first meeting - (christian)

Christian était du genre prévenant en général. En tout cas, il faisait en sorte que la jeune femme se sente bien et faisait du mieux qu’il pouvait pour cela. Il voulait qu’elle se sente bien. Qu’elle aille bien à cette soirée. Oui c’était une escorte et tu la payais mais ce n’était pas une raison pour mal traiter les autres. « Euh.. oui un peu enfin tu sais ce n’est pas toujours passionnant. Ce n’est pas la partie du métier que je préfère. » Non du tout. Il préférait de son côté les tournages et ce genre de choses. Il préférait se mettre dans la peau d’un personnage plutôt qu’autre chose. Il haussait donc les épaules ne comprenant pas ce qu’elle trouvait à sa vie. Bon il ne connaissait pas la sienne ceci dit alors bon.. Il te trouvait en train de danser avec elle alors qu’il questionnait. Il voulait l’embrasser enfin, pas vraiment. Enfin si mais il le devait aussi de le faire. Il préférait demander car voilà il ne savait pas si c’était une limite ou pas et il n’allait pas le faire par surprise. Il fronçait les sourcils avant de rougir un peu gêné. « Quoi ? Non.. non rien de tout ça. » il passait une main dans sa nuque, réfléchissant alors. Bon il comprenait pourquoi elle s’était posée cette question enfin il croit. « Non mais je ne voulais pas t’embrasser par surprise et puis peut-être que tu ne voulais pas non plus. » il lui expliquait donc. il n’allait pas lui dire qu’il était marié non mais il avait déjà couché avec des femmes oui. Bon sûrement que pas beaucoup ou pas un coureur de jupons mais voilà. Il savait coucher avec une femme quoi. Bref, il décidait de ne plus réfléchir et poser sa main sur sa joue avant de l’embrasser. Au départ timidement puisque c’était la première fois et finalement, il accentuait son baiser plus passionnément. Et il aimait cela en plus.

Christian vivait dans un autre monde et il ne s'en rendait même pas compte. C'était étonnant d'une certaine manière de constater que la vie pouvait être ainsi faite en réalité, tu ne savais pas comment l'expliquer. Tu ne voulais pas de sa vie, parce qu'elle ne te correspondait pas mais en même temps, tu voulais plus d'argent, parce que tu en avais terriblement besoin. Tu ne voulais pas tirer un trait définitif sur tes projets de vie, les projets de vie que tu avais eu avec ton mari. Tu préfères quoi, alors ? Tu posais la question, même si tu connaissais peut-être une partie de la réponse. C'était étrange, mais tu imaginais les acteurs inaccessibles et même si tu jouais les femmes fatales pour la soirée, Christian ne semblait pas être un homme inaccessible. Après avoir plaquée ta main sur ta bouche, consciente que tes mots dépassaient un peu trop la bienséance, tu te rendis compte qu'il était soudainement mal à l'aise. Tu ne devais pas juger, tu n'avais aucun droit là dessus, jamais. Tu plissais les yeux en écoutant ses mots... Tu ne savais pas quoi dire, tu n'allais pas interdir un homme qui te paye de l'embrasser. C'était une limite que tu acceptais, tant que cela ne devait pas te troubler plus que de mesure. Ne te prends pas la tête, et tu n'as pas à demander ma permission. Et à ce moment précis, tu savais... tu savais que c'était la première fois qu'il demandait l'aide d'une escort sinon il n'aurait jamais demandé une telle chose. Tu le savais désormais. Il déposa ses lèvres sur les tiennes, tendrement avant de donner à se baiser un quelque chose de plus intense. Tu fermais les yeux, essayant de vider ton esprit, mais rapidement, ton corps alors endormi depuis plus de deux ans, venait à se réveiller, tes bras encadrant sa nuque, ton corps se poussant contre le sien. Tu répondais à son baiser, y prenant part, appréciant un peu trop cela d'ailleurs. Tu soupirais fortement avant de rompre le baiser, roulant des yeux. Tu te mordillais la lèvre avant de poser ton regard dans le sien. ça c'est ce que j'appelle embrasser. Lui avouais-tu un sourire sur tes lèvres, désireuses de plus avant de te reprendre. Non, bien sur que non tu ne devais pas apprécier cela, jamais d'ailleurs. ça aide d'être acteur. Essayais-tu de dire, plus légèrement.

