fire meet gasoline. (everlyn)

“fire meet gasoline.
Ce réflexe du matin dès lors que tu es debout, parce que tu as besoin de ça afin d'être un minimum agréable lorsque tu te lèves. Un expresso bien serré, sans sucre comme toujours. Le calme règne dans l'immense appartement, tu ne sais pas si Everlyn est rentrée hier soir ou si elle a préféré dormir ailleurs chez une amie ou peut-être bien son mec du moment, au fond de toi tu t'en moques. Tu as pourtant promis de prendre soin d'elle pendant son absence, juste avant que sa mère monte dans l'avion pour un weekend d'affaires. Tes promesses, toi tu ne les tiens jamais. Et puis, jouer à la nounou très peu pour toi. La gamine, elle est assez grande pour s'occuper d'elle. Tu ne prends donc pas la peine de vérifier dans sa chambre, tu te contentes simplement de te poster devant cette grande baie vitrée. Une vue imprenable sur la ville, qui aurait cru que tu te retrouverais là. Dans les beaux quartiers de New York ; un café à la main, servi dans un service en porcelaine hors de prix. Toi, l'enfant du Bronx. Tu viens sourire quelques secondes, parce que pour le coup tu as carrément assuré. Et tu bois une gorgée du liquide noir encore chaud, qui te brûle légèrement les lèvres. Un weekend de pure tranquillité, où tu peux lever ce masque du fiancé idéal et avec un peu de chance, Everlyn désertera l'appartement. Et tu pourras enfin prétendre à un weekend parfait.

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“fire meet gasoline.
Tu ignores pourquoi tu as accepté ce marché. Pourquoi t’as accepté de danser pour Jayden, alors que tu aurais pu tout simplement sortir l’argent du compte en banque et payer les dommages que tu avais causés sur sa magnifique voiture. Personne ne savait cette part du marché, ni même ta meilleure amie, Isa. Elle te traiterait sûrement de folle et de petite conne… Qu’importe. Assise à l’arrière du taxi, tu tentais de laver ton visage qui puait le parfum bon marché. Tu avais la rage au ventre… Surtout que toi, belle innocente, tu avais envoyé un SMS très comprometteur à ton beau-père. Tu espérais que lorsque tu renterais, il dormirait encore ou qu’il serait ailleurs, baisant la première conne qui acceptait de le toucher. Tu payais le taxi et tu entrais dans l’immeuble, fermant ton imperméable pour cacher la tenue que tu portais. Cette petite robe moulante noire, ses escarpins à talons trop hauts. Tu t’engouffrais dans l’ascenseur, tapant le code d’accès. Tu voyais les étages défilées. Ton cœur qui prenait un rythme rapide. T’as qu’une envie. Prendre une bonne douche et dormir. La nuit avait été longue. La porte s’ouvrit, tête basse, tu sortis avant de le voir, face à la baie vitrée. À boire son café dans le magnifique set en porcelaine que ta grand-mère paternel vous avait légué. «Décidément, tu ne manques pas d’air! C’est pas à toi! T’es vraiment un connard!» Tu avances vers lui, arrachant littéralement la tasse de ses doigts, envoyant valser le café partout sur la moquette immaculée du penthouse qui vous sert de demeure. «Ce n’est pas parce que ma mère n’est pas là que tu as tout les droits!» Tu lui tournes le dos, allant poser la tasse sur le comptoir avant de te diriger vers ta chambre. La porte vole, venant se fermer durement. Il a un don, celui de te mettre hors de toi.

