(christian) happier with you.

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tu détestais les galas de charité, bien sûr ils étaient tout de même importants dans ta vie car ils servaient à te donner des ailes, de pouvoir goûter aux regards de ces messieurs, ceux qui possédaient des milliards dans leur compte en banque, sans doute un meilleur parti que ces hommes avec lesquels tu as eu affaire par le passé. ta coupe de champagne dans ta main, tu souriais, rigolais à toutes ces blagues qui en fait n'étaient pas bien drôles, leur montrer que tu t'intéressais tout de même à leur sujet de discussion alors qu'il n'en était rien. certaines personnes présentes t'enviaient, tu portais une robe chanel noire, moulante à souhait, ton dos dévêtu et ce collier de perles blanches assorties qui t'allais comme un gant. cette vie de mondaine te faisait rayonner, bien que dans tes temps libres, tu t'adonnais à une passion beaucoup plus sombre qu'est l'alcool ainsi que la drogue. après une longue discussion, tu décides de quitter le groupe, voulant changer de pièce et voir de nouvelles personnes. tu laisses échapper un long soupir, tes mains tremblaient presque car tu étais en manque de ta dose quotidienne et dès que tes jambes se remirent à fonctionner, voilà que tu arrêtes en chemin, ton coeur battant la chamade, surtout quand ton regard croise le sien. pourquoi devait-il toujours se retrouver sur ta route, c'est presque étrange. marche vite lula, ne te retourne pas. voilà que tu avances, tu marches d'un pas rapide et pourtant, tu sens toujours cette présence derrière toi. lors de ta course, un homme t'arrêtes, il veux discuter avec toi, une bonne chance sur ce coup, christian allait pouvoir te lâcher un peu. t'en avais marre de faire les premiers pas, surtout en sachant que sa femme ne voulait plus que tu le revois, tu est étrange quand tu y repenses car ça ne te ressemble pas d'abandonner aussi facilement. ton regard se retourne quelques fois vers le beau brun, tandis que tu joues les cartes sur table avec ce bel inconnu, tu souris, rigole histoire qu'il t'entende et t'as hâte de voir comment il allait réagir, s'il est bel et bien attaché à toi...

@christian ferblantier

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Encore un autre gala de charité où ta femme te ramenait. Silencieux, tu avais noué ton noeud papillon. Ta main avait vivement attraper ta coupe de champagne, que tu avais vidé sans y laisser une seule goutte. Ta femme était arrivée dans votre chambre, demandant ton aide pour attacher sa robe. Machinalement, tu l’avais fait. Tu savais qu’elle t’aimait, plus que tout. Tu en remercie le ciel parce que tu n’avais pas été le meilleur des maris… T’avais même déjà couché ailleurs. Avec Elle. Oui, avec un grand E. Les deux vous aviez prit place dans la limousine et vous aviez échangés sur vos emplois du temps. Quelques photos prises pour le plaisir des journalistes et vous vous enfonciez dans la grande salle, lorsque tu croisas son regard. La main de ta femme se posa brusquement sur ton bras. ”Ne me fais pas ça…” Tu pris un profond respire avant de te défaire d’elle, posant une main contre sa chute de rein. ”Je vais seulement lui dire que nous ne devons plus se parler. Je t’aime babe. Tu l'embrassais sur la joue avant de te diriger vers la demoiselle. Sa chute de rein dénudé te fait frémir. Tu pinces tes lèvres, venant te planter à côté d’elle. Tu t’imposes dans la conversation. ”Russell. Content de voir que ta maniaque de femme t’as laissés sortir, alors qu’elle est sur le point d’accoucher! Tu nous excuseras.” Sans attendre, tu attrapais le bras de la belle, l’amenant vers un couloir étroit. Tu poussais une porte de secours avant de la plaquer contre le mur. Tes mains agrippèrent sa mâchoire et tu plaquas tes lèvres contre les siennes avant d’Appuyer ton front contre le leur. ”Tu m’évites? Ma femme m’a dit qu’elle t’avait mise au pied du mur et qu’elle t’avait menacer… Est-ce pour ça que tu ignores mes appels?” Tu reculais avant de t’appuyer contre le mur en face d’elle. Tu voudrais lui retirer sa fichue robe noire qui lui moule si bien le corps. Tu soupires, repensant aussi au fait que tu devras ramener ta femme ce soir et que se sera elle, qui partagera tes draps, et non Lila.



