais envie de Jazz et tu ne voulais rien d’autre que cela. Rien d’autre qu’elle. Tu la rejoignis dans les toilettes où tu espérais bien t’amuser un peu. Tu entrais avant de la plaquer contre le mur et de l’embrasser. Tu en rêvais depuis tout à l’heure. Depuis qu’elle était entrée dans ta voiture à vrai dire mais vous n’aviez pas pu. Tu la soulevais pour la coller au mur. Tu glissais ta main sous sa robe, venant caresser son intimité qui te faisait envie depuis tout à l’heure. Il n’y avait personne pour vous voir ni vous surprendre. Quoique.. c’était risqué mais ô combien excitant. « Hum.. touche moi. » Tu lui disais avant de la déposer sur le sol. Elle retirait la boucle de ton pantalon et tu te mis à gémir, basculant ta tête en arrière en sentant sa bouche sur toi. Bordel de m*rde. Elle savait ce qu’elle faisait et elle était douée. « Putain Jazz.. » Tu jurais entre tes dents alors que tu posais une main sur sa tête, l’incitant à continuer ce qu’elle faisait. Tu aimais cela et tu sentais ton membre se gonfler entre ses lèvres, au fur et à mesure. « Si tu continues ainsi.. je vais jouir et.. je ne crois pas que c’est ce que tu veuilles. » Bon, tu ne la connaissais pas mais tu savais que ça ne devait pas être très agréable pour les femmes. Tu préférais la prévenir tant que tu pouvais te contrôler soit.. plus pour très longtemps.

Tu aurais du te sentir un peu gauche, voir plus du tout habituée. Un homme ne t'avait pas touché depuis tellement de temps, tu n'avais pas répété ces gestes depuis beaucoup trop longtemps. Tu avais envie de lui, cela faisait bien longtemps. Vos lèvres s'accrochèrent naturellement, ton corps épousant le sien. Tu faisais de gros efforts pour ne pas le supplier de te prendre, là comme cela... tu avais envie de lui, mais tu voulais être raisonnable, tu ne voulais pas que ça se passe mal, tu ne voulais pas tout donner, puis tu n'oubliais malgré tout... qu'à la fin de la soirée il allait te payer, et ça malgré tout ça faisait un mal de chien. à vos ordres... Soufflais-tu alors que tu t'occupais de lui, oh oui tu voulais qu'il soit à ta merci, que tu prennes les rennes et que malgré tout, il te supplie d'abréger ses souffrances ou son plaisir, au choix. Toi tu rêvais de cela en tous les cas... Son insulte glissait sur ses lèvres et tu appréciais cela, tu lui faisais de l'effet, tu lui faisais vraiment de l'effet. Et cette pensée aussi tordue puisse paraitre te satisfaisait intérieurement. Toi, tu ne voulais pas penser aux conséquences de tes actes, tu voulais t'éclater et tu t'éclatais plutôt bien pour le moment. Tu souriais légèrement alors que tu continuais ta tâche, appréciant les petits gémissements qu'il poussait. En réalité, tu étais très excitée et tu avais réellement envie de lui, tellement d'ailleurs... Tu relevais les yeux vers lui, un certain défi dans le regard avant de lui avouer. Joui alors... Tu t'en fichais en réalité, tu avais dépassé la limite, une limite silencieuse et invisible que vous aviez tous les deux dépassés depuis bien trop longtemps. Tu étais en train de le sucer, aussi cru que ça puisse paraitre c'était le cas, et tu n'allais pas t'arrêter à si bon chemin... Tu voulais qu'il est la tête renversée qu'il n'en puisse plus. Tu t'amusais à lui dire. N'oublie pas, soit silencieux. Tu jouais, tu jouais avec le feu, et bizarrement... étrangement tu aimais plutôt cela. aussi fou soit-il.