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Tes nuits sont bien souvent très courtes, drogué à la caféine du matin au soir tu ne dors que très peu. Alors, souvent tu lèves aux aurores alors que New York est encore profondément endormi. La porte qui s'ouvre vient te sortir de tes pensées très lointaines et tu as à peine le temps de te rendre compte que la demoiselle a découché cette nuit. Que te voilà priver de ta tasse de café qu'elle t'arrache violemment des mains. Le café virevolte dans les airs et tu évites de justesse de te brûler. Elle sort de nulle part et te tape une crise pour une ridicule tasse de café, c'est quoi son problème au juste ? « T'es une grande malade ma pauvre ! » Tu lui hurles ses mots en même temps que la porte de sa chambre claque. Le tapis est minable et tu ne vas surement pas nettoyer les conneries de cette gamine pourrie gâtée. A ce moment-là, une haine en toi te monte. Tu serres les poings aussi fort que possible, pour éviter de dire ou faire quelque chose que tu pourrais regretter. Tu as beaucoup trop à perdre dans l'histoire, alors tu prends sur toi. Du moins, tu essaies. "Quelle conne !" Tu craches cette insulte sans savoir si elle a réellement entendu, tu en as clairement rien à faire. Essayant de calmer tes nerfs, ton téléphone vibre dans la poche de ton pantalon. Un SMS d'un pote, tu te demandes ce qu'il peut bien vouloir à une heure si matinale. Une vidéo qui accompagne le texte que tu ne te donnes pas la peine de lire, tu visionnes directement la vidéo. Tu ne comprends pas tout de suite le pourquoi de cette vidéo et tes yeux s'écarquillent lorsque tu reconnais la personne dessus. Tes lèvres s'étirent en un sourire carrément vicieux, tu tiens quelque chose d'énorme. Tu ne prends pas la peine de répondre à ton expéditeur, tu te rends directement dans les quartiers de la demoiselle. L'impression d'avoir le Grâal entre les mains. Sans prendre la peine de frapper, tu entres dans sa chambre. Son refuge. Son jardin secret où tu n'as aucun droit d'y pénétrer, tu le sais. "Avant de te mettre à hurler comme une hystérique, il faut simplement que tu saches que je connais ton petit secret, princesse." Tu te laisses tomber sur son lit, comme s'il t'appartenait. "Tu sais, la vérité que je ne dois surtout pas dire à ta mère." Ce sourire en coin ne quitte pas tes lèvres, tu jubiles bien évidemment alors qu'elle se décompose petit à petit.

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Le voir là, devant la baie vitrée, couvert de tatouage, buvant dans les magnifiques tasses en porcelaine que ta grand-mère vous avait légué. Avait réveillé en toi une sorte de rage profonde. Tu ignorais pourquoi il te faisait autant réagir. C’était au quart de tour. Le café qui avait volé sur la moquette, tu jurais dans ta barbe avant de lui hurler par la tête. T’en avais marre que ta mère n’ouvre pas les yeux. Tu poses la tasse sur le comptoir avant de te rendre dans ta chambre, claquant la porte. Sans attendre, tu te défais de ton imperméable et ta robe. Vêtue d’une simple culotte noire en dentelle et de tes escarpins, tu es loin de te douter que ton beau-père allait passer la porte. Tu lâchas un cri de surprise, venant couvrir ta poitrine de tes mains avant de froncer les yeux. ”Non mais merde! Tu sais pas cogner à la porte?? C’est quoi ces conneries!” Tu es prête à le gifler s’il le faut, alors qu’il te contourne, venant se laisser tomber sur ton lit. Tu le suis du regard avant de graduellement comprendre. Ton coeur qui se met à battre la chamade. T’as la nausée. Et puis tu reprends un peu tes esprits. Tu penches légèrement ta tête sur le côté, prenant une petite mou d’enfant qui vient de se faire prendre à un mauvais coup. ”Tu vas me priver de sortir? Ou bien…” Doucement, tes mains quitte ta poitrine que tu caches, avançant vers lui. T’as envie de jouer un peu. Oeil pour oeil, dent pour dent. Tu remontes une main qui vient jouer avec une mèche de te cheveux et sans attendre, tu viens te mettre à califourchon sur lui, une te des mains se posant sur sa nuque. ”Vas-y, tu expliqueras à ma mère comment ça se fait que tu as une vidéo de moi qui danse nue, alors que tu es censé être une fiancé aimant…” Tu le repoussais un peu, allant vers la bergère qui tronait dans ta chambre. Tu y posa ton fessier pour venir retirer tes escarpins. ”Maintenant sort de ma chambre!” Tu craches ton venin sur lui. Sans même attendre, tu te diriges vers la salle de bain, retirant ta culotte que tu balances dans ta chambre avant de te glisser sous l’eau. Qu’il aille au diable!