@Lula Martins  

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ton regard s'était machinalement posé vers christian, cette tentation mais surtout cette relation qui devenait beaucoup trop toxique pour toi ces derniers temps. t'avais envie d'y mettre un terme, de ne plus avoir à faire tous ces efforts pour lui plaire, de ne pas démontrer que t'étais malgré tout attaché à ce dernier. il se tenait là, avec sa femme, celle qui t'avais défendu de l'approcher malgré toutes les circonstances qui s'offraient à toi. tu discutes donc avec cet inconnu, tenant fermement ton verre de champagne dans ta main, un petit sourire mesquin et t'intéressant sarcastiquement à ce qu'il te racontait. soudain, ferblantier s'approche de toi, il s'impose automatiquement dans la conversation et tu fronces le regard. « tu sais qu'il est impoli d'interrompre les gens de cette façon christian. » tu tournes la tête vers ton interlocuteur avant de lui sourire sauf que le jeune homme en décida autrement en empoignant ton bras afin de t'emporter vers la sortie de secours, rien qu'à penser à ce qui allait arriver, t'en frémissait. sans rien y faire, ce dernier décide de te plaquer au mur, sa main froide saisit ta mâchoire et ses lèvres se posent aux tiennes. tu prolonges le baiser, t'en as pas trop envie mais c'est sortit tout seul et tu n'y peux rien. il fut rompu en une fraction de seconde, tu repris ton souffle, plongeant tes prunelles dans les siennes. « sache que ce n'est pas une petite bourgeoise qui me dira quoi faire christian, puis je ne t'ignore aucunement j'en ai simplement marre de passer pour le larbin de service. » t'étais crue, un peu trop même mais c'était la seule façon pour toi de mettre des barrières, de ne pas t'enfuir du droit chemin. cet homme était toxique, sauf que tu ne pouvais t'empêcher d'être autant attirée envers lui. « tu devrais la rejoindre à nouveau, j'ai de quoi m'amuser ce soir. » faisant référence à tous les hommes présents, fortunés qui s'étaient déplacés pour l'occasion.

@christian ferblantier  

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T’aimes pas la façon dont elle te parle. T’aimes pas quand une femme te tiens tête. C’est sûrement pour cette raison que tu n’as pas hésité à l’attraper par le bras pour l'emmener loin des regards. Tes lèvres contre les siennes, tu ne désirais qu’une seule chose. Elle. Tu recules pour lui laisser son espace et tu souris légèrement, alors que ses mots te viennent comme des couteaux. ”Tu n’avais rien contre les bourgeois l’autre jour, quand je te faisais crier mon nom, je me trompe?” Couteau lancé, couteau rendu. Tu prends appuie contre le mur et tu croises tes bras, écoutant les paroles de Lula. Tu hoches la tête. ”Bien, vas-y, fait ta pute. Si c’est ce que tu veux, je peux t’en présenter tout plein d’hommes riches, prêt à claquer leur fric sur ton p’tit cul de droguée!” Tu te redresses, replaçant ton noeud papillon. ”Dire que je venais t’annoncer que je partais en voyage d’affaire et que je voulais que tu m’accompagnes. Mais bon, tant pis. T’as de quoi t’amuser, comme tu dis.” Tu lui jetais un dernier regard avant de retourner dans le couloir, main dans la poche. Ton pas était lent et élégant, rejetant du même coup ta tignasse vers l’arrière. Tu t’arrêtais, venant prendre appuie contre le mur. Tu savais bien que Lula ne resterait pas longtemps dans l’escalier, qu’elle reviendrait. Du moins tu l’espérais. T’étais amoureux de cette déesse de l’enfer. C’est à cause d’elle si ton mariage battait de l’aile… Enfin, c’est ce que ta femme osait croire. Un serveur t’apporta une coupe de champagne puis tu jeta un oeil à la silhouette qui s’approchait de toi. Te mettant dans son chemin, tu lui bloquait la route. ”Si tu étais qu’un larbin de service, que j’utilise que pour me vider les couilles, je ne t’aurais pas acheter ce magnifique bracelet, assorti aux perles qui orne ton cou. C’est beaucoup d’argent.” Tu sortis l’écrin de la poche de ton veston, avant de lui tendre. Tu t’approchais de son oreille. ”Rejoinds moi à la chambre 701. Dans 1h.” Tu lui fis un clin d’oeil, retournant vers la salle de réception. Ta femme fatiguait de plus en plus et elle avait hâte de quitter. Tu utilisa donc la carte facile. Comme tu étais un des principaux investisseurs, tu ne pouvais quitter immédiatement et tu la rejoindrais plus tard...