Christian aimait son métier mais, comme chaque métier, il y avait des avantages et des conséquences. Là c’était le mauvais côté du métier donc Christian se trouvait avec Jazz. Les soirées et ce genre de choses. Il n’appréciait pas tant que cela mais bon. Il fallait de tout dans son boulot. « Hum.. je préfère jouer, les tournages et être dans mon rôle. J’aime aussi présenter le film, en parler et tout ça. » Il lui disait avec un sourire. Oui, les avants premières ne le dérangeait pas tant que cela puisqu’il pouvait présenter le film. Les gens pouvaient aller le voir lui mais aussi aller voir le film. Il aimait cela, avoir des avis à ce sujet et tout ça. Il savait jouer, faire du cinéma. Il n’avait jamais tourné dans une série, uniquement des films. Peut-être un jour mais, il aimait les films qu’il avait et les projets à venir. Il jouait la comédie et il avait même l’impression que sa vie en ce moment était une comédie entière. En effet, il devait mentir, faire semblant. Il devait pourtant y arriver avec facilité mais voilà qu’il demandait à la jeune femme s’il pouvait l’embrasser. Elle pensait qu’il était gay et il s’était senti gêné. Il ne disait pas la vérité mais elle n’avait pas besoin de savoir. Finalement, il se décidait à l’embrasser. Il avait déjà embrassé bien des femmes et fait semblant. Elle continuait ce baiser et il sentit ses mains dans sa nuque. Elle était également douée pour la comédie. Elle jouait son rôle à merveille. Il se détachait finalement d’elle, bien qu’il commençait à apprécier cela, ce baiser, ses lèvres. Il n’aurait pas été contre aller plus loin, cela lui manquait. Il pouvait se débrouiller seul mais.. ce n’était pas pareil. « Je peux dire pareil de toi tu sais. » Mais bon, elle devait avoir l’habitude avec les hommes. Il préférait ne pas savoir finalement, au risque que cela lui déplaise. « Les baisers ce n’est pas le plus difficile, après cela dépend aussi de la partenaire. » Il lançait avant de regarder sa montre. « Tu veux y aller ? » Il lui proposait, après tout ils avaient passé une bonne soirée.

Bingo ! Tu n’étais finalement pas trop mauvaise dans ce jeux là. Tu avais compris non sans mal ce qu’il aimait le plus dans le métier d’acteur. Après, il pouvait être le genre d’homme à aimer la célébrité, le genre d’homme à aimer briller sous le feu des projecteurs, bizarrement. Tu avais du mal à imaginer cela cependant, il semblait tellement distant et mal à l’aise d’une certaine manière. Payer une femme pour de la compagnie, surement. Il ne devrait pas s’en faire, tu avais remarqué que les hommes ne se gênaient pas pour cela, et cela depuis longtemps. ça peut se comprendre. C’est acceptée sa schizophrénie que d’être acteur. tu ricanais légèrement disant cela, tellement réaliste au fond. Mais tu ne disais pas plus parce que tu étais peut-être allée un peu loin avec ton indiscrétion. Il n’en tenait apparement pas rigueur puisqu’il finissait par t’embrasser également, de manière tout à fait théâtralement. Les acteurs étaient vraiment doués dans cet exercice, il avait des heures d’entrainement quand toi tu n’en avais aucune… Tu tentais de cacher le rouge à tes joues lorsqu’il venait à te complimenter de manière très discrète sur ton baiser. Tu n’étais pas une comédienne, faire semblant, tu ne savais pas faire, clairement c’était nouveau pour toi. Dependre de la partenaire ? Tu grimaçais à cette pensée, tu n’avais jamais eu beaucoup de partenaires, et tes clients tu avais fait en sorte de ne pas les laisser t’embrasser sauf Christian, très bien… tu reprenais des distances, trop proche, ça n’allait pas. Ça n’allait vraiment pas. Tu fronçais les yeux. Oui, il suffit de m’appeler un taxi, et je peux rentrer. Il n’allait pas te retourner le cerveau avec son côté comédien, séduisant jeune premier à qui tout réussi. C’était un client et il ne voulait qu’une chose de toi, de la compagnie. Tu en avais trop fait d’ailleurs. Merci pour la soirée. que pouvais-tu dire de plus ? Rien.