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Lorsque tu découvres ces images sur l'écran de ton téléphone, tu n'en crois pas tes yeux. Tu mets quelques secondes avant de te rendre compte que c'est Everlyn, le déhanché bien trop osé dans une tenue légère. A ce moment-là, tu n'hésites pas entrer dans son intimité, dans sa chambre. Surprise par ton entrée et dépourvue de presque tous ses vêtements, sans surprise elle te crie dessus. Tu ignores. Cela te fait rire lorsqu'elle vient cacher sa poitrine, ce n'est qu'une paire de seins après tout. De toute façon tu n'y prêtes pas attention, du moins presque pas. Installé confortablement dans son lit, tu lui balances alors ta petite découverte agitant ton téléphone où la vidéo tourne en boucle afin qu'elle sache de quoi il s'agit. La douce, elle comprend rapidement. Toi, tu es ravi de cette bombe que tu viens de lancer. Au fond, tu sais très bien que ça ne l'arrange pas que son petit secret soit entre tes mains. Tu lèves les yeux eu ciel, la priver de sortie ? Et la supporter toute la journée, jamais de la vie. Et puis, comme si elle t'écouterait. Ton regard ne la quitte pas, le sourire dessiné sur tes lèvres y reste figé. La voilà qu'elle se met à jouer la carte de la provocation, tu n'es bien évidemment pas dupe. La provocation ça te connait et ce genre de petits numéros te laissent totalement indifférent. Tu la laisses venir à toi sans bouger d'un cil, tu ne la touches pas et tes mains viennent se poser derrière ta tête. Toi, ça t'amuse plus qu'autre chose. Tu ne peux tout même pas t'empêcher de la reluquer, tu es un homme après tout. Et tu l'écoutes. Tu lui laisses croire qu'elle a le dessus pendant quelques instants. « N'essaie pas de jouer avec moi princesse, parce qu'à ce jeu-là tu es sûre de perdre. Et la provocation, ce n'est vraiment pas pour les petites princesses comme toi. » Elle se décolle de toi et bizarrement une certaine déception s'empare de toi. Peut-être que tu aurais voulu qu'elle pousse encore plus la provocation, histoire de voir ce qu'elle a dans le ventre. Ou simplement la déception parce que mine de rien qu'elle se retrouve à califourchon sur toi n'est pas désagréable. Toi, tu ne comptes surement pas bouger d'ici, pas avant de connaitre les raisons de sa nouvelle activité. Elle disparaît dans la salle de bain et sa culotte vient voler dans sa chambre, elle te cherche là ? « Tu veux que j'en fasse quoi de ta culotte sale ? » Tu te lèves parcourant des yeux sa chambre, tu ne devrais surement pas, mais tu ne peux t'empêcher de farfouiller sur les étagères. Tu sais que ça va la mettre hors d'elle et au fond c'est ce que tu cherches.

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Tu restes surprise de le voir dans ta chambre, dans ton antre, comme si rien n’était. Habituellement, il ne fouillait pas dans tes choses et tu faisais la même chose, te contenter des sourires polis devant ta mère. Après tout, tu veux son bonheur… foutaise. T’en a rien à foutre, tu lui en veux d’avoir si rapidement remplacé ton père. À demi-nue dans ta chambre, tu le fixes, alors que tes mains frêles cachent ta poitrine. Voir le vidéo qui tourne en boucle sur son portable te répugnes. T’as la nausée à simplement l’imaginer, entrain de regarder cette vidéo. Tu ignores si c’est du dégoût ou même de l’envie qu’il ressent en la visionnant. C’est à ce moment que tu tentes le jeu de la provocation et tu échoues lamentablement, te mettant des bâtons dans les roues. Il serait assez con pour dire à ta mère que c’est toi qui l’a provoquer. Tu préfères donc lui sommer de quitter ta chambre, avant de toi-même prendre la direction de la salle de bain. Tu sautes sous la douche, laissant l’eau dénoué tes muscles et surtout retirer l’odeur de parfum bon marché qui couvre ta peau. Enroulée dans une serviette, tu sortis de la salle de bain, regagnant ta chambre. Tu sentis ta peau rougis de rage lorsque tu le vis fouillant dans tes étagères. «Décidément, tu ne manques pas d’air!» Tu te rends vers ton garde-robe, sortant des sous-vêtements puis tu reviens à ta chambre. Dos à lui, tu laisses tomber ta serviette, enfilant les morceaux de tissus. «Sors de ma chambre Lyam! Qu’est que tu attends, une petite danse privé?» Ton corps se secoue d’un frisson. Et s’il disait oui? Tu soupires avant d’enfiler un short court et un t-shirt, question d’être confortable pour dormir. Cachant ton visage dans tes mains, tu laissas un bâillement sortir. «Allez, fout le camp que je puisse dormir, je suis épuisée… La nuit a été longue si tu vois ce que je veux dire.» Sans plus attendre, tu te mets derrière lui, le poussant vers la sortie. Bon, il ne bouge pas d’un poil. Il est imposant le Lyam… Ton lâches un grognement avant d’abandonner et de rejoindre tes draps, que tu mets par-dessus ta tête pour te couvrir et rager en silence.