@Lula Martins  

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ton caractère de merde se faisait ressentir, t'étais en constante ébullition et la seule chose que tu pouvais te permettre de faire était de le repousser, du mieux que tu le peux sauf que c'était pas gagné d'avance. ton regard vacillait entre ses deux yeux, tu ne souriais pas, ton caractère de garce ne pouvait pas s'arrêter et malheureusement pour christian, la partie ne faisait que commencer. « et si tout ça n'était qu'un faux plaisir. » tu pensais tout le contraire de la chose, t'étais irrévocablement attirée par cet homme, marié ceci dit. t'étais borné, un rire sarcastique sortit de ta bouche alors que tu poses tes mains contre tes hanches, haussant les épaules, montrant qu'il ne t'avais pas attaqué. t'es en manque de ta dose, tu le sens da tes veines, sans doute parce que tu voulais te rendre aux toilettes le plus rapidement possible, loin des regards indiscrets surtout. « je n'ai pas besoin de ton aide, puis demande donc à ta femme, j'ai entendu dire que ces temps-ci, tu ne la fais pas autant crier que tu le devrais. » petit sourire en coin, il décide de filer. poussant un soupir, ta main se glisse contre ta chevelure brune que tu décides de poser contre l'arrière de tes épaules avant de marcher jusqu'à la sortie, retrouver les personnes présentes. ton coeur battait fort dans ta poitrine, tu devais faire quelque chose pour oublier ce qui venait de se produire, c'est pourquoi tu avales d'une traite ton verre avant de le redonner au serveur qui t'en proposait un nouveau. le remerciant par la même occasion, tu continues ta route pour être arrêtée par christian. « je ne suis pas non plus ton trophée de chasse. » surtout en faisant illusion au collier de perles. après un long moment à te demander si tu acceptais cette offre, tu pris finalement le bout de papier dans ta main, laissant le beau brun te chuchoter ces mots. pourquoi devrais-tu le rejoindre dans cette chambre, aucune réponse sauf que tu le laisses te quitter, tenir compagnie à sa femme sans doute.  sans dire un mot de plus, tes jambes marchent d'une vitesse fulgurante, tu pousses la porte de la salle de bain pour la verrouiller sur ton passage après que la voie fut libre et sortit de ton sac à main cette fiole, cette poudre blanche que tu étales contre le comptoir et que tu prends sans aucune hésitation. tu fermes les yeux, sentant que l'effet fut immédiat et tu souris. t'étais bien, tu pouvais te changer les idées pendant cette longue heure et étrangement, tu te laissais guidée jusqu'à sa chambre, arrivant à la hauteur de la porte avant de toquer quelques coups. pourquoi t'étais là, sûrement ce coeur qui avait cessé de battre depuis de nombreuses années...