Etre schizophrène ? C’est vrai qu’il l’était d’un côté Christian. En même temps, quand on jouait plusieurs rôles. Parfois, on pouvait avoir deux tournages en même temps ou alors deux promotions et on pouvait donc se mélanger les pinceaux. Bon, cela ne lui était pas encore arrivé. Mais, oui, il était schizophrénique entre son rôle à lui et puis lui, Christian, l’être humain. « Oh ça, je crois que je le suis tout le temps oui. » Oh que oui. Il avait l’impression de l’être, même quand il ne tournait pas. Il avait cette impression car, il devait mentir au quotidien à ses proches, à ses amis et tout cela. Il devait même mentir pour engager une escorte et être accompagné à ses côtés. Bon, ce n’était pas déplaisant non plus et elle ne l’était pas mais quand même. Il n’aimait pas trop faire cela. Il essayait de la mettre à l’aise mais il ne l’était pas entièrement. Ce n’était pas de sa faute. Bon okay, son commentaire n’avait pas trop aidé mais elle avait le droit de se poser ce genre de questions. Ils s’étaient embrassés et désormais, la soirée était terminée. « Un taxi ? Non ce n’est pas la peine. » Bah oui, il n’allait pas la laisser rentrer comme cela en taxi. « Je peux te déposer quand même, on va prendre ma voiture. » Il lui disait en passant une main dans son dos. « Prends des affaires, on y va. » Il lui disait en la laissant récupérer tout le nécessaire dont elle avait besoin. Il saluait quelques personnes pour leur dire au revoir puis attendait Jazz afin de sortir. Il avait sa voiture et pouvait très bien conduire. « Où est ce que tu habites ? » C’était quand même essentiel pour pouvoir la raccompagner chez elle.

Tu ricanes légèrement, tu venais de lui dire qu'il était surement schizophrène mais il ne s'en attardait pas, confirmant presque tes mots. Jouer la comédie, ce n'était pas ce que tu étais en train de faire ? Tu te rendais compte de cela, de toute manière... Tu ne faisais que mentir, à tous... ton entourage mais toi aussi, tu faisais comme si tu gérais tout cela, mais tu ne gérais pas du tout. tu ne répondais pas à Christian, après tout, il n'y avait plus rien à ajouter. Cette situation te dérangeait, te faire payer par un homme pour ta compagnie. Tu savais au fond de toi, que tu pourrais faire cela, compartimenter les choses, tu ne voulais pas t'y attarder. Tu voulais désormais rentrer chez toi, seule de préférence. Tu n'étais pas prête à donner de ton corps, certes tu serais payé plus chère mais franchement, tu ne voulais pas, cette idée te dérangeait toujours autant. Pourquoi ? Tu n'avais pas vraiment LA réponse à cette question, tu savais juste que c'était assez bizarre. Je... Tu aurais du répondre non, non tu ne voulais pas qu'il te raccompagne, tu ne voulais pas qu'il voit l'endroit où tu habites, et si finalement c'était un pervers, un homme dangereux ? Son beau sourire ne voulait surement rien dire de toute manière. D'accord. Ton cerveau roulait à mille à l'heure, tu cherchais un moyen de ne pas le blesser et en même temps de préserver ta vie privée. Tu ne voulais pas l'emmener dans la rue, où tu vivais, où ton restaurant se trouvait. Tu voulais séparer la vie de Jazz que tu étais, avec Jazz qui vendait son corps le soir. Une fois dehors, tu frictionnais tes bras, surprise par la température extérieure, tu cherchais dans ta tête. Dans le Bronx, je t'indiquerais la route. Tu fronçais légèrement les sourcils en disant cela, pas certaine que ça lui plaise... Puis elle voulait être honnête. Tu dois avoir autre chose à faire que de me raccompagner, vraiment.. A moins qu'il veuille te baiser. Oh. elle se rendit compte qu'avec le baiser, il pourrait penser que c'était gagner. Devait-elle faire cela ? Coucher avec lui ? elle ne voulait pas quoi que il était le genre d'homme avec qui on voudrait bien, mais elle ne savait pas... chercher à réfléchir un moment.