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La gamine, elle aura le mérite d'avoir essayé, mais sa tentative de provocation est un réel échec. Tu as plus ou moins cerné le personnage, ça fait plus de six mois que tu mènes la belle vie ici sur le compte de la maîtresse des lieux. Pourtant tu n'as pas toujours été comme ça, mais la galère tu ne veux plus la connaitre. L'histoire d'une nuit lorsque tu l'as rencontré, tu aurais du jamais la revoir. Et vous vous êtes revus quand même et c'est là que toute ta manipulation s'est orchestrée dans ta tête. L'ombre au tableau que tu n'as pas prévu, Everlyn. Bien plus intelligente qu'elle en a l'air, elle a clairement vu ton manège. Et tu sais combien elle est capable de n'importe quoi pour te faire tomber, alors tu évites d'entrer dans son jeu. Le bruit de l'eau qui ruisselle se fait entendre, la pensée de la rejoindre t’effleure l'esprit, tu ne devrais même pas l'avoir. C'est dingue ce qu'une fille peut avoir comme choses inutiles, tu t'arrêtes sur des photos alors que tu l'entends sortir de la douche. Tu te retournes par réflexe la découvrant recouverte d'une simple serviette. Tes pensées s'échauffent. Elle belle putain ! Tu te racles doucement la gorge, tu le sais que tu n'as pas à regarder dans ses affaires, tu n'as pas vraiment fouiller finalement. Lorsqu'elle laisse tomber sa serviette au sol, tu t'oblige à ne pas regarder parce que clairement ce n'est pas déplaisant de poser tes yeux sur elle. Tu ne peux pas. Tu ne veux pas. « Et bien si tu le proposes si gentiment... Oh et puis non, je viendrais directement sur place pour voir ça. » L'endroit tu le connais, ce n'est pas le genre de lieu que tu fréquentes. Ces filles qui s’exhibent devant des bouches affamées ce n'est pas ta came. Everlyn termine de s'habiller te demandant de partir, elle ose même essayé de te pousser. « Tu perds ton temps princesse. » Tu fais mine de rejoindre la porte de sa chambre, mais tu t'appuis le dos contre cette dernière alors que la jeune femme se faufile sous ses draps. « Pourquoi tu fais ça ? » Ce n'est surement pas pour l'argent, ni même pour la gloire. Everlyn, elle a qu'à claquer des doigts pour avoir ce qu'elle désire et tu ne doutes pas de sa popularité à l'université. Alors pourquoi ?

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Ton père est mort il y a environ 1 an. T’as encore du mal à t’en remettre, même si tu essais, très fort. C’est sûrement pour ça que tu te plonges dans les études. Tu ne vies pas, tu survis. Et lorsque tu as vu cet homme, tatoué, assit sur le canapé, un soir où tu revenais de l’université, ton univers à de nouveau basculée. Étrangement, à première vue, t’avais eu une boule de de feu qui s’était formée dans ton bas ventre. Le désir charnel possiblement. Ce regard vif, ses lèvres, sa musculature, tout t’avait allumé. Il t’était déjà arrivé de te caresser, menant tes pulsions à bien, imaginant que c’était sa bouche qui te faisait plaisir… Et chaque fois que tu le voyais le lendemain, ta mère assise sur ses genoux, ton cœur se levait. Une nausée insupportable te prenait les trippes. Tu savais qu’il finirait par le dire à ta mère, ta nouvelle activité. Tu lui sommais de quitter ta chambre, mais il semblait bien déterminé à te faire souffrir de sa présence. Tu serrais les dents avant de te laisser tomber sur ton lit, te cachant sous les draps. «Mais qu’est ce que ça peut bien te faire?! Je peux bien danser si je le veux et baiser comme bon me semble!» Tu soupirais, retirant les draps puis tu te leva de ton lit. «Ce que je fais de ma vie privé, ne te concerne pas. Je veux cacher mon propre argent et je vais le faire! Je ne suis plus une gamine!» Bon, il est vrai que tu es encore mineure aux yeux de l’état. 21 ans étant la majorité. Tu travaillais illégalement dans le bar de Jayden et tu savais que si un flic passait par là, tu pourrais perdre tout ce que tu avais… Ou du moins, perdre ton entente avec Jay et tu devrais débourser des sous supplémentaires. Tu sortis de tes draps, t’approchant de lui. «J’ai une dette envers le propriétaire. T’es content? Maintenant sort et laisse moi dormir!» Tu le contournais de nouveau puis tu sortis de ta chambre, allant vers le mini-bar. Tu attrapais une bouteille avant de revenir à ta chambre. Ton comptais bien prendre un peu d’alcool pour t’aider à t’endormir dans toute cette tourmente.