@christian ferblantier  

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Tu sais qu’elle va venir te rejoindre dans la chambre. Tu le sais parce que Lula et toi, c’est de l’amour. Tu caresses la joue de ta femme, alors qu’elle s’engouffre dans la voiture, un peu en chialant. Cependant tu ne le relèves pas. Tu désires simplement qu’elle parte, loin, sans problème, afin que tes mains puissent retrouver la douce peau de Lula. Tu retournes à la salle, saluant quelques gens avant de monter à la chambre. Bouteille de champagne à la main, tu glissais la clef dans la porte puis tu entra, allumant que la lampe de chevet. Tu retiras ton veston, avant de te rendre à la porte. Rapidement, tu ouvris la porte, l’attrapant par le poignet. La porte qui se verrouilla, tu la plaquais face au mur, alors que tes lèvres se plaquèrent sur sa nuque, tes mains qui remontèrent jusqu’à sa poitrine. Sans ménagement, tu glissais tes doigts sous le collier de perle qu’elle portait. ”Tu n’es pas mon trophé, han. C’est ce que tu as dis… Alors pourquoi tu portes le collier que je t’ai offert?” Tu tiras dessus, brisant le mince fil qui retenait chaque perle ensemble. Tes lèvres devenant de plus en plus pressantes, tu la retourna afin de prendre ses lèvres. Tu l’embrassais de façon langoureuse. Tu reculais un peu. ”Et ma femme ne crie plus, parce que c’est toi que je fais crier!” Tes mains attrapèrent ses fesses puis tu l’amena vers le lit, la laissant tomber contre le couvre-lit. Tu la regardes avec envie. Tu secoues un peu la tête et tu lui fais dos pour aller vers le bureau, remplissant les deux flûtes de champagne. ”Alors, si tu n’es pas mon larbin de service, ni mon trophé… Que veux-tu être exactement, Lula?” Tu te retournes, tendant un verre vers elle, le sourire aux lèvres, plus prêt que jamais à avoir une bonne conversation avec elle… Mais surtout, plus prêt que jamais à l’embrasser de nouveau et de lui faire crier ton nom.



@Lula Martins  

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t'étais faible, ça ne t'étais jamais vraiment arrivé car normalement tu serais partie de cette réception pour aller dans une autre soirée mondaine, de ne pas montrer que cette situation, tu ne la maitrisais en aucun cas. ta main toquais quelques coups, tu pris une longue inspiration et voilà que la porte s'ouvrit en face de toi, montrant un christian totalement content de te voir, tel un chien qui remuait la queue en l'attente d'une gâterie. tu n'avais pas le temps de rien dire, qu'il empoigne ton poignet, te faisant entrer à l'intérieur de la chambre et refermer celle-ci. quand ce dernier te colle contre le mur, face à ce dernier, tu dépose tes mains en appuie, sentant ses lèvres embrasser ta nuque, tes yeux qui se refermaient automatiquement. ses mains masculines empoignaient ta poitrine, te laissant échapper un petit soupir par la même occasion. « j'adore les perles. » dis-tu dans la foulée, car il y avait une petite part de vérité dans ce que tu avais dis. sauf qu'il en profite pour le briser presque sauvagement, ta salive descendit dans ta gorge et le voilà, te retournant pour que tu puisses lui faire face, ses lèvres se plaquant contre les tiennes, un baiser langoureux tel on pouvait le voir dans un film. tu prolonges le baiser, ta langue se mélangeant à la sienne, ton corps se pressant au sien. il vint à l'arrêter, se reculant de quelques pas et tu arques un sourcil. « si elle ne t'attires pas, pourquoi restes-tu avec elle. » question totalement franche, tu avais quelque chose qui te brûlait les lèvres mais montrer tes sentiments, hors de question. ses mains agrippent tes fesses, te faisant reculer jusqu'au lit où tu tombes contre ce dernier sans le lâcher du regard, tu le laisses s'approcher du mini bar. « j'suis seulement la fille avec qui tu couches, il n'y a rien d'autre. » dégonflée que tu étais, tu prenais la fiole en avalant une et deux grosses gorgées.