Christian n’allait pas laisser Jazz repartir toute seule. Non pas qu’elle ne pouvait pas rentrer ou quoique ce soit. Ce n’était pas ça, mais c’était la moindre des choses qu’il l’accompagne. Il lui laissait donc aller récupérer ses affaires. Il ne lui avait pas trop laissé le choix quant au fait d’aller la ramener. Il l’attendait donc pour savoir où elle habitait. C’était mieux s’il voulait la raccompagner. Il n’en savait rien. Ils ne se partageaient rien de privé. En même temps il n’allait pas lui dire sa vie et elle non plus. Ce n’est pas comme si.. ils devaient être plus que cela. « Non non, j’y tiens. Et puis je rentre chez moi ensuite donc je n’ai rien à faire. » Et c’était la vérité. Ils partaient donc vers la voiture de Christian où il lui ouvrit la porte puis allait s’installer de son côté. Il s’attachait alors avant de se tourner vers elle. « Bon, je te laisse me guider alors ? » Il ne savait pas mais commençait alors à rouler. C’était un peu silencieux dans la voiture et il commençait à trouver cela.. angoissant. Enfin, pas totalement. Il décidait donc de couper ce silence. « Pourquoi est ce que tu as commencé à faire ça ? » Il parlait bien sûr de son boulot d’escort. Du moins, si on pouvait appeler ça un boulot en fait. « Enfin.. désolée, je pense que c’est indiscret. » Oui bon, niveau mettre fin au silence et niveau question, il n’était pas très doué pour le coup.

Tu ne pouvais pas revenir en arrière. D'accord C'était la seule chose que tu pouvais dire alors que tu rentrais dans sa super voiture. Wahou. tu avais envie de souffler impressionnée mais tu ne fis rien de plus. Tu n'avais jamais mis le pied dans une telle voiture, jusqu'à maintenant. Tu souriais légèrement alors que tu sentais l'atmosphère assez pesante, ce silence... étrange. Voulait-il coucher avec toi ? si oui, tu ne savais pas quelle était ta réponse, il avait réussi à semer le doute dans ton esprit. Flute. Tu dois prendre l'autoroute et sortir de Manhattan. Tu roulais des yeux, un tantinet choquée de la question que venait de poster Christian, il était assez direct comme personne. Cela ne le regardait pas et il n'avait clairement aucun droit de connaitre ou non ta vie personnelle. Tu ne voulais pas de sa pitié, tu ne voulais pas lui dire qu'à la mort de ton mari, après un accident de voiture, tu devais payer les frais d'hospitalisation et l'accident. Tu ne te voyais pas lui raconter ta vie, les factures qui s'accumulaient, la douleur que tu ressentais, le manque d'argent, la peur de perdre ce que tu aimais le plus ton restaurant. tu ne voulais pas alors comme lui, tu devenais schizophrène, tu mentais et tu jouais la pétasse de service. Légèrement bien évidemment. La curiosité ? Ma vie morose n'avait plus de sens, et je voulais donner du piment à ma vie. tu vomissais sur mes mots, alors que tu essayais de lâcher prise, tu devais faire une chose pareille, tu te devais de faire une chose pareille en tous les cas. Tu prenais un air léger. Pourquoi payer une femme pour t'accompagner alors que tu peux en avoir d'autre, gratuitement. C'était le retour à l'expéditeur, tu étais curieuse, tu devais comprendre, tu lui en donnais tout simplement l'occasion. En tous les cas tu essayais. Tu lui montrais le chemin qu'il devait prendre, en indiquant le quartier où tu habitais. Tu allais lui montrer une mauvaise maison.