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Sérieusement Lyam, qu'est-ce que cela peut bien te faire que cette gamine montre ses fesses à des gars, en tout évidence en manque. Tu t’acharnes à comprendre pourquoi elle s'humilie comme ça en s’exhibant, alors que finalement cette fille ne représente rien. Elle est simplement la fille de la femme qui t'entretient, à qui tu veux piller l'héritage. Alors pourquoi tu cherches à savoir si elle ne représente rien, toi même tu ne comprends pas ta réaction. Sors de cette pièce Lyam, tu dois le faire tout de suite. Et tu restes poster contre cette porte quand même, tu ne peux te résoudre à sortir d'ici sans connaitre les raisons qui la pousse à faire ça. « Ce que ça peut bien me faire ? Je n'ai pas envie de recevoir une vidéo tous les trois jours me demandant si c'est bien toi dessus ! » Tu la regardes se lever, tu t'efforce de ne pas la scruter du regard, mais tu ne peux t'empêcher de poser tes yeux sur elle. Quelques secondes sur ses fesses moulées dans son petit short. Quel con ! « Tu es sérieuse Everlyn, tu comptes vraiment me faire gober ça alors que tu as demandé du frics à ta mère juste avant qu'elle prenne l'avion. A d'autres s'il te plait ! » Gagne son propre argent, elle ? La grosse blague, elle croit vraiment que tu es stupide à ce point ! « Comment ça tu...? » Pas le temps de finir ta phrase que la voilà sortie de sa chambre, tu en fais de même en la suivant. Des dettes, tu en as eu toi. D'ailleurs, c'est à cause d'elles que tu as perdu quatre ans ta vie en taule. Plus jamais ça. « Des dettes, c'est à dire ? Qu'est-ce tu as foutu Everlyn ? » Sérieux ? Tu es sérieusement en train de t'inquiéter pour elle là ? Tu ne comprends toujours pas pourquoi tu réagis de la sorte, mais tu ne la lâches pas. Elle se saisit d'une bouteille d'alcool, ça aussi tu as connu. Boire pour oublier tes conneries. Tu la suis toujours, dans sa chambre de nouveau. « Si tu crois que cela va t'aider, tu n'y es pas du tout. »