@christian ferblantier  

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Tu aurais pu ne pas briser le collier de perle qu’elle portait autour du cou, mais un côté de toi savait que tu lui en trouverait un autre dans le temps de le dire. Ce n’est pas les billets qui manquaient dans ton compte en banque. Tes mains qui se baladaient sur son corps, tes lèvres qui ne pouvaient s’empêcher de pas embrasser sa peau. Tu frémis. T’as envie de cette femme plus que jamais. Elle te mentionne qu’elle adore les perles, chose que tu enregistres dans ta mémoire. Tu lui glisses un mot sur le cas de ta femme puis tu souris faiblement. Tu ne lui réponds pas d’emblée, soulevant la belle mannequin par les fesses pour l’attirer vers le lit. ”En faites, le divorce me coûterait trop cher…” Tu la laissais tomber sur le lit avant de servir du champagne. Tu haussais un sourcil lorsqu’elle parla qu’elle n’était qu’une femme que tu baisais quand bon te semble. Tu laissais un léger rire s’échapper puis tu te posais en face d’elle, posant tes pieds contre le lit. ”Tu sais Lula, je suis marié depuis bientôt… 6 ans. Ma femme et moi faisons chambre à part la plupart du temps parce que je travaille trop. Lorsque nous sommes ensemble, 90% du temps, c’est pour se crier dessus. Elle n’arrive pas à tomber enceinte et je ne serais pas surpris d’apprendre qu’elle n’a tout simplement pas arrêter de prendre sa pilule, de peur de perdre sa silhouette magnifique.” Tu vidais ta coupe de champagne puis tu te redressais, venant poser ta main contre sa joue. De ton pouce, tu caressais sa lèvre puis tu t’en emparas pour l’embrasser avec envie et tendresse. Tu rompis le baiser et tu eu un léger sourire. ”Avec toi, je me sens vivant… Et avec elle… Je me sens comme un enveloppe vide.” Tu pris la flute de champagne de ses mains et tu la fis se lever, alors que tes doigts retrouvaient la fermeture éclair de sa robe. Tu souris et tu lui fis un clin d’oeil, faisant glisser sa robe le long de son corps pour admirer sa plastie.


@Lula Martins  

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t'étais presque dégoûtée de savoir que christian venait tout juste de briser le sublime collier de perle qui ornait ton cou, en fait t'adorais ce genre de bijoux et te voilà maintenant nue, toi qui est du genre à porter des ornements comme bon te semble. t'as poser cette question, sans vraiment trop penser aux conséquences qui allaient s'en suivre car la seule chose que tu voulais en ce moment, c'est de savoir ce qu'il pensait réellement de toi, comment il voyait son avenir alors qu'il était tout de même marié. normalement, tu aurais quitter cette chambre, le laissant en plan seul car tu voulais qu'il court derrière toi, qu'il tente par tous les moyens de te rattraper et pourtant, ce n'est pas ce qui se passait à cet instant présent. tes yeux étaient encrés dans les siens, ton corps battait presque à tout rompre lorsqu'il se rapproche de toi, affirmant que son divorce lui coûterait beaucoup trop cher. « allons, ne me dit pas que tu n'as pas assez d'argent pour divorcer, ce serait ironique de ta part. » non parce que, c'est peut-être mieux comme ça. il te raconte maintenant que son couple bat de l'aile, tu avais presque les larmes aux yeux, enfin ironiquement parlant. le laissant t'embrasser avec passion, tu prolonges le baiser, mélangeant ta langue à la sienne et dès que ce dernier fut rompu, ça t'allais presque au coeur en sachant qu'il se sentait revivre mais toi, montrer tes sentiments ce n'est pas ta tasse de thé. tu savais que coucher avec un homme marié, n'aidait en rien et que ça n'allait rien changer dans votre situation, toi qui avait déjà vécu une relation sérieuse et t'avais tout gâché. t'avales une seconde gorgée, sans dire un mot, tes prunelles totalement dans les siennes, tu ne savais pas quoi dire, à part boire cet alcool. « ce que je ne comprend pas, c'est que tu restes avec elle, car ton divorce coûterais trop cher mais tu n'est plus attiré envers elle... t'as le droit d'être heureux toi aussi. » wow, lula qui disait ce qu'elle avait sur le coeur, c'est beau. le laissant retirer ta flûte, tu te redresses, laissant ses doigts défaire ta fermeture éclaire, sentant le bout de tissu glisser le long de ton corps, te retrouvant en sous-vêtements, ses doigts qui caressaient ta peau. t'avais envie de lui, là, maintenant. tes lèvres se plaquèrent aux siennes, tu inverses les rôles, le faisant tomber sur le lit, toi sur lui, tes mains qui caressent ses joues, descendant jusqu'à sa chemise que tu déboutonnes sans aucune attente.

@christian ferblantier