Christian allait la raccompagner chez elle. Ensuite.. et bien, il ne savait pas trop à vrai dire. Il ne savait pas encore comment les choses se passeraient pour eux. Il devrait probablement la revoir après tout, il avait dit que c’était sa petite amie et il avait encore besoin d’elle à ses côtés. Il poussait un soupir à cette pensée. Non pas que sa présence était désagréable mais le côté mensonge lui déplaisait. Il hochait la tête avant de prendre la route qu’elle lui indiquait. Bon, le silence le pesait et il avait eu l’idée de lui poser une question. La prochaine fois, il ferait mieux de s’abstenir mais trop tard. Il avait ouvert sa bouche. Il pensait qu’elle n’allait pas répondre mais ce fut pas le cas. Elle répondit à sa question et.. il ne comprenait pas vraiment sa réponse. Du moins, il ne comprenait pas en quoi c’était ajouter du piment dans sa vie. Elle pouvait coucher avec un homme sans qu’il la paye. Il ne voulait pas juger et était pas le mieux placé mais tout de même. « Je vois.. » Il n’avait donc rien d’autre à dire à ce sujet. Il se mordillait finalement la lèvre, ses mains se crispant davantage sur le volant. Sa question le déstabilisait un peu et surtout.. il ne savait pas trop quoi dire. « Je préfère quelqu’un de professionnelle. Pas quelqu’un qui fera tout capoter. » Oui, les groupies et autre risquaient de mettre des photos sur leur compte Instagram et autre réseau sociaux, juste s’afficher avec lui. Aucune crédibilité. Bon d’accord, ce n’était pas vraiment la raison. « C’est à quel numéro que tu habites ? » Il finissait par demander, dans l’espoir aussi qu’elle ne poserait pas plus de questions.

Le silence de la voiture était pesant et tu ne savais pas vraiment comment te comporter. Angoissée ? Surement pas, juste tu ne savais pas ce qu’il attendait de toi. Vous n’en aviez tout simplement pas parlé, de la finalité de la soirée. Il pouvait désirer de toi, de coucher, après tout avec un petit supplément, un forfait que la boite qui t’engageait demandait contre tes services. Tu pouvais le faire, mais depuis que tu faisais ce métier, tu n’avais jamais envisagé une telle finalité. Tu ne voulais pas vendre ton corps, tu ne voulais pas coucher pour de l’argent. Déjà loué ton corps pour des sorties te donnaient l’impression d’être une pute alors là… tu fermais les yeux, tu ne devais pas t’angoisser, après tout sa question… sa question te surprenait sérieusement.  « Je vois » était-ce vraiment une réponse ? Non, il ne voyait pas, il ne pouvait pas voir ce que tu vivais tous les jours. Il n’avait pas besoin de le savoir mais cela t’énervait. Tu ne savais pas pourquoi tu ressentais cela, mais c’était le cas. ça t’énervait. Tu posais une question, à ton tour tu savais qu’elle pouvait mettre mal à l’aise, et c’était clairement le cas à la façon qu’il avait de presser ses mains sur le volant. C’est noté… Tu ricanais légèrement, parce que nerveuse ? Mal à l’aise ? Surement un peu des deux. Il ne faut pas tout faire capoter. Tu ne comprenais pas pourquoi cependant, comme si tout pouvait être simple. Rien ne l’était réellement au final. tu ne disais rien alors que tu comptais désormais l’éloigner de ton véritable chez toi. Il s’agit de l’immeuble juste à droite. Tu souriais légèrement avant qu’il ne se gare tranquillement devant. Nerveuse tu l’étais désormais et tu ne savais pas comment couper court au sujet. Merci, pour le règlement c’est via la boite. Super, très fine très fine. Tu roulais des yeux. Tu as besoin, tu connais mon numéro. Tu souriais légèrement, ne sachant pas comment te comporter au juste… tu voulais qu’il s’en aille pour te laisser aller dans ton vrai chez toi et refouler au plus profond de ton être ce que tu ressentais.