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Tu rages de le voir encore dans ta chambre. Tu soupires, tu hurles dans tes draps avant de sortir du lit, tu le pointes du doigt, lui enfonçant ton doigt manucuré dans le torse. T’es furax, mais bon. Écoutant ses paroles, tu rigoles. ”Au moins tu pourras utiliser la vidéo pour t’occuper de ton pépito qui dort dans ton slip!” Tu croisais les bras sous ta poitrine, fixant ton beau-père. T’as une sorte de rage et de désire pour lui. Tu prends une profonde respiration, alors qu’il te crache au visage que tu dois te foutre de lui. C’est vrai que tu n’as qu’à téléphoner ta mère pour qu’elle puisse te donner l’argent dont tu as de besoins. Sortant de ta chambre, tu allais vers le petit bar, n’écoutant pas vraiment ce qu’il lui disait. ”Bla… Bla… Bla…” Retrouvant la chaleur de ta chambre, tu ouvris la bouteille d’alcool pour en prendre une rasade. ”Oh, le bon petit beau-père qui s’inquiète pour sa belle-fille!” Tu repris une gorgée de ta bouteille avant de t’approcher de lui, te déhanchant un peu. ”J’ai été une vilaine fille, tu vois… Et Jayden, me fait payer ma dette en dansant pour lui… Ça te va comme explication?” Tu glissais ton doigt sur son torse musclé. T’as un frisson qui te parcourt le corps. Haussant un sourcil, tu mordillas ta lèvre, avant de ramener la bouteille à ta bouche. Tu prends une nouvelle gorgée avant de te retourner vers le lit, laissant ton fessier rebondi se dandiner. Tu oses imaginer que tu vas finir par le faire flancher. Posant la bouteille sur ton bureau, tu te retournais vers lui. ”J’ai emboutit la voiture de Jay, alors que j’étais éméchée. Et comme je suis étudiante en droit. Tu sais, des études que toi, tu n’as pas. Et bien on a fait un marché. Je danse pour payer les frais de réparations et voilà! Aussi simple que ça… Vient me dire que tu n’as pas aimer regarder mon fessier se déhancher sur cette vidéo.” Tout le long que tu lui parlais, tu t’étais approcher de lui, finissant a course près de lui, un peu trop près. ”Tu peux toucher si tu veux.” Tu haussais un sourcil amusée avant de lui prendre une main et de la poser sur tes fesses, collant du même coup ton corps contre lui. Alors que sa main est sur ton fessier, toi, tu as une main qui vient de balayer sur son torse, en vrai, tu te dégoûtes, mais une partie de toi est animée par cette tension entre vous...

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Tu lèves tes yeux très haut vers le ciel, comme si tu as besoin de ça pour te faire fantasmer ou pour réveiller tes pulsions. Bien évidemment que non, à ce moment-là tu as juste envie de lui lancer à la figure que sa mère fait bien son boulot de ce côté-là. Tu ne peux nier ne pas prendre du bon temps avec la quadragénaire, c'est une belle femme. Ennuyeuse parfois, mais une sacré endurance que tu apprécies particulièrement. Elle débite tellement de paroles d'un coup que tu n'as pas le temps de réagir, de toute façon elle n'a visiblement plus envie de t'écouter lorsqu'elle s'échappe dans le salon à la recherche d'une bouteille d'alcool. Tu soupires, la gamine elle commence sérieusement à te sortir des orbites. « Putain, fait chier... » De nouveau dans ses quartiers, bien évidemment tu ne la lâches pas. Il ne manquerait plus qu'elle te fasse un coma éthylique, qu'est-ce que tu dirais à sa mère. Tu lui a quand même promis de faire attention à elle et s'il lui arrivait quelque chose, dans tes dents directement. Et puis elle commence à parler la gamine en balançant un prénom. Dans ta tête ça part au quart de tours, Jayden le patron du club, tu le connais et pas de la meilleure des façons. Elle se déhanche comme par permis sous tes yeux, ose te toucher du bout de ses doigts. Tu restes impassible, il le faut. Au fond, tu n'es pas insensible face à ses formes parfaitement bien dessinées, au contact de ses doigts sur toi. Ce soir, ce n'est pas la gamine dont tu as l'habitude. Tu vois une femme terriblement séduisante et ça te rends dingue. Elle crache enfin le morceau, tu comprends qu'elle s'est mise dans un sacré merdier. Comme si Jayden allait la lâcher maintenant, elle ne doit pas bien connaitre le spécimen, toi oui. Tu serres les dents, parce qu'elle continue à jouer avec toi. Elle cherche vraiment à t'allumer, en se dandinant de la sorte ? Et elle y arrive à la perfection, pourtant tu t'es promis de ne pas flancher, pas avec elle. Surtout pas. Tu reste silencieux, même si tu as envie d'exploser et tu continues d'écouter attentivement tous ce qu'elle a à dire. Pour une raison que tu ignores, une partie de toi ne peut s’empêcher d'apprécier cette proximité dangereuse entre vous. Le contact de ta main sur la peau douce de ses fesses, réveille en toi un désir dont tu n'a pas douté l'existence. Il faut que tu te ressaisisses tout de suite Lyam. En une fraction de seconde, tes mains viennent attraper ses poignées pour les positionner au dessus de sa tête la planquant en même temps contre la porte de sa chambre. Le ton monte. « Tu cherches quoi au juste Everlyn ? » Le regard aussi noir qu'une mine de charbon, tu ne lui laisse pas le temps de répondre que tu enchaînes. Ton visage tout prés du sien. « J'tai prévenu de ne pas jouer avec moi... Tu veux quoi que je te touche c'est ça ? » Tu t'emballes dans tes gestes, tu optes pour le rôle du parfait connard que tu sais faire à la perfection « Ta bouche ? » Ton souffle vient caresser ses lèvres. « Ou bien ton cou peut-être ? » Alors que l'une te tes mains tient fermement ses poignées, l'autre vient caresser son cou. Ton visage vient s'engouffrer doucement dans celui-ci et tu lui chuchotes à l'oreille. « Je peux aller encore plus loin à ce petit jeu, est-ce tu es sûre d'être de taille ? » Ta main continue son exploration, s’arrêtant tout prêt de sa poitrine. Oui, à ce jeux-là tu es sure d'y ressortir vainqueur.