Tu voulais qu’elle te touche. Tu avais besoin de cela. Tu avais besoin qu’elle t’embrasse et plus encore. Vous vous étiez chauffés depuis qu’elle était entrée dans ta voiture et tu aimais cela. Ce n’était pas trop le lieu ni même le moment mais voilà, tu ne savais pas si tu allais pouvoir tenir très longtemps ainsi. Elle semblait aussi pressée que toi puisque c’était elle qui avait eu envie et t’avait ordonné de la suivre aux toilettes. Tu n’avais pas dit non. Vous étiez tous les deux dans les toilettes et tu espérais que personne n’allait venir vous interrompre ou vous entendre. Bon, c’était tout de même excitant de se faire surprendre ceci dit mais tu n’y tenais pas vraiment. Tu ne t’attendais pas à faire cela avec elle. Bon, vous n’alliez pas coucher ensemble enfin, tu ne penses pas. Seulement, vous n’aviez jamais parlé de cela et tu crois bien que vous n’aviez pas besoin de le faire. Tu te retrouvais ici et, elle te suçait clairement. Putain, elle était douée et tu n’allais jamais tenir. Tu la prévenais pour ne pas faire quelque chose qu’elle refuserait mais, sa réponse te surprit. « Sérieusement ? » Et elle continuait en plus de cela, signe que cela ne la dérangeait pas. Tu gémissais encore alors que finalement, tu ne tenais plus. Tu te mordillais fortement la lèvre, celle-ci saignant probablement devant la force que tu y mettais. Ta tête en arrière, tu savourais ce moment. « Putain.. tu es incroyable.. » Tu lui soufflais alors que tu te demandais si elle avait apprécié. Après tout, c’était.. particulier. Tu la fis se relever finalement pour venir l’embrasser. « Hm.. c’est à mon tour. » Tu la soulevais de nouveau en la plaquant contre le mur. Tu remontais sa robe alors que tu retirais sa culotte. Tu la relevais de façon à avoir ta tête entre ses cuisses, venant l’embrasser, la lécher, la titiller. Tu venais à glisser un doigt en elle également, continuant. « Jouis bébé.. » Tu lâchais enfin.

Folie douce, folie embarrassante… Folie tout court. Tu te laisses aller dans cet endroit qui pourrait être austère. Ce n’est pas le cas, tu vois bien que c’est le genre d’endroit, qui clairement ne pose aucun soucis de propreté. Tu n’es pas n’importe où et tu ne fais pas n’importe quoi. Tu t’en foutais de tout, tu te foutais de passer pour une fille facile, il pensait déjà que tu étais ce genre de femmes. Tu te foutais des conséquences de tes actes, en réalité tu voulais lui donne la monnaie de sa pièce, qu’il jouisse, qu’il s’en souvienne et qu’il apprécie cela. Tu voulais marquer les esprits et tu comptais bien arriver à tes fins. Il finit par jouir, fortement, gémissant également. Tu souriais légèrement, tu avais réussi et cela, tu en étais fière. Tu levais quand même les yeux au ciel. Incroyable ? Rien que cela… Tu ne savais pas si c’était le cas, mais ça t’amusait beaucoup de l’entendre dire cela. Il venait à t’embrasser, te coupant le souffle par la même occasion. Waouh, vraiment ? Il réussissait à te faire et effet là. Il te plaquait contre le mure, s’occupant de toi… adieu petite culotte, adieu bon sens d’ailleurs. Tu le regardais, sa tête entre tes cuisses et tu roulais des yeux. C’était bon, trop surement. Tu tentais de te détendre, te laissant submerger par cette sensation que tu avais perdu après toutes ses années. Glissant tes mains dans ses cheveux, tu gémissais doucement, appréciant ce qu’il était en train de faire. Oh Christian… Tu ne le réprimandais pas vraiment, tu ne voulais pas qu’il arrête mais c’était tellement délicieux, trop… qu’importe. Tu te laissais faire, sentant cette boule de désir longer ta colonne vertébrale, tu sentais toutes les sensations, tout ce désir… tu criais un peu plus fortement, mettant ton poing dans la bouche pour ne pas hurler. Il te fallu du temps, pour émerger de cette sensation. En face de lui, tu sentais ton coeur se soulever. Il était tellement attirant, tellement sexy. Tu savais que tu voulais plus que ça, se faire plaisir tu savais exactement que tu allais finir par coucher avec lui, et tu avais peur… Peur de cette réalité. Glissant tes doigts sur la commissure de ses lèvres, tu lui soufflais doucement. Délicieux… ça l’était sincèrement mais tu ne savais plus quoi en penser. tu étais perdu, beaucoup trop.

C’était dingue, et franchement, les autres à table allaient se demander ce que vous étiez en train de faire. Après tout, Jazz avait dit avoir un appel important et tu étais parti aux toilettes. Cela faisait un petit moment, quoique, tu ne savais pas tellement depuis quand tu étais parti de là-bas. Tu n’avais plus la notion du temps. Elle te fit jouir, décidément, elle était jouée. En même temps, elle devait faire cela souvent. Tu chassais cette pensée désagréable de ton esprit. Tu n’avais pas vraiment envie de savoir ce qu’elle faisait avec les hommes. Tu te contentais de l’embrasser alors que tu espérais bien lui rendre la pareille. Tu la soulevais de nouveau contre ce mur alors que tu venais l’embrasser, là. Son point le plus sensible. Tu souriais contre elle, la sentant gémir et aimer ça. Parfait alors. Tu continuais, bien décider à la faire jouir. « Chut.. pas de bruit. » Tu sentais qu’elle n’allait pas tarder à venir. Tu le sentais et tu espérais arriver à ton but rapidement. Elle jouit finalement et tu aimais cela, gémissant à ton tour. Tu la tenais pour ne pas qu’elle tombe ni quoique ce soit. Elle avait aimé cela et rien ne pouvait te faire plus plaisir. « Hum.. tu n’as encore rien vu tu sais. » Après cela.. tu espérais bien pouvoir coucher avec elle. Son corps t’obsédait et tu espérais voir et toucher davantage ce que tu avais pu faire là. Vous étiez pris par le lieu, pris par le temps aussi. Tu finissais par la déposer sur le sol alors que tu ajustais ton pantalon. « Je crois qu’on devrait y retourner ou ils vont se poser des questions. » Tu lui disais avec un petit rire. « Mais c’était une très bonne pause avant la soirée.. » Tu lui disais avec un sourire. Oui très bon.