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Tu sais que c’est allumer le feu. Tu sais que lui caressais le torse et oser lui mettre une main sur ta fesse, c’est dangereux. Mais qu’importe. T’en a rien à foutre… Ça serait un peu votre petit secret… Après tout, il saute ta mère. Silencieuse comme jamais, tu le laisses te dévisager, profitant de la douceur de tes fesses. Ton cœur qui bat la chamade, tu te sens femme. Oh, tu avais déjà écarté tes cuisses pour d’autres, mais cette fois-ci, c’était différent. T’avais envie qu’il prenne tes fesses entre ses mains, qu’il te soulève, qu’il te fasse l’amour… Oh non, qu’il te baise, qu’il te fasse crier son nom. Ta mère étant absente, tu avais le champ libre pour enfin mettre fin à tes pulsions face à ton beau-père. Alors que tu allais reculer, il attrapait tes poignets, te plaquant contre la porte de ta chambre. Tu lâchas un léger cri de surprise et planta ton regard dans le sien. C’est à ce moment que tes jambes se sont liquéfié. Tu déglutis, le laissant te parler férocement. Tu voulais répondre, mais il ne t’en donna pas la chance. Baissant le regard, limite en guise de soumission, tu le laisses effleurer tes lèvres puis ton cou. Tu mordilles ta lèvre, fermant les yeux. Ses caresses te font réagir au quart de tour. Ton sang qui s’effauche, tu replonges ton regard dans le sien, sans aucune hésitation, tu répondes à sa question. «Cesse de voir en moi une gamine! Je suis plus femme que j’en ai l’air!» Tu es presque insulter, petite princesse. Sa main près de ta poitrine, tu cambres légèrement le dos pour lui donner un meilleur accès à celle-ci. «Tu crois que je n’ai pas vu ton regard que tu poses sur moi?» Tu te mords la lèvre de nouveau avant d’approcher ton visage du sien. Sans attendre, malgré le fait qu’il tient tes poignets bien haut, tu viens poser tes lèvres contre les siennes. T’as envie de libérer les tensions. Tu laisses un petit soupire sortir contre sa bouche, alors que tu en profites pour attraper sa lèvre inférieur, rendant le baiser plus chaud, plus ardent. Tu finis par le rompre, reposant ta tête contre la porte. «Et toi, t’as envie de jouer?»

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Ce moment terrible, où tu pers totalement le contrôle. Tous les plans que tu as bâti peuvent s'écrouler comme un château de cartes, à cause d'un désir qui te brûle de l’intérieur. Elle est là entre tes mains, prête à s'offrir à toi. Cette rage qui monte subitement en toi, tu serres un peu plus l'emprise que tu as sur ses poignées, parce qu'elle te montre ce qu'elle a dans le vent. Elle te défit. Et fatalement, ça te plait bien trop et d'un autre côté ça t'énerve. Ta mains vient doucement caresser ses seins, parce qu'elle le veut bien et toi aussi tu ne peux résister de profiter de ce qu'elle a à t'offrir. La noirceur de ton regard ne disparaît pas, parce qu'elle réussi clairement à te faire perdre pied et ça tu ne l'acceptes pas. Tu es bien trop fier pour t'avouer tes faiblesses. Tes yeux restent plantés dans les siens et ses lèvres qui se rapprochent des tiennes pour venir les capturer. Tu goûtes pour la première fois à ses lèvres, un baiser brûlant qu'elle vient rompre en te demandant si tu veux jouer. Instinctivement, un sourire pleins de sous-entendus vient se dessiner sur ton visage, tu restes dans un silence de plomb. Lâchant la pression sur son poignée, tu t'empares de sa bouche pressant tes lèvres contres les siennes de nouveau. La petite gamine est bien loin désormais, tu brûles d'envie de la posséder à ce moment précis. Tu fait glisser tes mains le long de son dos, avant d'agripper fermement ses fesses pour la soulever dans tes bras. Toujours en possession de sa bouche, tes lèvres écrasées sur les siennes, tu cherches sa langues pour une danse endiablée. Ton corps s'embrasse en un instant, alors que tu viens la poser sur son bureau en faisant valser ce qu'il y a de poser dessus. A ce moment-là, tout est perdu d'avance. Tu as flanché, tu n'arrives plus à contrôler tes pulsions. Tu ne veux qu'elle. Tu l'embrasses langoureusement, sans cesser de profiter de chacune des parcelles de son corps avec tes mains. Dans un mouvement brusque, la bouteille d'alcool qu'elle a posé quelques minutes plus tôt s'explose littéralement sur le sol de sa chambre. Surpris tu te détaches de ses lèvres et reprend tes esprits réalisant dans quelle connerie de t'es fourré. Tu t'es laissé avoir par cette princesse pourrie gâté, tu lui empoignes alors les cheveux et pas de la manière la plus tendre. « Écoutes moi bien, joues la pute dans ton club si ça te chantes, mais ne joues pas avec moi parce que tu risques bien de le regretter ! Est-ce que c'est bien clair ? » Tes propos sont d'une extrême violence, tu en as pas vraiment conscience sur le moment. Toi, ce que tu as en tête c'est te d'être montrer si faible face à elle. Tu relâches la jeune femme, pour rapidement sortie de sa chambre et être le plus loin possible d'elle. Qu'est-ce tu peux être con !

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“fire meet gasoline.
T’es là, comme un pantin face à lui. Il te tient, t’es à sa Mercie et tu es loin de détester ça… Au contraire, ça allume quelque chose en toi, comme un feu ardent qui ne cesse de bouillir. Ton regard dans le sien, sa main qui caresse ta poitrine. Tu la sens réagir sous ses larges mains. Tu fermes les yeux, le temps de reprendre tes esprits… Mais il a déjà allumé quelque chose de vif en toi. Tu le nargues un peu avant de prendre possession de ses lèvres. T’en a envie. T’es complètement sous son charme… Toi qui le voyais comme le mal incarné. Tu romps le baiser et il n’en faut pas plus pour qu’il lâche tes poignets, venant emprisonner tes lèvres. Ses doigts le long de ton dos, tu gémis presque contre ses lèvres. Tes bras s’enroulent autour de sa nuque et tes jambes se serrent autour de sa taille pour ne pas tomber. Tu le laisses faire, suivant le mouvement. Tes fesses qui touche le bureau, tes mains qui caressent sa nuque, t’as envie de plus. Tu t’apprêtes à descendre tes mains près de son pantalon lorsque tu entends le verre de la bouteille se fracasser. Pendant un court instant vous rompez le baiser, fixant la bouteille. T’as le souffle court, le cœur qui bat trop rapidement. Tu reposes ton regard sur lui. Il semble aussi surpris qu’un chevreuil sur le bord de la route. Alors que tu allais reprendre le baiser, te foutant bien de la bouteille, il empoigna ta crinière. «Aie! Mais ça va pas!» Tu écoutes ses paroles tranchantes, sentant le désir faire place au dégout. T’as presque mal. Tu le laisses sortir de ta chambre. T’as les jambes molles, le cœur gros. Quittant le bureau, tu retires ton short, enfilant un jeans et une veste de laine. T’as pas envie de rester ici. Oh que non! Tu vas pas rester dans le même appart que ce connard! Tu empoignas un sac, balançant quelques vêtements dedans et tu sors de la chambre claquant la porte. T’en a rien à foutre de ce qu’il va te dire. Tu sors du penthouse, te dirigeant vers le garage, prenant la première voiture de tu croises qui appartient à ta famille. Tu veux juste t’évader bien loin, loin de ce connard.

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