Parfois, il fallait juste se laisser aller, ne pas se poser de questions et vivre l'instant présent. Tu n'avais pas imaginé qu'un jour tu laisserais un homme te toucher de nouveau, pourtant c'était le cas aujourd'hui. Surement tu avais imaginé autrement que comme cela, dans des toilettes avec un... client. Parce que oui, aussi doué soit-il, aussi sexy soit-il Christian restait ton client et il te payait pour ce que tu étais en train de faire. Tu refusais cordialement de laisser cette facette de votre relation dans ton esprit, tu aurais tout le temps d'y penser plus tard. Trop tard, à un autre moment. Pas maintenant, pas lorsqu'il te fait ça, lorsque tu gémis contre ton poing parce que c'est divinement bon, que tu te sens un peu fragile en reposant les pieds sur le sol, parce que tu rougis en entendant ses mots. La promesse d'un futur avec lui, t'émoustille un peu plus, tu aimes l'idée de le revoir, de le voir tout entier, d'avoir son corps. Mais tu te rends compte de ce que cela veut dire. Tu la fais. Tu as laissé un client te toucher, tu es véritablement une pute désormais. Tu tentes de ne pas montrer combien tu te déçois, car pire que tout, tu as pris plaisir à cela. Un peu trop d'ailleurs. On devrait effectivement. Tu réajustes ta robe, afin qu'elle tombe mieux sur tes jambes et tu passes ta main dans tes cheveux. Tu le regardes un petit sourires sur les lèvres. Oui. ça l'était et tu ne devrais pas aimer cela, ce n'est pas bien, tu ressens comme une étrange sensation, tu n'es pas à ta place, tu ne fais pas les choses comme prévu, en tous les cas, c'est étrange... Tu devrais y retourner, j'attendrai cinq minutes et je vous rejoins. D'accord ? Tu te mordillais la lèvre en disant cela, après tout, tu avais fait ce choix, tu devais l'accepter, tu devais l'assumer tu devais... Faire avec tu devais tout simplement vivre comme cela... Rien de plus, rien de moins.

Vous n’aviez jamais parlé de cela avec Jazz au départ. C’est vrai, il n’avait pas été question de coucher ensemble avec la jeune femme. Vous ne l’aviez pas fait mais bon, vous aviez quand même été assez intime tous les deux et vous ne pouviez pas dire le contraire. Clairement, elle t’avait donnée un orgasme et toi aussi. Elle avait été plutôt intime et toutes les femmes n’appréciaient pas forcément cela. Tu n’allais pas regretter cela en tout cas. Tu ne savais pas comment cela se passerait la suite mais tu verrais bien. Là, maintenant, vous deviez partir et rejoindre les autres à table. Vous les aviez laisser assez longtemps. « Tu es parfaite enfin.. on ne devinera pas ce que tu viens de faire. » Tu lui fis un clin d’œil alors que tu rajustais tes vêtements et essayait de te regarder dans le miroir de ton téléphone. Tu ne voulais pas qu’on soupçonne quoique ce soit même si.. bon, c’était peu probable qu’on ne dirait rien. « D’accord.. je pars devant alors, à toute suite. » Tu lui disais alors que tu embrassais ses lèvres quand même, avant d’ouvrir doucement la porte des toilettes. Tu vérifiais quand même qu’il y ait personne car tu étais dans les toilettes des femmes. Heureusement personne en vue. Quoique.. ils vous avaient peut être déjà entendu. Tu espérais que non. « La voie est libre. » Tu lui disais avec un sourire puis tu quittais les toilettes pour te rendre de nouveau à la table où d’autres de tes collègues étaient arrivés. Tu les saluais donc, évitant de parler de Jazz ou de sa non présence pour ne pas qu’on vous pose des questions. Finalement, elle arrivait et tu lui adressais un regard avec un sourire amusé. Ah vous aviez été totalement dingue..